- Just Minou -
« Je veux que tu me promettes quelque chose. Si tu aimes quelqu'un, tu lui dis. Tu lui dis, même si tu as peur que ce soit déplacé, même si tu as peur que ça crée des problèmes, même si tu as peur que ça vienne bouleverser toute ta vi...
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Je me lève et me dirige vers le surveillant qui nous surveille depuis déjà une heure. Je tends ma copie et fais ma signature pour confirmer que j'ai passé mon épreuve. Je range tous mes stylos que nous avions dus sortir sur nos tables par peur de triche, je referme mon eastpack et quitte la salle. Je retrouve des camarades de ma classe et sort enfin de ce bâtiment qui nous domine depuis 2 jours. J'envoie un message à ma maman pour la prévenir que j'ai finis mon épreuve. Je m'assoie vers les garçons de ma classe et la je les vois arriver. Les six sont là !
Mes « super amies » sont la à rire aux éclats car les examens sont finis. Je réussis à entendre un petit bout de leurs conversation.
« Ca y'ai enfin fini!. »
Oui enfin tu vas arrêter de nous faire chier avec tes annales brevet !
Toujours autant d'animosité entre elles. Enfin je le vois arrivé en courant vers moi et me sautant dans mes bras.
- Enfin finis ces examens !
- Pas tout à fait.
- Ah oui c'est vraie que tu me laisse tomber.
- Oh arrête on en à déjà parlé et tu sais très bien que je ne suis pas sur d'être prise!
- Je disais ça pour te faire enrager, tu l'auras ton école, ne tant fais pas ! Au fait tu peux me ramener ?
- Mais oui ne tant fais pas.
Après ce moment de soulagement, je me dirige vers le portail et vois la voiture de ma maman. Je retourne donc chercher Paul, jusqu'à ce que Juliette m'interpelle.
Elle me colla au mur et me dis.
- Tu comptais partir sans me dire aurevoir!
- Excuse moi mais je dois y aller !
Je la bouscule et rejoins Paul qui ne me quittais pas du regard. Nous montons dans la voiture et partons au collège pour voir les résultats de mon orientation.
Nous arrivons et je tremble comme une feuille. six mois que je me bats pour entrer dans cette école hôtelière.
Nous entrons dans ce bâtiment où j'ai passé 4 ans de ma vie, 4 ans à en baver pour avoir un niveau convenable comme on disait dans ce collège.
Nous sommes les premiers, mais entrons dans le secrétariat. La secrétaire nous lance un regard noire et dis
- Il faut attendre la directrice.
Quelle bande d'emmerdeur, et oui je suis surement vulgaire mais quand on travail pendant six mois comme une folle pour y arriver et que l'on te dis qu'il faut attendre la directrice. Mais bon nous patientons, je suis assise et tremble de tous mon corps. Paul n'arrête pas de me fixer mais je n'arrive pas à me calmer. Il s'assoit donc à mes côtés et me prend la main.
- Maé je suis la, okay ne tant fais pas, tu vas l'avoir ton école.
La secrétaire nous fixe et fait un sourire au coins, je vais paraître paranoïaque mais je suis sur qu'elle veut me faire passer le message « tu n'est pas prise, ne rêve pas petite ».Mon stress est présent et ce montre de plus en plus, je commence à devenir toute pale, lorsque j'entend des pas qui ce rapproche de plus en plus de nous. La directrice est là planter devant nous et nous regarde étonnée de nous voir là. Paul me sert de plus en plus fort la main pour ne pas que je défailles.
- Bon alors monsieur Smith voilà votre admission en seconde générale au Lycée Edouard Herriot.
- Merci madame. -prenant la feuille-
- Bon Melle Woodley on lui dit ou pas ?
Les larmes coulèrent toutes seules, c'est bon je ne suis pas prise
- Tenez melle.
Elle me tend la feuille et la je lis.
« Affecter en seconde technologique hôtellerie restauration Ecole Hôtelière Savoie Léman ».
Les larmes ne s'arrêtèrent pas de couler, Paul me pris dans ses bras et me sera de toutes ses forces.
Lorsque j'arrive de me remettre de cette nouvelle et à aligner deux trois mots, la directrice me regarde fixement et me dis d'un ton sec.
- Oui eh bien ne vous faites pas à l'idée que tous est gagné! Vous vous mettrez à bosser!
Après avoir entendu ces paroles assées violentes à mon goût, nous quittons cet établissent les yeux rouges mais libre d'un poids qui pesait énormément depuis des mois. Une nouvelle chance s'offrait à moi je ne pouvais pas gâcher encore une fois une chance à tous reconstruire.
