Blottie entre ses bras, je savais que le moment nous appartenait. Il était à moi encore une fois.
Mes levres saisisserent les siennes comme si elles voulaient les dévorer de passion, J'avais soif de sa peau, de son odeur et de son envie de me faire sienne.
Dehors je m'en fichais que le monde s' écroule ou bien même que le temps s' arrête, ma vie était la entre mes bras. Il me saisit et m'appuya contre le mur sans pour autant séparer son corps du mien.
Son torse à moitié trempé de sueur et d'impatience maîtrisait mes gestes et et son souffle près de mon cou me vida des derniers contraintes.J'étais prête à franchir ce pas, je le voulais à l'instant, je m'en contre fichais des préjugés, des regles socials, il était ma purification et ma seule réussite.
-"Laisse moi t'appartenir"
Lui lançais - je a bout de souffle. Mon coeur battait de plus en plus fort et ma peau tremblait d'envie folle qui me mettait en ébullition. Mes yeux étincelaient de besoin, je ne me retenais plus.
Mon corps ne me répondais pas, il criait d'amour et de soif. Je restais là blottie dans ses bras attendant qu'il se décide à franchir ce pas avec moi quand il me dirigea amoureusement dans la salle de bain.Il me déshabilla de baisers sensuels tout en dévorant ma peau qui m'hurlait de l'intérieu. Je me retrouvais nue devant lui encore une fois.
-Prends tu une douche avec moi?
Sa bouche sucait mon cou et ses mains cherchaient déjà aveuglement le chemin qui menait à mon refuge feminin. Nous étions déjà sous l'eau, ses lèvres resaissaient les miennes quand je le deshabillais à mon tour.
Je ressentais déjà sa virilité sous mes doigts, yeux fermés je pris possession de ce noir intense que je prenais un malin plaisir à arpenter.Nu et nue, l'eau nous consommait et tout ce que je ressentais n'était que pure satisfaction. Je le caressais et il me rendit le plaisir que je procurait, je sentais qu'il aimait me voir jouer avec sa masculinité, ses chuchotements à mon oreille et sa façon de me serrer fort contre lui m'a beaucoup aider à garder le rythme.
Pour une première fois j'étais sous l'eau sans y prêter attention à sa douceur. Elle n'a pas eu besoin de m'aimer cette fois puisque Hash faisait déjà seul le boulot.
De la douche à la chambre, mon plaisir n'a fait qu'augmenter. Je redoutais ce moment temps attendu mais je n'avais plus cette peur sous la langue tout ce que j'avais, c'était le besoin d'aimer cet homme comme jamais personne ne pourra l'aimer.
Il me prit et me deposa sur le lit pendant que ma seve me glissait entre les cuisses. Il quitta ma bouche et descendit jusqu'à mes seins en chaleur et ses mains qui ne lâchaient toujours pas mes fesses qu'il pesait au fur et à mesure que je prenais plus de plaisir.
Mes pieds contournaient ses hanches et mes mains serraient les oreillers qui semblaient souffrir bien plus que moi.
J'étais à bout de mots, j'essayais de contrôler mes gémissement pour ne pas alarmer les voisins mais mois j'emettais de bruit plus je voulais crier et plus j'emettais et plus Hash semblait vouloir me manger ce que j'aimais bien.
Sa langue se baladait déjà vaguement dans mon clitos quand il decidea d'y prendre refuge. Ce qu'il me fit n'avait pas de mot, cette sensation etait majestueuse et si intense.
Je n'arrivais plus à contrôler mes mouvements, j'etais couchée la, toute nue et vulnerable, j'étais cernée et piégée dans autant de bonheur que mon corps me procurait.
Je voulais qu'il remonte et m'agrippe de plaisir que seule sa langue dans ma bouche pouvait me procurer."J'ai envie de toi"
Voilà les derniers mots qui m'a condamné à cette peine bien merité. Je sentis sa masculinité me traversé et c'etait intense, il était vive et raide, cela me faisait très mal, et ce fut une douleur que je concevais agréablement avec mes levres qui mordaient son cou et mes mains qui serraient fort son dos.
Il s' incrustait en moi et contrôlait legerement ses va et vient car il savait que je souffrais et que je rêvais trop de cet instant. J'aimais émettre mes gémissement à cet homme qui me faisait vivre la plus belle expérience dans la vie d'une femme.
Au bout d'un moment il s'arreta et me regarda dans les yeux comme pour y prendre refuge tout en caressant ma peau qui souffraient passionnément. Il descendit ses mains dans ma féminité et entrait deux doigts pour voir si j'allais le supplier d'arrêter.
Je l'aime
J'aimais cette sensation d'impuissance qu'il me procurait.
Je ne le lachais pas, j'aimais sa peau et j'aimais cette douleur nouvelle. Je ne voulais pas qu'il s' arrête, je voulais que ça dure encore et encore. J'étais sienne et lui mien. Nos corps s'unissaient, ce lien n'etait pas celui qu'on bâtit pour une semestre mais c'était celui que la mort elle même ne pouvait détruire car le corps meurt mais l'amour jamais.
Au bout d'une seconde je fus la femme la plus comblée du monde quand après mon plaisir mi paradisiaque et mi douloureux. Je me réveilla un peu fiévreux deux heures plus tard et il était là allongé près de moi.
Ce visage était celui que je voulais voir à chaque fois que je me réveillerai le matin. Il était là comme je l'ai toujours voulu et dans la tenue qui lui allait le mieux.
J'aurai aimé que ce moment ne s'arrête jamais mais il commençait à se faire tard et je devais bientot rentrer pour me retrouver encore une fois seule dans ses quatre murs qui me servent de chambre.
VOUS LISEZ
Plus D'une Fois
RomanceJe lui aie pris son sourire puis il est devenu mon marthyr. Aussi loin que je puisse aller, de mes pas ou par mes gestes, dans ses sueurs je m'y immergerais plus d'une fois