That a life

•Chapitre 1

Je ramasse les verres et le mis sur mon plateau et continue mon service, j'ai de la chance aujourd'hui il y a pas grand monde, ça fait deux semaine que j'ai commencé à travail dans ce petit restaurant, j'apprécie beaucoup cet endroit les gens song très sympathique entre et je reçoit beaucoup de pourboire de la pars des clients, mon petite boulot aide à me payer mon petite studio. Je suis partis très tôt de la maison parentale pour avoir plus d'indépendance et je supportais plus qu'on me considère comme une enfant à l'âge de 19 ans. Je vis seule avec mon chat, je suis seul et c'est très bien ainsi, j'ai pas vraiment beaucoup d'amis à pars Axel, je l'ai rencontré ma toute première fois au restaurant car lui aussi était employé au restaurant qui appartiens à son oncle.

Je finis de nettoyer les tables, jusqu'au moment ou je me fais bousculais et tombe par terre.

- Vous pouvez pas regarder, ou vous marchez bon sang !

Je lève la tête est regarde l'individu, il est très grand, même si je suis encore assise par terre, il me domine, je peux pas voir à quoi il ressemble, il a des lunettes de soleil et ça capuche est rabattue, c'est la premier fois que je le vois, ce type de personne est rare ici, même si sa fait pas longtemps que je suis dans la ville.

-Euh..toute mais excuse je vous avez pas vus.

Il ne dit plus rien, il me regard juste, à me regarder comme ça me donne des frisons, même si je peux pas voir son regard, il me dévisage.

-Charlie ! On a besoin de toi en cuisine

J'ai tout de suite reconnue la voix de Axel, en attendant mon prénom mon inconnue reste bouche bée, euh il y a un problème mon prénom, lui plais pas ? Au bout de quelque seconde l'inconnu me tendis ça main, il a des gants en cuirs, je regards sa main et lui, comme je ne bouge pas, il prit ma main et me tira et me remis sur pied et il me relâche et prit la fuite.
Quel drôle d'inconnu, je devrais posez la question à Axel, si il avait déjà vus cette personne.

Enfin j'ai finis mon service de la journée, je mets toute les chaises sur les tables car je suis toute seule, Axel est partie plus tôt pour un problème familial, alors il m'a confié le restaurant, je referme la porte, je sent une présence derrière moi, je me retourne mais n'a perçue personne et je ne voyais pas bien comme nous sommes en début d'hiver et la nuit est déjà tombée.

Je continue à marcher dans les ruelles qui est peut bonder. Je sens encore la présence de toute à l'heure, j'avance plus vite et changea de rue.
Je sentis, qu'on tira sur mon poignet pour m'arrêter, son toucher est glacer se qui me fait basculer, je sentis la main glacer se mettre sur ma bouche.

-Ose sortis un son de ta bouche est, je te tranche la gorge.

Il chuchota tout près de mon oreille, il sentait l'alcool et la cigarette. Je confirme en hochant de la tête.
Il relâche la pression de sa main, et me pousse contre le mûr, le choque du mûr, me fis sortir un son aigu, il s'approche de moi et me releva en collant mon dos contre le mûr.

-Ma jolies, tu devrais pas sortir aussi tard la nuit, qu'elle est ton prénom ?

Quoi ? Je comprend pas, il m'a menacer de me tuer et ensuite il demande mon prénom.

-Je..j...cha..r..l

-Chat ? Drôle de prénom, mais on pourra le changer.

Mais de quoi il parle, commença changer mon prénom, je lève les yeux pour voir à quoi il ressemble.
Je vois que ses yeux marron, son visage est recouvert d'une sorte de foulard qui recouvre la moitier de son visage, je frisonne en sentant sa main agripper mon poignet.

-On dois se grouiller, le patron n'aime pas attendre.

Il me tira, sur mon poignet et nous marchons, entre les ruelles qui est comme de pars hasard désert, la seule chose qui est présente et la lune et les lampadaires.

-Attendre...qui ?

Je tire sur mon poignet, pour qu'il arrête d'avancer et réussis à retirer sa main, je recule et regarde c'est pupilles qui deviennent sombre.

-Tu te prends pour qui, on se connait même pas, tu m'emmène je ne sais où, je suis pas un ob...

Je n'ai pas eux le temps, de finir ma phrase qu'il me gifla se qui me fit tomber au sol, je posa directement ma main sur ma joue et le regarda avec un air menaçant.

-T'ose encore me contredire, je te fou une balle dans la tête, petite conne.

Il tira sur mon bras et me traîne jusqu'à sa camionnette, il me balança dedans et referma la porte énerver. L'odeur du véhicule, sentait la transpiration et le moisie. Je sentis que le véhicule commença à rouler, je me colla contre les parois, pour te pas tomber.

J'ai vraiment peur, mais ques qui m'arrive, fallait vraiment que ça tombe sur moi se style de situation, je sais même pas où il m'emmène, il vas me violer, séquestrer, trop de question qui me trotte la tête, que je n'avais pas remarqué qu'on c'était arrêter.

Je n'entendis plus rien, alors j'essaye de me lever, dans l'endroit confiner en essayant de sortir, au moment où j'ai voulus essayer d'ouvrir la porte, j'entendis un bruit sourd, comme une sorte de fusil, je me figea et ne fit plus de mouvement.

Quelque minutes passèrent, mais il y avait toujours rien, j'ai vraiment peur, je ne comprend pas vraiment ce qui m'arrive, pourquoi le véhicule ne roule plus ?
Je me relève et essaya d'appuyer sur la poignée sauf que au moment la porte s'ouvra, je bascule pars l'avant.

-Merde !

Il aurait pus me rattrape cet idiot, je me releva en caressant mais fesses, je leva la tête et resta bouche bée.

Encore lui...