III.

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Céleste, jamais je n'ai entendu ta voix mais qu'importe. J'aimais lorsque l'on se regardait et que l'on se souriait mutuellement. C'était notre petit rituel à nous et ça nous suffisait.
On ne s'est jamais adressé la parole mais bon ce n'est pas important. J'aimais passer mes journées à tes côtés à t'admirer dessiner quelques visages souriants.
J'aimais ce silence qui s'imposait entre nous.
Et t'sais quoi ? J'crois bien que toi aussi.

Céleste Où les histoires vivent. Découvrez maintenant