De Feu Et de Glace

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Ce qui se dressait devant elle la ravissait autant que cela l'inquiètait. Tant de vie avait repondus à l'appel sans une hésitation. Alors qu'elle restait tapis dans l'ombre d'une batisse, elle observait les combattant des quatre coins de Gardar rassemblé pour l'accompagné dans sa quête folle. Forgerons, médecins, epicié, boulanger... Tous étaient venus, esperant pouvoir aidé à la liberation de leur pays. Trois mois, voilà ce qui lui avait fallut pour répendre sa follie à travers le territoire. Trois mois que c'est amis avait tous sacrifier pour la suivre. Trois mois qu'une rage de vaincre grandissait en elle, ne souhaitant qu'à être assouvie. Elle avait pensé à abandonner avant que cla ne se propage, mais en voyant tant d'âme prêtes à tout pour sortir vainqueur de cette affrontement meutriers, elle ne pouvait qu'être fière.

Elle avait peur. Elle était anxieuse. Mais comme à son habitude, elle ne montrait rien et restait de marbre. Elle endossait le rôle d'Eladan, elle n'avait pas le droit à l'erreur.

Elle restait à contemplé son profil dans la glace. Une armure noir comme les ténèbres, aussi légère qu'une plume. Les details parsemés d'ors. Son casque gracieusement arrondit, seul deux rectangle lui permettait de voir correctement. Sur ses épaules, deux épaulette dorés en forment d'ailes. Sous son armure, une côtes de mailles argentés étincellante.

Son armure près du corp la protégeait parfaitement.

Elle sortit de sa chambre avec la grace feline qui lui allait si bien et passa devant les regards respecteux qui accompagnait son passage digne des Dieux. Ses deux katanas solidement fixés dans son dos, ses dagues fidelement accrochés sur ses hanches, elle se sentait revivre.

La flamme qui embrasait son corp en une delicieuse torture parraissait bien ridicule comparé à sa détérmination. La vie lui avait tous pris et ce soir, elle contait bien lui revoyer l'appareil. La douleur qui lui lacerait le corp était plus violente que jamais et elle sut que cette bataille ne serait de tout repos. Elle voulait être là pour transpercer le corp de la Reine des Glaces. Si elle devait mourir, elle mourrait sur le champs de bataille. Elle fut rejoins par Dereck et Kana, Kyle, Poséidon, Arès, Apollon, Aphrodites, Athéna et même Cade. Ils étaient tous réunis et avançaient fièrement à travers les courageux volontaires déjà armés. Les gens s'écartaient sur leurs passages, ils imposaient un respet indégniable sans orcément sans rendre compte. S'ils devraient mourir, ils mourront, ensemble. Dans la vie comme ans la mort. Dans la joie comme dans la peine. Dans les larmes et dans le feu. Dans le bonheur et dans la paix.

Elle leva son regard vers le ciel. La nuit était claire, noire et froide. Reflet de l'âme de la Multiple. Elle n'était pas un être pur et sans défauts, elle representait un equilibre instable entre le bien et le mal. Son esprit était une balance risquant par un coup de vent de basculer à tout moment. C'est cela qui la rendait unique. Elle n'était pas l'incarnation de la bienveillance, loin de là. Elle avait tué, souffert et fais soufrir. Dans sa frêle enveloppe charnel deumerait une flammes. Une flammes devastatrice et incontrolable. Ce combat marquerait la fin de Aire, innevitablement. Malgrès cette evidance , elle se devait de tout faire pour liberer cette communoté. Elle refusait de laisser mourir ce royaume à petit feu. Elle n'accepterait pas qu'il se conssume comme elle. Elle était le reflet imparfait d'une bougie. Fondant petit à petit, devoré par un feu indomptable. Elle avait plus souffert durant les mois précédents que durant toutes sa vie et cela n'allait surement pas s'arreter.

Alors qu'elle montait sur la grandes estrade et observait les rues de la Montagnes des Dragonniers remplis par des volontaires, aussi fous que courageux.

Son gout prononcé pour la solitude revint au galop.

La puissance d'un discours pouvait égalé sans le problème celle de l'épée. Elle le savait mieux que quiconque. Elle inspira et expira un grand coup avant de se lancer d'un voix puissante et détérminée ;

-Vous savez tous pourquoi vous êtes, vous l'avez choisi. Nous allons perdres des frères, des amis dans cette bataille. Ce ne seras pas une partie de plaisir mais cela, vous le savez déjà. Par les tranchant des lames nous ferons regnez la justice. Par la force de nos convictions nous imposerons la paix ! Ensemble, nous sommes plus fort, plus puissant que les guerriers de cette Reine qu'y n'ont ni âme ni raison ! N'oubliez pas que nous nous battons pour une raison défendable au peril de nos vies ! La Terre est à nos côtés, des animaux marins a ceux celestes ! Les puissant rugissement de nos dragons raissonneront dans le ciel comme un chant de combat ! Les sifflement métalliques de nos armres demontreront notre courage dans la victoire et le sang ! Mes amis, nous sommes ici par choix ! Nous nous devons de proteger ceux qu'y nous a été léguer ! Morts ou vifs, nous sortiront de cet affrontement sanglant ! Ce combat n'est pas une enfanteries, ce n'est plus Nous contre Nous comme à l'époque des chamailleries primaires ! Cette fois, c'est Nous contre Eux ! Nous allons prouver nos valeurs ! Ensemble, nous vainqueront l'adversités !

Des cris de guerre s'éleverent. Leurs chants merveilleux s'éleva en miroir à ceux des Bêtes Sauvages. Ils partaient affronter la Reine des Glaces d'un commun accord.

Un rugissement celeste doubla ceux des autres. Une immense dragonne, vetue d'une armure en poussière d'étoile apparut alors. Tous ne purent la quitter des yeux, elle representait l'ésprit de la terre. Puissant, magnifique et pure. Apocalypse se posa fierement aux côtés de sa fille en emettant un rugissement d'une puissance à faire trembler les murs du palais de la Reine, térrées aux fins fond de Lasfar. Bien sur, il fut suivis de crit, Humains comme Bestials.

Diamond leva le poings en l'air et ajouta, criant cette fois ci, la rage de vaincre se refletait dans sa voix. Parmis cette harmonie de chant guerrier, seule Apocalypse et Diamond était écouter par tous.

-Cette Terre est notre Empire, pour vaincre ou pour perir !

Le chant de guerre retentit une nouvelle fois, cette fois, ils étaient lançés.