Chapitre 10: Cadeau

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Nous voilà en décembre 2015, je suis seul dans les rues de Londres à la recherche d'un présent pour mon Bae Louis. J'ai faits quantité de magasins et je n'ai toujours rien trouvé, c'est affreux je veux quelque chose de parfait ; comme lui.


Je viens de rentrer chez un antiquaire, c'est pour vous dire comme je suis désespéré !
Je zigzague entre les objets qui ont tous une histoire plus ou moins importante. 

Les objets sont comme les êtres humains, leur existence n'est dû qu'au bon vouloir d'un autre être. Comme le dit le philosophe Jean-Paul Sartre « L'enfer c'est les autres. » C'est comme cela qu'un objet peut être détruit ; par le coup de colère d'une pauvre mortelle. Certaines fois on peut le réparer, d'autres fois non, tel notre cœur au fond de notre poitrine.

Mes pieds me guident jusqu'à un endroit où les objets exposés ne sont pas anciens mais plutôt insolites, pleins de gadgets dont j'ignorais l'existence. Devant moi se trouve une chaise, sur cette chaise un livre est comme collé et aux pieds de ce mobilier se trouve des cousins cousus sur ceux-ci ; je devine que ses cousins sont faits pour se poser lors de la lecture de ce bouquin. J'avance un peux et voici un « multi artiste » comme c'est écrit sur l'étiquette plusieurs pupitres sont positionnés mais ils sont tous relié par-derrière.

« -Si une âme passe à coté de l'artiste, il pourra mettre en pause son œuvre pour en commencer une autre et ainsi capté cette âme avant qu'elle disparaisse »

Mon cœur fait un bond je ne m'attends pas à ces paroles et encore moins à découvrir un monsieur d'un certain âge à coté de moi

« -Bonjour je suis James le propriétaire de ses lieux !

Cet homme respire la joie de vivre, et un sourire apparaît sur mon propre visage.

-Je suis Zayn

-Oui bien sur je ces très bien qui tu es, ma petite fille à ta tête ainsi que t'est acolytes partout dans sa chambre, c'est même je dois te l'avouais un peu effrayant. Mais bon si cela la rend heureuse tans mieux, la joie est tellement rare de nos jours !

A la mention de mes acolytes mon sourire s'efface un petit peu, ce ne sont plus mes acolytes mais cet homme semble l'ignorer, tans mieux !

-Que sont ses objets ?

-Ah tu sais j'ai beaucoup voyagé dans ma vie et rencontré de nombreuses personnes avec des idées plein la tête, des idées parfois farfelus mais c'est ce qui fait la beauté de l'être humain l'imagination qu'il a.

-C'est extraordinaire !

-Tu es un artiste, ton esprit est ouvert à tous ce qui peut être nommé « original », dit moi mon garçon que cherches-tu, en plutôt pour qui cherches tu un présent ?

-Je cherche quelque chose pour mon meilleur ami

-Penses à lui et dit moi ce qui te viens à l'esprit.

Je ferme les yeux, j'ai bizarrement une confiance aveugle envers cet homme que je ne connais pas

-Ma vie, il m'a sauvé la vie, je vois de la joie, du bonheur de l'amour. Des fois je l'appelle m'a petite plume car il est aussi délicat et doux qu'une plume...

Je ne suis pas sur d'avoir été cohérent, mais j'ouvre les yeux ! Je me demande comment cet homme pourra m'aider avec mes paroles

L'homme réfléchit, me regarde, sourit, mais ne dit toujours rien, il me prend l'épaule et ensemble nous déambulons pendant quelques mètres.

-J'ai ce qu'il te faut

Devant nous se trouve une sorte boite en forme de grand livre, sur « la couverture » se trouve une plume en marbre blanc, l'homme prend cette boite et l'ouvre, c'est vraiment magnifique

-Ici tu exposeras des photos,

Il tourne la page

-Si j'écoute bien ma petite fille, tu es une sorte de peintre des rues et bas ici tu pourras peindre quelque chose et enfin (il tourne la page, et maintenant c'est une vraie boite) tu mettras des objets ou vous là remplierais avec les nombreuses années qu'ils vous reste

Cet objet est vraiment magnifique, on peut appeler cela un coup de cœur, je m'empresse donc de l'acheter, en partant je fais un autographe pour la petite fille de James et lui promet de repasser le voir.

En sortant de cette caverne d'Ali Baba il est déjà bien tard et je vais être en retard, je dois voir Harry à un café, depuis qu'il connaît les raisons de mon départ nous sommes redevenus presque comme avant avec Harry, sauf que contrairement à Louis il cache le fait qu'il a encore contacté avec moi à Niall et Liam.

Arrivé au café Harry est déjà la commune je m'y attendais.

-Désolée bouclette, je cherchais un cadeau pour l'anniversaire de Lou'-

Ah me parle pas de lui hein cet abruti lunatique, chiant, casse couille...

-OK déballe-moi tous ce que tu as sur le cœur

Harry place ses coudes sur la table.

-Je suis gentil et tous ce que tu veux, il y a des jours monsieur ne veut pas me quitter et passer la journée avec moi et d'autres ou il ne m'adresse même plus la parole. Alors j'aimerais comprendre hein, non mais juste que les choses soient claires, il choisit soit un soit l'autre, parce que ces pas parce qu'on couche ensemble que le Roi Louis doit tout ce permettre hein !

Mon cerveau est sur la pause là, j'ai bien compris ce que j'ai à comprendre Louis couche avec Harry et mon meilleur ami ne sait pas donner la peine de m'en informer.

-Attends, mais...hum... Vous couchez ensemble . Et depuis combien de temps si je peux me permettre ?

-Bah ...(Harry se gratte le menton avec un air gênait) je pensais que tu étais au courant, depuis le début du groupe presque mais attention (Harry recule brusquement sur le dos de sa chaise et lèvent les bras) c'est juste du sexe hein, me sort pas toutes ces histoires LARRY, même si il est vrai que je suis vraiment attaché à cet abruti.

Je me lève brusquement.

-Tu m'excuseras Harry mais je dois aller parler à mon meilleur ami, menteur, et traître.


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La vérité (ziam mayne) //terminé//Où les histoires vivent. Découvrez maintenant