Mi-humaine mi-dragonne

chapitre 2

PDV MAGICIEN :

Quoi c'est une humaine! Je vais me faire tuer par ce dragon.

- Te moquerais-tu de moi? Sache que je n'est pas beaucoup d'humour. Me dit-il en se tournant vers moi.

- J'ai essaillé de vous prévenir mais vous ne m'en avais pas laissé l'occasion. Raipondis-je paniqué.

- ÇA SUFFI. Je vais te laisser la vie sauve, mais tu vas le payer!

Il commence à se mettre en position d'attaque. Il ne va pas cracher tous de même ?! Je cour vers le bébé, le prend dans les bras et cour vers un arbre. Juste à temps! Le dragon se mis à cracher du feu sur ma cabane. Il se redresse et me dit :

- Voici ta punition tu devras t'occuper de ce bébé.

Je me contente d'hôcher la tête. Il me tourna le dos puis s'en alla.

Je regarde le bébé en train de pleurer dans mes bras. Ces yeux étaient devenus rouge et des écailles avaient poussé sur son corps. Je me mis a la bercer et à lui chanter une vieille chanson de mon enfance :

"Sont des hommes de grand courage, ceux qui partiront avec nous. Ils ne craindront point les coups, ni les naufrages, ni l'abordage, du péril seront jaloux. Tout ceus qui partiront avec nous.

Ce seront de hardis pilotes, les gars que nous embarqueront. Fin gabiers et francs lurons je t'escamote, toute une flotte bras solide et coup d'oeil prompt tout les gars que nous embarquerons.

Ils seront de fiers camarades, veux qui navigueront à bord, faisant feu bâbord, tribord, dans la tornade, des canonades vainqueurs rentreront au port tout ceux qui navigueront à bord.

Car c'est le plus vaillant corsaire qui donna l'ordre du départ. Vite en mer et sans retard. Faisons la guerre, à l'Angleterre, Car c'est le fameux Jean qui nous commandera le départ. "
( désolé ça correspond pas vraiment à l'époque ni au lieu mais quand j'étais petite j'adorais cette chanson )

Elle avait arreté de pleurer. Elle dormait et ses écailles avait disparue. Je penche ma tête vers elle et lui fait un bisou sur son front, puis lui murmure :

- Dort bien Emma.

Je la dépose sur un tronc d'arbre et me mis à reconstruire ma cabane.

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10 ans plus tard
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PDV EMMA :

Je me tenais entre deux arbre prête à tirait avec mon arc sur ce lapin. Je lâche la flèche qui part droit sur le lapin. En plein dans le mil. Je pris le lapin par les pâtes et courue vers la cabane.

- MAÎTRE! MAÎTRE! J'AI NOTRE REPAS POUR CE SOIR!

- C'est bien Emma. Maintenant rentre il commence à être tard.

Il prit le lapin et l'embrocha pour le faire cuire.

[Ellipse du repas]

Je venais de me coucher et mon maître, le magicien, venais me border et comme à son habitude, il me raconta l'histoire qu'il me récite chaque soir :

-"Une vieille légende raconte que Dieu aurait crée trois colliers, composees d'une croix seltique attaché à une corde. Dieu décida que si une personne est capable de réunir ces trois colliers,cette personne est aussi capable de braver des épreuves très perilleuses, et qu'il mériterait la vie éternelle et que c'est pour ça qui lui en ferait cadeau."

Il me tant une boîte, je la prend et l'ouvre. Un collier qui ressemble étrangement à celle de l'histoire.

- "Mais si jamais une personne devait avoir la vie sauve elle deviendrait folle"

Il sort le collier de la boîte et me le met autour de mon cou.

- C'est pour ça que tu devras protéger ce collier à tes risques et perils. Tu devras ne le montrer à personne et le garder toujours sur toi.

Il se penche vers moi et me fais un bisou sur le front.

- Bonne nuit Emma.

- Bonne nuit maître.

Il se retourne puis sort de la cabane et s'assoit devant le feu tout en chantonant une chanson qui me berce dans mon someil.

Le lendemain il neigait et je fus réveillé par le maître.

- Lèves-toi vite, il arrive.

Je me lève et mon maître me plaça derrière une armoire.

- Ils viennent me chercher, quand je te le dirais tu partiras en courant vers le royaume le plus proche et tu demanderas à se qu'on s'occupe de toi.

On frappa à la porte. Mon maître se tourne vers la porte, mais avant de l'ouvrir il me chuchota :

- Tiens-toi prête.

Il ouvrit la porte. Deux soldats se tenait devant lui.

- Monsieur par ordre du roi nous devons vous amener à lui. Dit l'un deux.

Maître ouvrit la bouche pour répliquer mais il n'eu pas le temps de dire un mot qu'ils le prirent par les bras et attachèrre ses mains.

- MAINTENANT. Cria mon maître.

Je courru vers l'extérieur et entendis les soldats :

- ELLE S'ENFUIT.

- Laissez-là se n'est qu'une gamine.

Je courue de toute mes forces. À quelques mètres de moi j'aperçu une immense château. J'aurais voulu faire quelques pas de plus, mais j'étais épuisé et je mourrais de froid à cause de la neige qui tombez. Je m'éfondris sur le sol recouvert de neige et perdis connaissances.