J'ouvris les yeux sur un ciel sans nuage. J'entendais le vent soufflais dans les arbres et les oiseaux chantaient mais je regardais toujours le ciel bleu. Je n'avais pas bougé et je n'en avais pas envie. Je sentais l'herbe, humide, froide, et douce sous mon corps. Puis je pris une grande inspiration et me releva pour observer les alentours. J'étais à la lisière d'une forêt, à gauche un jolie bois avec de grands arbres vert et à droite, des collines et des champs à perte de vue avec des petites fermes par ci, par là. Je ne savais pas où j'étais et j'avais peur mais cet endroit ne m'effrayer pas. Je me sentais plus ou moins en sécurité mais le seule problème que je n'avais pas remarqué immédiatement était que je me trouvais totalement nue, je n'avais plus rien sur moi, à part, et j'en fus étonné, le collier de ma mère encore autour de mon cou! Mes vêtements avaient complètement disparue, je cherchai autour de moi mais je ne vis rien et je commençais à me sentir mal à l'aise même s'il n'y avait personnes autour de moi. Le soleil commençait à baisser dans le ciel, il ferait bientôt nuit, je ne devais avoir que quelque heure pour me trouver un abris et si possible des vêtements.
Je voyais le soleil descendre dans le ciel petit à petit, le vent et le froid commençaient à me faire frissonait. J'avais atteint la première ferme après 1 heure de marche et j'avais, avec culpabilité mais soulagement, "emprunté" des vêtements étendue sur une corde. Ces vêtements était clairement pour homme mais ils étaient étonnamment petits, ce qui me convenait parfaitement à la vue de ma petite taille. Le tissus était étrange, rugeux et confortable à la fois, ils ressemblaient à des habits d'époque vraiment très différents des vêtements que j'avais l'habitude de voir dans mon monde. Car en cet instant, j'étais presque sûr que l'endroit où je me trouvais n'était pas mon monde . Tous semblait différents, les couleurs, les odeurs, la nature, même moi je me sentais différente.
Je continuais à marcher à travers les champs en croisant des fermes et des près. Puis quand le soleil était sur le point de se coucher, je tomba sur une grande route de terre, je décidais alors de suivre ce chemin sans trop savoir où j'allais. Je me trouvais à présent dans une sorte de village, les "maisons" ressemblaient à des huttes sous terre cacher dans les collines. Je percevais parfois des jardins, des fenêtres et des portes rondes. Tous ça était tellement étrange pour moi!
Je marchais depuis des heures et le soir était là. Mes jambes tremblotaient, le vent froid de la nuit me mordait le visage et je ne rêvais que d'un abris au chaud. Ce labyrinthe de colline me donnais le tournis et j'hésitais à frapper à l'une des portes que je percevais parfois grâce à la lumière de la lune.
Le sol était parsemé de cailloux et le manque de lumière me faisait trébuché tous les 2 pas, mes pieds nus étaient blessés par cette marche sans chaussures et j'étais éreinté.
Soudain les cailloux et mes pieds endoloris me firent tomber sur le sol de tous mon long. Je me rattrapais avec mes mains et je sentis les cailloux me lacérer la paume.
Puis j'entendis une voix. Une personne se précipita vers moi pour m'aider à me relever.-Ciel! Vous allez bien ? Rien de cassé ? Je fumais ma pipe de fin de repas dans mon jardin quand vous êtes tombé juste devant mon portail.
-Heu.. Je vais bien, enfin je crois. Répondis-je à la personne qui m'avait aidé en me relevant difficilement.
Puis je baissa les yeux et vit une personne petite, très petite. J'écarquilla les yeux et m'écarta de cette personne étrange, légèrement apeurée.
Devant moi je vis un homme, l'homme le plus petit et le plus étrange que je n'avais jamais vue. Il faisait la moitié de ma taille, il avait des cheveux frisé et des poils dans ses oreilles pointues. Et je remarqua avec étonnement qu'il ne portait pas de chaussures car ses pieds étaient gros et poilus.
Pourtant je ne fus pas effrayer, c'était un être particulier mais à la vue de son regard bienveillant j'eu immédiatement confiance en lui.-Venez vous mettre au chaud, vous grelottez et vous êtes sans chaussures, mon salon sera plus confortable qu'ici.
Je le suivis dans un petit jardin puis jusqu'à une porte ronde qu'il poussa pour me laissé entrer et je pus voir sa demeure. Je compris qu'il vivait dans un trou sous une colline mais il y avait tous le confort d'une maison avec de beau meubles et de beau tapis. Il m'emmena ensuite dans un salon avec une belle cheminé où un feu crépitait. Je m'assis sur un fauteuil et l'écouta parler.
-Je m'appelle Bilbo Baggins pour vous servir. Je vais apporter une couverture pour vous réchauffer et des soins pour vos mains et vos pieds. Dit-il avant de partir par une autre porte.
Je pris le temps d'observer la pièce et de réfléchir à la situation.
Je me trouvais dans un monde étranger avec un étranger. Et pourtant j'arrivais à rester calme. Mais je voulais savoir comment j'avais atterri ici et je voulais comprendre ce monde.
Le petit homme revint et me posa sur les épaules une couverture et me banda les pieds et les mains dans un silence pesant. Puis il repartit pour m'apporter des bottines en cuir marron délavé que j'enfilas directement.-J'ai une salle spéciale pour les vêtements de mes invités qui ne sont pas des hobbits, m'expliqua-t-il.
-Merci beaucoup pour tout ça. Mais puis-je vous posez quelque question Mr Baggins ?
-Bien sûr mais appelez moi Bilbo avant tout.
-Heu.. Tous d'abord je ne veux pas être impolie mais je ne viens pas de cette contrée donc puis-je vous demandez qu'est ce que vous êtes ? Demandai-je un peu gêné.
-Oh et bien je suis un hobbit.
-Et où suis-je ? Je ne connais pas ce pays.
-Vous vous trouvez dans la Terre du milieu, plus précisément dans La Comté, à Cul-de-Sac une contré où vive les hobbits, mais aussi quelque humains et parfois des nains et des elfes. Voici une carte, me répondit-il en me montrant un tableau au mur.
-Merci beaucoup, vous m'avez éclairé un peu plus. Enfaite je m'appelle Aldea.
-Bien je suis enchanté Aldea qui vient d'un autre pays.
Puis je continuais à discuter avec Bilbo de régions lointaine, de grande villes, de paysages spectaculaire et d'aventure. Ensuite nous avons mangés et il a servit du thé devant la cheminée où le feu crépitait encore. Soudain la cloche de la porte retentit.
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Et voilà enfin le deuxième chapitre ! Vraiment désolé pour cette attente et je publirai le chapitre 3 la semaine prochaine.
Désolé pour les fautes et bonne lecture!
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Histoire D'un Aller Sans Retour
FantasyLondres, février 1990. Le début d'un voyage sans fin. Aldea, jeune fille sans famille découvre un monde fantastique au quel elle appartient sans le savoir. ~ Cette histoire se passe après les événements du Hobbit avec quelque modifications. Vous ver...