Chapitre 3

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28 août 1830, Cher confident,

Nous sommes dimanche : le week-end C'est-à-dire le temps pour moi de me reposer, profiter dans oublier de faire mes devoirs. Hier,la soirée avec Tom a été très sympathique. De plus, je trouve l'endroit idéal (la bibliothèque). Je raconte comment j'occupe mon temps mais je pense que je ne dévoile pas assez mes sentiments. Il faut l'avouer ; en moi se mélange tristesse, colère et une peine à accepter mes erreurs. En faite, je n'arrive pas bien à me projeter dans l'avenir : c'est le flou, le vide... En plus, j'en ai jamais été aussi éloigné de mon père et la communication par lettre est lente. Malgré tout, je dois rester fort dans ma tête et surmonter cet obstacle. N'est-ce pas moi qui ai dit l'autre jour que j'avais une immense chance et qu'il est interdit d'y renoncer ?Je vais prendre mon courage à deux mains et écrirais toutes mes peines s'il le faut pour me remonter le moral. Ça va un petit peu mieux déjà je crois.


04 septembre 1830, Mon journal,

Je me rends compte que tu me permets de m'évader et je prends du plaisir à écrire. Que le temps file, je suis débordé mais j'aime prendre le temps d'écrire. La journée terminée ; en rentrant au dortoir, jai découvert sur mon lit un lettre : celle de mon père !


Ton papa                                                                                                                le 31 août                                           petite fermette d'Highbridge,

Mon cher fils,

L'heure était venu pour toi de quitter le foyer et tu peux t'assurer que je suis extrêmement fier de toi ! Je me porte bien, ne te fais aucun soucis pour moi. Je pense que tu en as déjà à faire alors réussis, tu es ma motivation de travail et mon plus grand bonheur. Je mène un train de vie quotidien et j'arrive à m'en sortir dans les tâches de travail sans ton aide. Je suis content de savoir que l'école te plaît et que tu t'y sentes bien. Tu me manques aussi mais dis toi que plus tu avances dans le temps,moins il en reste jusqu'à notre date de retrouvailles.

Ton papa qui t'aime


Cette lettre m'a remonté le moral à bloc et m'a un peu touchée. Je ne cache pas que j'ai versé une petite larme. Je me suis empressé de lui répondre avant d'écrire à mon journal. La fatigues s'installe un peu après deux semaines de travail mais j'ai des bonnes notes(18, 14 et 11). Je vais maintenant me reposer.



Merci de lire ma fiction, vous commencez à devenir nombreux et je vous en remercie. Ce chapitre est un peu court mais dans la prochain qui arrive très vite des bouleversements arrivent alors n'hésitez pas à vous abonner pour poursuivre les aventures de Mellig et voir qui il est !



Le journal d'un étudiantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant