La Legende De Garratilda

Chapitre 3 : Le miracle

- Regarde ! Tu vois se que je vois ?! M'étonnais-je
- Oh ne t'inquiète pas, ça doit être un poisson lumineux, il y en a plein dans ces eaux profondes. On devrait peut être remonté sa fait un bon moment que l'on plonge et pas la moindre sirènes à l'horizon, répliqua Augereau calmement.
Je sentait une légère touche de peur dans le son de sa voix. Cela m'intriguais qu'es qu'un poisson lumineux ferait à cette profondeur.
- Mais attend c'est bizarre quand même cette lueur au fond de l'eau, elle m'a l'air grande.
- Mais j'te dis que ça n'existe pas les sirènes bordel de merde ! S'énerva t-il.
Je continuais d'avancer tête baissé sans prendre le temps de lui répondre. Cette lueur jaunâtre m'intriguais, elle paraissait gigantesque. J'accélérais d'avantage ma vitesse pour me me rapprocher plus rapidement. J'avais dû descendre 10 mètres de plus que Augereau depuis qu'il s'était arrêté. Je percevais des sons presque inaudible qu'on avait pas entendus jusqu'à lors.
- Viens ! J'entends des choses étranges, descend tu va voir, lui criai-je.
Augereau descendit a mon niveau et m'assura qu'il n'entendait rien en me disant que mon cerveau me jouait des tours. Je lui proposait de continué à descendre, il hésita puis accepta en redisant que ce n'était qu'un poisson lumineux. Il n'arrivait pas à croire que cela puisse être autre chose. Je pense même qu'il entend la même chose que moi mais n'arrive pas à l'admettre. Moi même je m'intriguais sur les sons étranges que j'entendais. C'était comme des notes de mélodies mélangé à autre chose indescriptible. Mais plus m'avançais, plus les sons devenaient concret. Quand à la lumière étrange, elle devenait de plus en plus en grande, plus lumineuse et bientôt on avait plus besoins de nos lampe tellement elle nous éclairait. Les sons que j'entendais, devenaient plus intense et plus fort mais toujours aussi indescriptible. Je n'osais pas demander a Augereau s'il entendait les sons, de toute façon il aurait nié cela. Petit à petit, la lumière devenait immense sous notre tête et remplissait bientôt entièrement notre champs de vison. Ce qui est sur, c'est que se n'était pas un poisson. Augereau n'était pas rassurer je le sentais. Il s'arrêta puis me rattrapa à chaque fois à toute vitesse. Je le soupçonne d'être un peu trouillard sur les bords malgré l'image qu'il se donne. Plus j'avançais, plus je trouvais sa énorme, et j'avais peur à mon tour. Mais pas de la peur qui effraie, plus de la peur comme de l'excitation. Et si les sirènes existaient vraiment en fin de compte ? Dans touts les cas, sirènes ou pas, moi et Augereau avions trouvé quelque chose de fabuleux et j'était prêt à découvrir se que c'était. La lumière continue de grandir, elle était si intense qu'elle illuminait tout autour de moi. C'était comme une bulle géante qui explosais de faisceau lumineux.
- Non d'un petit bonhomme, ce n'est pas possible ! S'écria Augereau.
Nous nous rapprochions de plus en plus, comme si nous allions touchés la lumière du bout de nos doigts. Nous y étions presque, j'avais peur d'un seul coup. Qu'étions en train de faire ? En un coup d'éclair toute la lumière s'immobilisa, les sons avaient cessé pour faire apparaître un monde tout entier. A présent nous faisions partit de la lumière. C'était comme un portail. Devant nos yeux abasourdi se dessinait des villes et des bâtiments bizarroïde. C'était comme si nous regardions du haut d'un avions un pays alors inconnus. Mon cœur battait vite, je le sentait sortir de ma poitrine. Je ne comprenais pas sur le moment de qui se passait mais je savais que cette découverte allais changer énormément de chose. En tout petit on pouvait voir des choses étranges qui s'animaient et bougeaient. Des sirènes ! Des poissons et du corail de toutes les couleurs embellissaient le paysage. Une végétations inconnus et insolite recouvraient touts les bâtiments biscornues. C'était un spectacle de couleurs et de lumières. Moi et Augereau étaient restés figé pendant au moins une bonne dizaine de minutes la bouche grande ouverte ébahi devant ce miracle sans prononcé un seul mot. J'étais émerveillé devant cette féerie qui se donnait sous nous. Qui avait pu découvrir avant nous à trois kilomètres de profondeur que ce monde existait pour écrire c'est fameuse légendes.
- Et dire que l'a d'sous une poche remplis d'eau potable pourrait nous servir à boire pendant au moins plusieurs années. Du moins si elle existe, répliqua Augereau.
- Si les sirènes existent c'est obligé que cette poche d'eau souterraine existent, répondit-je sans hésiter.
- Descendons un peu plus pour mieux les observer, ajoutât-il
Une peur m'envahit de m'approcher trop près de ce monde inconnus. Un dizaine de questions me traversait l'esprit. Peuvent-ils nous voir ? Parlent-ils nôtre langues ? Que diraient ils quand ils nous verrons ? Connaissent ils notre existence ? Ou bien encore sont ils dangereux ? Malgré la peur et l'appréhensions de se qui allait se passé je restait émerveillé par se que j'étais en train de voir. Je n'arrivais pas à décrocher les yeux de se qui se projetait devant moi. Finalement je n'aurais échangé ma place pour cette missions pour rien au monde. J'aurais aimé que ma mère soit à mes côtés pour qu'elle vois se splendide spectacle. Tout d'un coup d'un coup au loin, j'aperçus de drôles de poissons qui s'avançaient vers nous. Ils nageaient extrêmement vite. Soudain je compris alors. Mon cœur s'emballa et se mis à battre très fort, je compris dans une fraction de seconde se qui se passait. Des tritons se dirigeaient droit devant nous. La panique me pétrifia de la tête au pieds. J'était tétanisé de les voir si proches de nous. Ils portaient des armures blanches miroitantes, toutes identiques avec des casque de la même textures a vus d'œil. Augereau qui les avaient aussi repéré me secoua le bras voilement pour me faire signe de déguerpir au plus vite, il avait l'air aussi paniqué que moi. Mais je ne pouvais rien faire. Je restait tétanisé et pétrifié en les regardants. Augereau criai mon nom de toute c'est forces pour me fair réagir tant ils se rapprochaient vite. Ils n'étaient qu'à quelque mètre devant nous, je crus que mon cœur allais sortir de ma poitrine tellement il battait vite. Augereau m'attrapa par le bras pour me soulever vers le haut mais par mon poids trop lourd dans l'eau, il me lâcha pour nager à la vitesse d'un requin. Ça y est ils étaient à côté de moi ils avaient l'air géants et portait des épées. Transformé en statut, je n'était même plus sur que mon sang circulais et que je respirais. Augereau qui était bien plus haut que moi continuais de crié " Anakay " les tritons m'enfilâmes un corde, comme un l'assaut. Pris par l'angoisse je regardais leur beau visage, ils murmuraient des mots que je ne pouvais entendre. D'ailleurs je n'entendais plus rien a part un ultra sons aigus qui me fit tourner la tête pour ainsi me faire perdre connaissance.