Je m'appelle Aldea et à l'époque j'avais 17 ans. Mon histoire commence à Londres en 1990. Je vivais dans un orphelinat depuis l'âge de 5 ans et ma vie était banale. Jusqu'au jour où je décidai d'aller au parc l'après-midi pour lire. À l'orphelinat on avait le droit de sortir seul à partir de 15 ans avant cet âge il fallait être accompagné. Donc ce jour-là je sortie seul de l'orphelinat pour aller au parc à 16 heure, le chemin de l'orphelinat jusqu'au parc était très court, et je ne pris que quelque minute. Le grand portail en fer forgé qui se trouvait à l'entrée du parc était encore ouvert, le parc fermé à 20h. Dans l'allée principale il y avait quelque personne dont une dame assise sur un banc tous de rose habillait qui nourrissait des pigeons, un jeune homme qui faisait son jogging et un vieil homme qui semblait avoir vu beaucoup de chose durant sa longue vie, il avait les cheveux gris, le dos courbé et les yeux pensifs, il était assis sur un banc dans une des allées parallèle. Je pris cette allée pour me trouvais un coin tranquille pour lire. Je m'avançai tranquillement dans la petite allée et quand je passai près du banc où le vieil homme était assis je fus surprise quand il m'interpella :
-Bonjour !
Je m'arrêta en face du banc et lui répondit:
-Bonjour monsieur !
-Il fait beau cette après-midi, vous ne trouvez pas ?
-Oui, effectivement.
-C'est un peu étrange pour un mois de février à Londres, vous ne trouvez pas?
Le viel homme disait vrai les mois de février avait toujours étaient rude mais aujourd'hui le temps était claire et il faisait étonnamment doux.
-Oui, c'est agréable.
-Vous avez raison, cela est très agréable, venez donc vous asseoir près de moi pour profiter de ce beau temps.
Je l'observa, et réfléchis, ce viel homme ne devait pas être très dangereux. Je m'assis à coté de lui et il me dit:
-Moi je suis né à une époque où le temps était peu clément avec nous, les hivers étaient toujours rude mais les étés étaient doux. Je me rappelle d'un été que j'ai passé en Suisse en 1911, c'était mes premières vacances sans mon frère, j'avais 19 ans et lui n'en avait que 17. J'ai visité des paysages de montagne grandiose, et des forets somptueuse, les nuances de vert dans les forets étaient spectaculaire. J'ai aussi fait des rencontres et des découvertes fantastique qui on à tous jamais changé ma vie. C'est, et se sera toujours le plus beau voyage de ma vie!
Je ne compris pas pourquoi ce vielle homme était si emballé par un simple voyage en Suisse, je n'avais jamais visité ce pays mais je ne pense pas que le plus beau paysage du monde se trouve là bas. Mais je compris au fond de moi que ce n'était pas simplement les paysages de Suisse qui l'avait tant émerveillé, je compris qu'il y avait quelque chose de plus, quelque chose d'incroyable et de fou dans ce voyage. Je réfléchis à ce qu'il m'avait dit mais fut interrompu.
-Vous avez un très jolie collier.
-Pardon? Je ne compris pas tous de suite à cause du changement de sujet si direct.
-Je trouve votre collier très jolie, j'avais le même à une époque, une amie me l'avait offert lors de mon voyage en Suisse. Je le gardais toujours sur moi jusqu'au jour où en 1973 je l'offris à mon tour à une jeune femme qui allait accouché dans un hôpital, pour sa fille. C'est un collier avec une chaine en argent et avec, pour pendentif, une magnifique pierre de lune entouré de fil d'argent très fin. C'est un collier splendide!
-Je ne savais pas tous ça, j'ai reçu ce collier de ma mère mais elle n'a pas eu le temps de me dire d'où il venait, mes parents sont mort quand j'avais 5 ans et ce collier est la seule chose qu'ils mon laissaient. Mais vous savez, monsieur ce n'est surement pas le même collier, il doit en avoir plein des colliers comme ça.
-En êtes vous sûr?
J'ai réfléchis, c'était tous simplement impossible que ce viel homme ai donné ce collier à ma mère 17 ans plus tôt et que je retrouve ce même viel homme sur un banc à Londres! Je continuai de réfléchir à cette coïncidence étrange quand je fus encore interrompue.
-Avez-vous vue mon chien dans les parages ?
-Pardon ? Je fus encore perturbé par ce changement de sujet. J'ai commencé à trouver ce viel homme de plus en plus étrange sans pourtant en avoir peur.
-Avez-vous vue mon chien ? Il s'est éloigné et je ne le retrouve plus, il s'appelle Astaldo et il est surement aussi vieux que moi!
-Non, désole je n'ai pas vue votre chien. Et je ne fis aucune remarque sur ce prénom étrange .
-Je crois qu'il est parti par-là, pouvez-vous allé le chercher s'il vous plait, ? Me dit le vieux monsieur en désignant la forêt derrière lui. Je regarda la direction qu'il m'indiquai et réfléchie, ce viel homme était aimable, je n'avais aucune raison de refuser et je n'avais rien à perdre si j'allais faire un tour dans la forêt pour chercher son chien. Donc je souris au vielle homme et me dirigea d'un bon pas vers la forêt derrière le banc.
La forêt devant moi n'était pas très grande, donc j'espérais ne pas prendre beaucoup de temps pour chercher le chien. Je sifflais et appelais le chien mais il ne vint pas donc je continuai de m'enfoncer dans la forêt, de plus en plus, jusqu'à que les rayons du soleil qui traversaient les branches des arbres disparaissent pour me laisser dans la pénombre de la forêt. Tout devint silencieux, je n'entendais plus les oiseaux chanter, ni les feuilles frémir dans le vent et ni le bruit des voitures de la ville. J'avais peur et je ne savais pas pourquoi, mais je continuai d'avancer à travers les arbres même si je ne savais pas où j'allais. J'étais poucé, attirer par quelque chose, vers un endroit, une destination qui m'étais alors, encore inconnue.
Soudain j'atterris dans une petite clairière avec, en son centre un rocher. Un rocher pas très grand, d'environ 1 mètre de hauteur et de 50 centimètre de largeur, il était arrondie et lisse, ce qui me surprit pour un rocher en pleine nature. Je m'approchais du rocher, encore un peu, je n'étais plus qu'à 20 centimètres, ce rocher m'attirais et je n'étais pas vraiment consciente de ce que je faisais. Je pouvais à présent voir des gravures sur ce rocher, mais je ne compris pas ce qu'elles signifiaient, même si dans mon esprit des phrases se formait :
" Vous êtes ici pour entreprendre un long voyage qui vous transportera à travers les âges. Et vous découvrirez avec vos yeux que vous serez en Terre du Milieu."
Mais je ne compris le sens de ces phrases que quand ma main entra en contact avec la pierre lisse et ces gravures, qui commencèrent à briller, de plus en plus fort pour m'inondais et pour inondait toute la clairière. Puis tous d'un coup je fus transporté, ailleurs, loin de Londres et de la Grande Bretagne et de tous ce que je connaissais. Ailleurs.
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Voilà, voilà ! Petite fiction sur le Hobbit. Vous allez découvrir petit a petit que le contexte change du livre. Vous en pensez quoi ? :)
Désolé pour les fautes! ;)
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Histoire D'un Aller Sans Retour
FantasyLondres, février 1990. Le début d'un voyage sans fin. Aldea, jeune fille sans famille découvre un monde fantastique au quel elle appartient sans le savoir. ~ Cette histoire se passe après les événements du Hobbit avec quelque modifications. Vous ver...