Monsieur. Je l'aime.

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Après quelques minutes nous nous séparèrent et Natsu le regarda de ses yeux vert.

-Pourquoi ? Me dit il d'une voix triste.

-Natsu... Après sa les mots sortirent de ma bouche dans un torrent de larmes et de renflement. Je lui raconter tout. Absolument tout, de ma mère à mon père. Toute cette histoire qui me hantait et rester enfermé dans mon coeur depuis déjà bien trop longtemps.

Point de vue Luxus,
Nous nous dirigames tous vers le bureau du Principal pour avoir une réponse à tous ceci.
Lorsque Erza ouvrit la porte Makarof se trouvais dos à nous et regardais par la fenêtre.

Makarof- Je vous attendaient.
Je sais que c'est vous qui êtes rentrés par effraction dans mon bureau afin de trouver des renseignements sur Lucy.
Vous connaissez à présent son identité je suppose.

Erza- Oui monsieur, Lucy Heartfilia. La jeune héritière d'une des plus grandes fortunes du monde.

-Mais bordel on s'en fout de sa !! Criai je en tapant du point sur le bureau qui se trouvais devant nous, Où est Lucy, ne faites pas l'innocent je sais que vous le savez !

Mira- Luxus calme toi. Me dit doucement Mirajane en m'attrapant le bras ce qui eu pour résultat de me calmer en un temp record.

-Je comprend ta frustration Luxus, néanmoins cela ne vous concerne en rien. Je vous pris de retourner en cours immédiatement. Dit le vieux s'en nous accorder un seul regard, fixant indéfiniment cette fenêtre.

-Je ne suis pas d'accord !! Lucy est notre amie ! Cria Jubia choquant tous le monde.
Elle qui la considéré comme sa rivale amoureuse était pourtant proche d'elle. Depuis qu'elle était arrivé ici Lucy parler souvent avec Jubia, durant les cours et par messages. Elle la considéré comme une de ses meilleure amie.

-Jubia, murmura Grey en voyant une larmes de rage couler sur la joue de Jubia.

Makarof se retournas en voyant la bleu dans cette état. Jubia était originaire d'une famille pauvre et lorsqu'elle n'était encore qu'une enfant ses parents l'avait abandonné devant une maison. La maison de Makarof.
Makarof c'était occupé d'elle jusqu'as l'âge de 15 ans après sa Jubia avait décidé de vivre seul. Elle ne voulait pas être une charge pour Makarof, être un poids. Elle savait qu'il n'avait pas eu le choix que de s'occuper d'elle.

Depuis qu'il l'avait recueillis Makarof avait toujours vue Jubia forte, sans jamais pleurer, même lorsque qu'il lui avait raconter son histoire elle n'avait pas délaissé une seule larme et n'avait jamais haussé le ton de la voix. Sa petite voix clair et fragile. Une voix mélancolique emplie d'une grande tristesse.

De la voir ainsi Makarof eu un air triste et songeur.
-Bien... Je vous le dire.
Lucy Heartfilia est partie, elle m'a annoncé qu'elle ne reviendrais pas en cours.

-Mais enfin pourquoi ! Cria Jubia en me rejoignant au niveaux du bureau se trouvant maintenant face à Makarof.

-Son père est entre la vie est la mort. Seulement Lucy doit faire un choix.

Nous le regardions tous un air choquer et brisé.
Jubia fit tomber son point sur la table comme je l'avais fait il y a peux.

-Où est elle ? Dit elle d'un voix dure en baissant la tête cacher derrière ses cheveux.

-...

-où est elle !! Cria Jubia une nouvelle fois nous glaçant le sang.

-Hôpital Gréneuve à 1 heure d'ici. Lâcha Makarof en regardant partir Jubia dès lors qu'il prononça ses mots.

Point de vue Grey,
jamais je n'avais vue Jubia dans un tel états je ne comprenais plus.
Ce n'es plus là même, dans son attitude se ressent une énorme tristesse et une colère inavoué.
Je la suivie hors de la salle et lui attrapa la mains alors qu'elle se dirigeait vers la sortie du lycée.

-Où va tu ?

-Retrouver Lucy, on à pas le droit de la laisser seule. Dit elle s'en se retourner et sans même accorder un regard à Grey et sans prendre importance du fait qu'il lui tentais la main.

Elle resté là, muette, froide et distante.

-Nous y allons tous, dit une petite voix,la voix de Levy.

Après sa nous nous dirigames tous vers la sortie et prirent le bus qui mettait 2heure pour y aller.

Point de vue Lucy,
Mon coeur se serras les larmes se ventais de réussir à passer cette barrière que j'avais créé, et s'amuser à danser sur mes joue.
Natsu me serras contre lui une nouvelle fois.

-Je suis désolé Luce je ne savais pas. Dit il d'un voix compatissante.
Mais je suis là. Nous affronteront sa ensemble.

- Natsu, je ne veux pas le tuer. Dis-je d'une voix tremblante.
C'est mot me déchirait l'âme.
Toute cette peine cette peur et cette tristesse que j'avais contenue tous se temp se déversé tel une tempête, un ouragan, destructeur.

Après une demie heure à être là à mes côté pour me consoler avec aucun mots, juste le silence et nos deux corps perdu dans se parc.
Il n'avait pas parlé, il savait que ce silence était bien mieux, bien plus générateur que des mots de compassion vide de sens. Il me comprenait. Il savait quoi faire, quoi dire et quoi ne pas dire.
Il était là, pour moi, avec moi, il état là dans ma solitude.
Il rendait les silence, se silence, apaisant et réconfortant.
Il était là.
Nous nous dirigames vers l'hôpital, Natsu me porté endormis et me déposa sur un long fauteuil qui se trouvais dans la chambre d'hôpital de mon père. Il déposa une couverture sur mes épaule et je sentis un baiser se déposer sur mon front avant de m'enivrer des rêves que m'offrait morphé avec la dernière sensation des lèvre de Natsu fesant un geste protecteur que fesait mon père chaque fois que je m'endormais.

Point de vue Natsu,
Elle était là endormis, et, à l'autre bout de la piece se trouvais cette homme à la carure imposante.
Cette homme qui était son père. Cette homme qui la tant fait souffrir et qu'il aimer pourtant tant.
J'en veux beaucoup à cette homme. Cette homme qui n'as pas joué son rôle de père, cette homme qui la blessé, cette homme qui la abandonné, cette homme qui la laisse seul devant se destin, seul devant c'est décision qu'aucun enfant devrait avoir.
Comment pourrait elle le tuer, le débranché et faire arêter son coeur ?
Pourquoi avait elle à le faire elle ?

Je regardé cette homme, ce lâche.
Ce lâche qui pourtant possède le coeur de Lucy. Cet homme que j'aurai tant aimé rencontrer pour annoncer que je sortais avec sa fille, lui annoncer que je la protégerait, que je l'aimerai.

-Monsieur, j'aime votre fille, je la protégerait, je ne ferait pas les même erreurs que vous avez commise.

La Vie En Rose En Ai-je Le Droit ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant