Chapitre 2 : Un mauvais début

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16 juin 2008

Je venais d'avoir dix ans, à cet âge là, une majeure partie des enfants joue aux petites voitures, à la poupée mais tout ça n'était pas fait pour moi. Moi ce que je que préférais, c'était simple : de longues heures de solitudes à me perdre dans mes pensées, mon imagination.Pendant que les autres élèves jouaient ensemble au moment des pauses, je restais seul. 

J'eu besoin de quelques années pour commencer à m'ouvrir aux autres personnes. C'est comme ça qu'à mes douze ans que j'ai su rencontrer mon meilleur ami aux louveteaux, et une année plus tard un super ami. Pendant mes premières années d'adolescence je l'ai perdu de vue et recommença par la même occasion à me renfermer sur moi même. Ce n'est qu'à mes seize ans que je me remit à m'ouvrir aux autres grâce à la classe que j'avais cet année là où l'ambiance était au rendez vous et le fait d'avoir mon meilleur ami et mon autre ami avec en classe. 

Cette année là fut un énorme carnage pour moi : problèmes scolaires, mauvaises entendes avec certaines personnes et aussi de mauvaises idées comme la fuite ou même la mort. Aussi à force de recevoir des critiques de multiples personnes, de se faire ignorer par d'autre même si je sais que ça m'arrive aussi de le faire des fois. Je commençait à en avoir marre, un changement se faisait ressentir en moi. Mais pas n'importe quel changement, il n'était pas physique mais plutôt psychologique voir légèrement mental. Je me sentais obliger de plus me laisser faire, ne plus rien laisser passer et par la même occasion arrêter d'écouter ce que les autres me disaient mais le plus importants de tout : ne plus m'occuper des règles et de la façon de penser des autres. 

Les premières semaines tout se passait bien pour moi, je me sentais plus libre que je ne l'avait été auparavant jusqu'au jour où le mec qui me vannait souvent recommença. Je devais lui faire comprendre d'arrêter sans avoir de problèmes pour autant et puis quoi de mieux que l'intimider directement devant les autres.Le lendemain il recommença à me vanner et je le pris donc presque instantanément par le col et le colla au mur en lui disant d'un ton énervé : « Si tu recommence encore ça ne sera plus ta tête contre le mur mais ta tête entre le mur et mon poing ».Je n'entendis plus parler de lui dans l'école , à partir de ce moment il se fit très discret, a partir de se jour on commença à m'appeler aussi soit « Le rebelle » soit « Le réserviste ». Cet même journée j'avais enfin trouver mon but après dix-sept ans d'existence. J'avais une guerre, un combat qui arrivait, je devais m'y préparer physiquement mais aussi mentalement...

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