Oréa

Difficile

Coucou à tous,

Coucou à tous,

Venez découvrir une histoire " Roman ado ".

Le titre: Appelez-moi cendrillon
Auteur: More_Writing

Une cendrillon des temps modernes.

Bonne lecture à vous et bisous

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Point de vue de Adonis:

Nous sommes à New York, dans un de mes nombreux logements. C'est un appartement sobre au 36ème étage. Le gris clair et le blanc sont les couleurs qui règnent dans mon appart.

Je cherche plusieurs excuses pour retarder la lourde tâche de leurs avouer le seul moyen que nous avons pour cette prophétie merdique. Je n'ai même pas envie de le dire, car cela va faire que Oréa ne voudra jamais m'embrasser. Je ne sais pas déjà comment je fais pour ne pas succomber à ce feu qui m'anime quand je fixe ses lèvres, alors savoir que ce baiser ne se fera probablement pas, je me meurs intérieurement.

Je leurs ai dit de s'installer, j'ai fait livrer de la nourriture humaine pour Talya et je me suis éclipsé pour rapporter du sang. Je cherche encore une solution pour m'échapper, mais la patience de Wayatt est entamée.

Au moment que je veux aller dans les chambres pour faire les lits, il m'attrape le col et me bloque contre le mur...
...

- Ça suffit!! Dis-nous ce qu'il en est!

- Wayatt!! Dit Oréa outrée par le comportement de son frère.

- Attends... Depuis Riyad, il ne me dit rien du tout et là, je n'en peux plus!!! Je vais le déglingué si il persiste à être dans son mutisme... Je vais le faire, j'te jure.

- C'est sûrement dur ce qu'il a à nous annoncer et je suppose que le sang n'a rien à voir dans l'histoire. A-t'elle mit une main sur son épaule.

...
Wayatt se calme et me relâche. Incroyable, comment ma rareté arrive à l'apaiser rapidement. Je leurs montre le canapé, ils se posent et je me feutre dans le fauteuil en cuir gris souris qui se situe en face d'eux. Merde... J'ai totalement les boules de leurs conter ce que j'ai pu lire. Je prends une grande inspiration, ferme les paupières quelques instants et malheureusement, je me lance...
...

- Si jamais Oréa et moi, nous nous effleurons les lèvres, l'élu du maléfique doit mourir pour que celui-ci redevienne bon. Souffle-je, après ma phrase.

- Oh non... Tu... Tu devrais périr, alors. Sanglote-t'elle déjà.

- Non... Pas moi. Me pince-je les lèvres.

- Comment ça?? Est-elle perturbée.

- Le maléfique sera ton frère, Oréa!

- Tu mens!! Tu mens pour que je ne culpabilise pas!! Me crie-t'elle dessus.

...
Là, c'est son jumeau qui lui tient la main, ils se regardent et je pense qu'ils communiquent par la pensée...
...

- Continues, s'il te plaît. Me dit-il posément.

- Je sais que c'est toi pour un petit détail dans le récit... Je cite: " Les yeux d'émeraudes feront places à la noirceur de l'encre, des ténèbres, du néant. ", voilà pourquoi je sais que c'est toi.

- Ce n'est pas vrai... Ce n'est pas possible... C'est moi, les pouvoirs... Moi qui ais eu les difficultés avec le sang. Moi que Pétrov désirait.

- Je ferais quoi? Tu le sais? M'interroge-t'il lentement.

- Pour le moment, tu as la force physique, mais si nous ne résistons pas à ce baiser... Tu pourras décimer toutes personnes en un regard.

- Alors, tues-moi dès maintenant, Oréa! Balance-t'il.

- Nonnn... Répliquent les filles.

- Alors, je vais le faire moi-même!!

- Tu ne peux pas! Dis-je avant qu'il clenche la porte.

- Comment ça? S'est-il retourner.

- Toi et ta sœur êtes unis et si tu meurs, elle s'éteint aussi!

...
Tous me scrutent avec des yeux horrifiés en entendant cela. Oui, si les bons attrapent un des deux pour le faire disparaître, le deuxième suivra...
...

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Point de vue de Oréa:

Tout s'écroule pour nous. Il n'y a que deux solutions... Soit mourir avec mon frère, soit m'éloigner de Adonis...
...

" Je suis tellement désolé, Oréa! Ce n'est pas juste... Je suis l'apocalypse et j'ai mon élue. À cause de moi, tu ne peux pas embrasser le tien, alors que c'est moi la menace. "

" On peut ce suicider ensemble, Wayatt... "

" Non... Je ne veux pas que tu meurs, sœurette et ils feront quoi, eux... "

...
Mon frérot furte Adonis et Talya... Oui, je crois qu'ils nous suivrons dans cet acte de désespoir. C'est inimaginable tout ceux-ci. Qui a inventé cette prophétie horrible. Si les dieux existent, ils ne peuvent pas me donner un indice pour changer ce destin terrible.

Je suis perdue... Aidez-moi à trouver une autre solution. Je pars de la salle pour aller me réfugier dans l'une des chambres. Je n'ai même pas demandé l'autorisation, tellement que je suis bouleversée. Mes larmes coulent sans interruption et un corps vient se blottir...
...

- C'est... injuste! Arrive-je à émettre péniblement.

- C'est vrai, ma destinée! Je ne peux pas penser autrement, non plus.

- Tu devrais... changer... ta destinée. Pleure-je toujours.

- Jamais!! Nous nous aimons, nous nous nourrissons l'un de l'autre et je n'échangerais cela pour rien au monde. M'a-t'il murmuré.

...
Comment nous allons faire? Je sens mon être entier bouillonner pour avoir cette embrassade tant attendue et elle ne viendra jamais. Adonis pensait qu'un jour nous pourrions lier nos bouches, mais il en n'est rien. Je suis dévastée à l'heure qu'il est et le seul réconfort, ceux sont les bras de mon élu qui me serrent tendrement...
...

- Je suis là pour toi, ma rareté. Mes neurones ont grillés quand je parcourais ce livre maudit, mais notre amour est plus fort que toutes ces embûches qui se mettent en travers de notre chemin. Même si il n'y a pas de baiser, nos âmes ont fusionnées et rien ni personne pourra détruire cela. Chuchote-t'il avec douceur et sincérité.

- Tu as lu combien de romans d'amours pour sortir des phrases aussi belles. Ai-je une esquisse.

- Aucun, ma vampire... C'est toi qui me rends bonbon rose. C'est malin... Je suis la risée de tout les sang-froid, à présent. Sourit-il contre mes cheveux.

- Un dieu de l'attirance que je me suis faite comme réflexion... Tu es plutôt le dieu du romantisme. Ris-je.

- Un dieu... Oh merde, je vais bombé mon torse de fierté, maintenant. Toi, tu es ma déesse de tout, Oréa. Intelligence, beauté, puissance, humour, volonté, passion, stratég...

- Aie...

- Quoi?? S'intrigue-t'il.

- J'ai mal aux chevilles tellement qu'elles enflent. Ricane-je.

- Petite coquine! Tu m'as fait peur. Attends, tu vas voir...

...
Adonis me met sur le dos, m'enjambe et me chatouille. Après, tout ceci, je savoure cet instant joyeux. Le magnétisme est présent et quand nous nous fixons, nous comprenons qu'il faut cesser, sinon nous allons céder à ce qu'il ne faut pas...