- O... Oréa ?
Elle releva sa tête vers moi et renifla.
- Lai...l...laisse moi, s'il te plaît.
- Non, Oréa je m'inquiètai moi ! Tu aurai pu me prevenir! J'ai appelé un numéro, je suis tombé sur ton frère, je ne sais même pas comment tu as eu mon numéro ni pourquoi tu as annulé notre rendez-vous, et pourquoi tu pleure... Je t'apprécie énormément, Oréa ! Te voir dans cette état, ça me brise en mille morceaux !
Mes cris arreta ses pleures.
Elle me fixais avec des enormes yeux. Elle se releva.
- Jack... Je...Ecoute moi, ça me touchr que tu t'inquiètes pour moi mais c'est pas la peine, et je pleure pour quelque chose de pas intéressant, tu'as pas à t'en préoccupé.
- Tu en vaux la peine.
- Jack... Je...
- Et si je m'en préoccupe ?
- Je ne te le dirai pas, Jack, c'est...personel. Respect ca.
- D'accord je n'insisterai pas, Oréa. Alors juste, est ce que je peux faire quelque chose pour ca ?
- Non.
- Et toi tu peux faire quelque chose ?
- Non, j'y peut rien c'est la vie.
De quoi elle parle...
Un grand silence s'installa dans notre conversastion. Elle éclata alors en sanglots. Je l'a pris dans mes bras.
- Je m'inquiète vraiment pour toi, s'il te plaît, explique moi.
- Viens, dit-elle toujours en pleurant.
Elle prit ma main et elle me conduit jusqu'à la bibliothèque.
On entra et elle s'asseya au poste d'ordinateur. Elle alla dans Safari et chercha : 'wattpad'
C'est quoi ça...
- Si tu tiens dans à savoir, je vais t'expliquer. J'ecris des fictions a succès sur un reseaux appelé wattpad.
Elle avait repris le sourire et elle m'expliquer pleins de chose.
Je l'écoutait très attentivement.
- Ma fiction la plus connue, " When Emma meets life ", à fait plus de 75millions de vues et est la première dans le classement dans sa catégorie.
Je restait bouche-bée. 75 putain de millions de vues. C'est plus que la population de la floride. C'est enorme.
- Bah, felicitations ! Putain...C'est incroyable ! Je suis tellement fière, pourquoi t'as caché un truc comme ça ?
- Parce que j'avais honte.
- Honte de quoi ? Oréa, c'est surnaturel, je...
Elle pointa l'écran du doigt. C'était des commentaires. Au début, je ne compris pas trop. Puis elle me demanda de lires les commentaires.
" c'est nul arrête tes fictions sinon je te bloque ! " Ta gueule... " c'est tellement de la merde c'est même pas original " Toi aussi, t'es pas orginal, tu pourrais ecrire d'autre chose que les commentaires juste au dessus " arrête sinon je vais vomir " si je vois ta gueule je vomis " je te conseille d'arrêter Wattpad " Moi je te conseille d'aller de faire foutre. " c'est pas parce que t'as 75 millions de vues que c'est bien " Un peu quand même " arrête de te la peter t'es conne " Je les emmerde.
Je l'a regarda. Elle fixait l'écran. Je vis une larme couler sur sa joue alors qu'elle avait retrouvée le sourire. Elle se retourna vers moi puis elle baissa les yeux. Je releva sa tête. Elle pris mon visage et s'embrassa. Elle m'a embrassé. Oréa Sparks m'a embrassé. Je craque sur elle depuis 2 ans, et 2 jour après lui avoir parler pour le première fois, elle m'embrasse.
J'ai pas su comment réagir.
J'ai dis n'importe quoi.
- Ça te dit on va chez moi ? je lâcha.
Merde, elle va croire que je veux baiser. Putain, m'a question elle est nul.
- Avec plaisir, dit elle en prenant ma main et en souriant.
Je rêve. Elle a dit oui.
On marcha main dans la mains.
Ses mains sont douces et froides, j'adore ca. Je l'a regardais pendant tout le trajet. Elle me parlait de wattpad, de ses fictions, à quelle point elle aime ses gentils abonnés. Je l'écoutait parler en la regardant. Elle était magnifique. De temps à autre, elle me regardait et souriait tout en continuant a me parler. Ce qu'elle est chou.
Lorsqu'on arriva chez moi, on resta dans l'entrée pendant plus de 30 secondes.
- J'en ai marre d'attendre, je lui dis.
Je la pris par la main et la conduit dans la chambre. Elle s'asseya sur le lit. Je commença à l'embrasser. Elle enleva mon t-shirt. Je m'assis sur le lit et elle mis ses jambes autour de moi. J'adore cette sensation. On resta dans cette position pendant au moins 30minutes pendant qu'elle continuait à m'embrasser.
- Ça compte comme un premier rendez-vous ? je lui dis.
- Ça me vas, comme premier rendez-vous.
Elle souria et continua à m'embrasser.
