You are my essential : Chapitre 4.

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Chapitre 4 :

Je repris le boulot, quelques jours après l'enterrement. Justin remis le bout de son nez au bar :

Justin : Qu'est ce qui ne va pas Spencer ?

Moi : Demande moi plutôt qu'est ce qui va si tu veut une réponse courte.

Justin : Je veut t'aider tu sais.

Moi : J'ai besoin de personne, mate (je lui montre mon poignet).

A l'âge de quinze ans, je fugue, je me fait faire un tatouage au poignet [Stay Strong], je prend ma première cuite :

Justin : Depuis quand ?

Moi : Depuis quand quoi ? Développe.

Justin : Ton tatouages ?

Moi : Depuis mes 15 ans, why ?

Justin : Comme ça. Si ta besoin de parler, je suis la.

Il me tend un papier ou il a gribouiller son numéro :

Moi (le jette) : J'ai b e s o i n de personne.

Justin : D'accord.

Il se lève, remet la chaise droite, et s'en va, sous le regard des paparazzis, intrigués. Je finis par ramasser le bout de papier, et le glisse dans ma poche.

-le soir-

Je rentre, Arthur n'est pas la, il est avec Romain, sûrement. Je prend un post-it, le décolle du bloc, et le colle contre le frigo en écrivant : J'ai subis. J'ai appris. J'ai changés.

Je pensa a Janette, une larmes coula le long de ma joue. Je sors le papier de ma poche, enregistre le numéro : Merci d'être la. xx Spencer.

Mais j'efface tout au dernier moment, monte un sachet de Haribo dans ma chambre, branche mon ordi', installe un film. Je me cale contre les coussins, et m'endors. Je suis réveiller quand j'entend Arthur rentrait :

Moi : Arthur ?

Arthur : Oui ? Tu aurais pas du m'attendre !

Moi : Je mettait endormît. Ta mangeais ?

Arthur : Yes.

Moi : D'acc, j'me couche a demain fait des beaux rêves.

Arthur : Toi aussi bébé.

J'éteins tout, et m'endors paisiblement, sans penser au lendemain.

-trajet dans le métro-

Je met mes écouteurs, et écouté a font -I Need Your Love- De Clavin Harris et Ellie Goulding, ma chanson préférer. Je me sens légère et fraîche aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi. Je m'assois sur un siège tout pouilleux, et regarde par la fenêtre. C'est pas du tout comme dans les films. Moi ma tête elle se secoue contre la vitre, et sa fait mal. J'arrive au bistro', enfile ma tenue, passe voir Ian, qui me la demander :

Moi : Toc, toc ?

Ian : Oui, entre Spencer.

Sa commence bien, comment il sais que c'est moi ?

Moi : Tu voulait me voir pour quoi ?

On était dans une sorte de bureau, un peu crado' :

Ian : Tu parles bcp trop au clients, et surtout a ce blond la.

Moi : Oh, Justin ...

Ian : Tu le connais ?

J'eus un moment de bug. Alors comme ça, même au 21 eme siècle, il y a encore des personnes qui ignorent l'existence de Justin Bieber :

You are my essential.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant