Chapitre 2: Les profondeurs

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Le capitaine Shang rassembla toutes ses troupes plus de quatre cents hommes pour une haute importance. Le général expliqua à toutes ses troupes la situation et le plan d'exploitation au fin fond des mers avec sa voix brute et autoritaire. D'habitude depuis la guerre les hommes ne faisait que des missions d'entraînement, le monde n'en dépendait pas mais pas cette fois - ci, aucun homme se désigna pour aller faire cette expéditions à coupé le souffle et dangereuse surtout que beaucoup d'hommes avaient du mal à prendre le capitaine au sérieux.

- Ceux qui rigole et fond des messes basse dans mon dos seront choisis ! C'est très sérieux ! Avec les combinaisons R360 qui peuvent aller jusqu'à 3 kilomètres de profondeurs, je veux que vous alliez voir si ce monde existe vraiment ! C'est une question de survie par ordre du Président ! Je veux que vous y laissiez vos tripes, votre chaires, vos entrailles, votre coeur, et votre vie ! Cette expédition peut paraître stupide ou ridicule mais si jamais c'est putin de créatures existent vous serrez bien content qu'ils soient la pour vous donner à boire ! Je ne veux qu'en aucune exeption l'un de vous refuse  cette expédition es clair ?!

Un grand oui parcourus la foule. Le capitaine fixait un homme trapus et costaud. Il avait un oeil de verre et un regard noir. Il ne s'était pas raser depuis au moin un mois et portait un uniforme bien plus grand que lui malgré sa grande taille. Le capitaine finit par le désigné.

- Augereau ! Cria le capitaine. Tu iras faire cette mission avec Anakay.

C'est à dire moi. Une goutte de sueur me coula le long du visage. Mes cheveux blond qui étaient aplatis par le casque que l'on devaient porter en permanence me donnait chaud et me piquait le visage. A cet instant une bouffé de chaleur me traversa le Corp et me fis frissonner. J'hocha d'un signe de tête pour dire que j'étais d'accord même si jetait obligé. Le soleil tapait fort contre ma nuque et les hommes autour de moi rigolaient, souflaient de soulagement et me dévisageaient. Le général aurait pu envoyer un homme plus vieux que moi, je savais qu'il voulait me mettre à l'épreuve mais pas forcément sur une mission aussi périlleuse. Qu'allait dire ma mère en apprenant cela ? Je ne savais pas quoi penser de c'est légendes, j'ignorais si vraiment elles existaient. Quoi qu'il en soit je devaient y aller et sur le champs. La présence d'Augereau me rassurait quand même. Nous enfilâmes tous les deux nos combinaisons lourdes et épaisses.

- Ne vous inquiétez pas dans l'eau vous aurez moins chaud, dit le capitaine qui avait deviné mon envie d'aller me réfugier dans le congélateur.

Le général nous fit un bref débrifs en disant que nous en  étions capable, qu'il faut envoyer des signaux de vie à tel heures, de bien vérifier notre oxygène, que la descente vers les profondeurs durent normalement 2h30, si nous sommes bien à la verticale. Il préviendra nos familles et si nous ne somme pas rentrés demains ils enverront d'autres hommes à notre recherche. Il expliqua également que tant qu'on ne touchera pas le sol de nos propre membres il fallait continués de déscendre et ne pas s'égarer. Pas besoins de nous montrer l'utilisation de notre combinaison nous l'avions déjà utilisé plusieurs fois. Nous prenions le bateau situé près du camp de base. Un homme a la peaux noirs ridé par les rayons du soleil nous conduisait en pleine mer à 40 degré Sud. Arrivés,  l'homme nous lança un " bonne chance" d'une petite voix. Augereau le remercia et sauta le premier du bateau. A peine sauté à mon tour que le bateau s'enfuit aussitôt pour nous éclabousser. Je rabattis la visière de mon casque, enclencha le système de respiration automatique ainsi que les réacteurs d'accélération pour nous permettre d'avancer sans faire d'efforts. Mon coéquipier fit de même en me disant :

- Alors tu est prêts ?  Moi je n'y crois pas à toutes c'est conneries. Je crois plutôt qu'un con c'est mis à raconter des histoires et que le monde entier y a crus. Je crois plutôt qu'on va se faire dévorer par un de ces poissons affamés ! Dit il d'une voix rauque suivit du rire diabolique.

Je ne répondis pas je n'étais pas étonné de c'est propos surtout venant de lui. Un grand gaillard âgé d'une soixantaine d'année. Il avait servi toute sa vie sous les ordres du capitaine Shang, avait survécu à la guerre et s'était engagé dans l'armé quand il avait perdu sa femme. C'était un des hommes de la patrouille qui buvait le plus.                      A cet instant nous plongeâmes tout les deux têtes baissé vers le bas, on en voyait pas le fond. A ce moment là une peur froide m'envahit de trouvé des sirènes au fond de se troue ou même pire, des bêtes à dents pointus pour nous dévorés. J'imagine déjà la scène d'horreur. Personne avant nous n'était aller à un tel profondeur. Si jamais les sirènes existaient même si bon cela m'étonnerais, j'espère que cela n'est pas le cas car si elles existent véritablement nous allons les dévastés. J'ignore si elles sont vrai ? A quoi elles ressemblent ?  Qu'elle taille fait leur monde ? Augereau avait semé le doute chez moi. Pour me consoler je pensais à ma mère, elle qui voulait que je change d'orientation je crois que maintenant elle va m'y obligé. Je pense surtout que le capitaine va se prendre une bonne gifle quand il le lui aura annoncé. Elle a toujours détesté le faite que je mette en danger. Jusqu'à maintenant il n'y avait pas de quoi avoir peur mais là pour ma mère se sera surement l'éffondrement.       Nous continuons d'avancer tête baissé sans jamais s'arrêter, je commençais à me dire que tout cela était inutile, qui a cru vraiment qu'un peuple de sirènes se cacheraient en dessous de l'eau il faut être dingue pour croire à des sottises de se genre. De plus j'étais fatigué, je n'en pouvais plus et j'avais peur que mon générateur n'est plus assez de gaz pour le retour. De temps en temps nous traversions des bancs de petits poissons ou de sardine égarer dans l'océan mais rien d'intéressant. Je commençais sérieusement à m'ennuyer d'autant plus qu'un mal de dos s'installa. J'essayais d'engager la conversation à de nombreuses reprises avec Augereau mais rien ne fis, il préférait rester dans ses pensé.  Puis soudain après deux bonnes heures que nous plongions la tête en bas dans un grand trou noir sans aucune effraction de lumière, nous aperçûmes une lueur jaunâtre s'intillant droit devant nous. Je regardais Augereau qui me fit un clin d'oeil.

La Legende De GarratildaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant