You are my essetnial : Chapitre 19.

514 13 7
                                    

Je lui saute dans les bras. Il m'as tellement manquer. Son rire, son sourire.

-A la maison-

Justin : Mon amour, j'ai quelques choses a t'annoncer.

Moi : Oui ?

Justin : On se marie fin février.

Moi : Oh mon bébé, que je t'aime.

Il me regarde, j'ai envie de lui sauter dessus. Il se mord la lèvre inférieur, sans est de trop, je me jette sur lui, en oubliant mon poignet casser qui me fait affreusement mal :

Moi : Aie, aie, putain, merde !

Justin : ÇA VA ?

Moi : Oui, je vais prendre un anti-inflammatoire, je reviens.

J'avais envie de lui. Une envie qui ne se commande pas.

Arthur était rentrer chez lui, il était maintenant 23h46 et on regardait un film, avec Justin. Je commence a fatiguer :

Moi : Je monte me coucher bébé, je suis crever.

Justin : D'accord, je te rejoins.

Je monte, me change, difficilement a cause de ce putain de bras, et me couche. Vers 00h24 j'entend du bruit :

Moi : Justin ?

Pas de réponse. Ce con veut encore me faire peur. Mais cette fois-ci, rien ne pourras me perturber. La porte de la chambre s'ouvre je hurle :

Moi : AAAAAAAHHHHHHHH.

Justin : Bébé, c'est moi.

Merde.

Moi : Je dormais, tu m'as fait peur.

Justin : Pour une fois, je voulais pas, rendors toi, j'arrive.

-Le lendemain-

Mil faut que je choisissent la robe, le traiteur, les invités, et tout. J'ai encore rien commencer, le mariage et dans deux mois. Dans deux mois, je serais la femme la plus heureuse du monde. Pour l'instant, je vais faire du shopping avec Arthur. J'ai fait une liste de plusieurs magasins dans lesquels je veut qu'on rentre. On commence, par le commencement. J'essaye une dizaine de robe, j'en flash sur une, qui as de la dentelle dans le dos :

Moi : J'aile bien cette robe ...

Arthur : Moi aussi.

Vendeuse : Elle ne vous met pas du tout en valeur.

Moi : Je l'aime bien quand même. Elle coûte ?

Vendeuse : 689€.

WHAT THE FUUUUCK ? Je dois pas dépasser les 300€. Sinon je serais a sec avant la fin du mois. Même si Justin et la. Je m'en fout, je la prend, elle me fait tellement envie. Elle est parfaite :

Moi : Arthur, je la prends.

Arthur : Ta bien raison, elle est parfaite.

Gnia, gnia, gnia, dans ta gueule la vendeuuuuuse. Je sors mon porte feuille, et donne difficilement trois billets de 200€, et quelques billet de 10. J'envoi un message a Justin :

J'ai la robe, je vais chercher les chaussures.

Il me répond dans les dix minutes qui suivent :

D'accord. J't'attend mon cœur.

Il est si mignon. Je choisis des chaussure a plateforme rouge bordeaux, en accord avec ma robe. 200€, sa fait mal au cul. On appel un taxi, et rentre a la villa. J'ai mal a mon poignet, faut que je prennes mes médicaments :

You are my essential.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant