C'est l'histoire, une fille simple, jeune de 19 ans. Une fille qui travaille dans l'esthétique. Elle a perdu son père à l'age de 8 ans mort d'un cancer du poumon. Seule, avec sa mère, son frère et quelques amis. Un soir son frère l'entraine dans une...
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Il est là, devant moi.je peut sentir son souffle, voir sa poitrine se relever pour respirer difficilement. Sa main sur ma anche je me laisse entrainer dans une danse sans fin. On danse jusqu'à en avoir mal au pied. Je ne quitte pas ses yeux d'une seul seconde et lui fixe les miens intensément. On est dans une sorte de trans où personne à par nous ne peut y rentrer. Le slow se termine, pour une chanson plus pop électro, mais c'est pas grave. Toujours sa main sur ma anche, on continue notre slow dans notre monde tandis que les autres jeunes dansaient, sautaient et criaient. Rien ne nous atteignait. J'avais enlevé mes talons pour éviter mon mal de pied, j'avais aussi enlever mon pull de sur ma combinaison pour avoir moins chaud du a cette danse avec ce jeune.
Je me sort de son emprise bien trop possessive à mon gout, je sort de la maison pour prendre l'aire dans le jardin. Je m'assoie alors sur une marche et regarde le ciel, les étoiles pensive. Que m'arrive-t-il ? pourquoi me fait-il autant d'effet ? Je ne peut répondre a ses questions. Un air frai viens alors frôler mes bras dénudé pour ensuite leurs donner la chaire de poule. L'air c'était rafraichit. C'est alors que lorsque je mettais décidé de rentrer au chaud, on déposa une veste sur mes frêles épaules. Je me retourna pour voir l'auteur de se geste. Lui. C'est le garçon avec qui j'avais danser quelques minutes au maravant.
On regarde tout les deux droit devant nous. Aucun de nous deux n'osait briser le silence qui reposer. Timide, je ne regarde pas ses yeux, en fait je ne le regarde pas du tout. Il fit de même. Quelques minutes suivent sans aucun changement mais c'est alors que ce silence froid me pèse, alors je décide de le briser.
- Merci. dis-je simplement sans un regard.
A ce mot simple, je le sentis se tourner vers moi, et me regarder fixement, comme s'il voulais me dévorer des yeux. Je l'évite du regards, sinon je vais être ensorcelé je le sent. Mais l'envie de regarder encore une fois ses yeux magnifique pris le dessus et je finis par tourner la tête. Ses yeux et les miens entrent en contacte et ne se lâche plus, ce que je craignais est arrivé. Il se rapproche de moi, son visage se rapproche du miens et peu à peu il réduit la distance. Ses lèvre qui donnait tellement envie d'être gouter m'attirait, mais au dernier centimètre celui qui séparer encore nos lèvre a été décisif. Je tourna la tête a l'opposé de la sienne.
Je ne vais pas embrasser le premier garçon venus enfin ! Mais même de dos je pouvais sentir son sourire s'élargir de plus en plus. Mais la seul chose que je n'est pas su savoir c'est s'il été mesquin et vainqueur ou s'il été fière et affectueux.
Et se seul détail aurais pu faire toute la différence.
