Prologue.

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Bonjours tous le monde ! Aujourd'hui je poste ma première histoire, inspirer du ''Petit Chaperon-Rouge''. Mais l'histoire n'est pas du tout pareille je vous rassure ! 

L'idée est venu comme ça, je me suis dit ''il existe beaucoup de cendrillon version moderne mais pas de Chaperon-rouge, alors pourquoi pas !''J'espère que cette histoire du petit Chaperon-Rouge moderne vous plaira. Bonne lecture. 

Ps : L'image représente Mackenzie (Meghan Ory)

Les battements de mon cœur battent à une rapidité folle, alors que mon cerveau lui ne marche plus du tout. Il est rester ensevelit dans la neige. Seule. Comme moi à présent. Brayden a brisée ma famille en quelques morceaux de chaire éparpillé violemment sur le parquet. Il ma laisser seule ici, avec le corps de la femme qui ma toujours protégée gisant dans son propre sang inerte et pâle comme la mort. Cette vision d'elle m'est horrible. J'essaye de retenir la bile qui me brûle la gorge, pendant que les larmes se déversent le longs de mes joues tachaient de son sang par l'impact. J'aimerai pouvoir bougée, mais Brayden ma enchaînée le bras au radiateur avec les menottes. Les même qui m'ont attacher au lit la nuit dernière. Les mêmes qui m'ont exciter pendant que son corps de dieu grecque me donnait un plaisir brûlant. Un plaisir qui maintenant c'est changer en peur et tristesse. Jamais je n'aurais imaginer que le meurtrier que je rechercher depuis le début, partageait mes nuits, mes craintes, et un milk-shake à la banane dans les moments très peu réjouissant.

Je ferme longuement les yeux, pour tenter d'oublier le corps de ma grand-mère devant moi, mais c'est peine perdu. Je ne pense qu'à sa et à mon envie de prendre mes jambes à mon coup. Mais même si c'est menottes ne me retenait pas à ce fichu radiateur, je ne pourrais pas faire un pas sans tomber à la renverse. J'ai la tête toute retourner, et l'estomac dans les talons, je ne me suis toujours pas remis de ma maladie d'il y a deux jours et cette situation n'aide pas à ma guérison.

- Mackenzie ! Mack putain !

J'entends vaguement la voix de mon frère m'appelait, même si je sais que ce n'est pas possible. Nous sommes à cinq heures de RedWood, il n'a pas put venir aussi vite.

- Mack ! Putain répond si tu es là !

Une lueur d'espoir prend possession de mon cœur quand je l'entends de nouveau. Ce n'est pas la fièvre qui me fait halluciné, mon frère est réellement là. J'essaye de crier de toute mes forces, mais le bandeau sur ma bouche m'empêche d'hurler plus fort.

J'entends les vieilles marches de l'escalier grincer, et la porte du grenier claquait dans un bruit énorme. Andrew se précipite dans la pièce et vient encercler mon corps du sien.

- Je suis désolé Mack, je l'ai compris trop tard.

Sa voix est brisé et les larmes menacent de s'échapper de ses yeux bleu réconfortant. Pourtant ce n'est pas à lui de se sentir fautif, car tous ça est de ma faute. Ma naïveté nous a privée du pilier de notre famille. De ma grand-mère.

Andrew me serre toujours plus fort dans ses bras, et sa chaleur m'enivre de la même sécurité qu'à chaque fois que son corps rentre en contact avec le mien. Mon frère à toujours eu cette carrure rassurante, qui arrive à m'apaiser. Mais cette fois j'ai peur que ce ne soit pas suffisant.

Il se recule doucement et attrape mon visage de ses deux mains, et retire le bandeau dans ma bouche, aussitôt la bile me remonte et le peux de nourriture que contenait mon estomac se déverse sur ses genoux. Mais il ne dit rien, ne m'engueule pas, comme Brayden l'aurait probablement fait. Non Andrew lui me sourit.

- Il t'a fait du mal ?

- Non.

Je comprends que le sens de sa question ne s'applique que physiquement, alors la réponse est non. Brayden ne m'a donné que des sensations de béatitudes et de liberté et même dans un moment comme celui-ci j'arrive encore à croire qu'il ne peut pas m'avoir fait ça. Pas après la déclaration qu'il ma faite pendant notre nuit torride. Pas après m'avoir dit que j'étais son pilier, son âme sœur. Il ne peut pas me faire ça, il n'a pas le droit, il n'a pas put l'avoir assassiner, alors qu'il connaissait l'importance qu'elle avait à mes yeux.

- Ce n'est pas lui Drew, ce n'est pas lui, sa ne peut pas être lui.

Je répète ses mots comme-ci c'était un sortilège magique qui me prouverait qu'il n'y est pour rien, que Brayden m'aime réellement et qu'il ne m'a pas manipulait depuis le début. Même si la partit détective qui est en moi connaît la vérité. Tout concorde. Sa détermination à m'accompagnait ici, son emménagement dans mon appartement, le soir où il est rentrer à la maison blessée. Putain. J'ai beau avoir tous les indices pour le soupçonnait, mon cœur lui refuse d'y croire. Le Brayden doux et bienveillant que je connaissais n'aurait pas put faire une telle chose. Mon prince n'était pas romantique ni, charmant. Non. Mon Brayden lui était brusque, et vulgaire, mais il n'étais pas quelqu'un de méchant, pas un meurtrier. Ce n'est pas lui.

- Calme toi Mack, tiens prend sa.

Je dois vraiment avoir l'air mal en point car le regard de Andrew est remplit d''inquiétude. Je ne sais pas à qu'elle moment il est partit dans la cuisine mais en faite je m'en fous. Je prends le petit cachait et l'avale d'une seule traite en buvant un verre d'eau. Andrew m'allonge au sol, et vient se blottir contre moi en me caressant les cheveux. Bizarrement la fatigue vient heurter mes paupières et je ferme doucement les yeux. Malgré que mon bras soit toujours accrocher au radiateur, j'arrive tout de même à m'endormir.

- Il ne l'emportera pas au paradis Mack, je t'en fais la promesse.

J'entends les dernières paroles de mon frère avant de tomber dans l'inconscience. 

Le petit Chaperon-Rouge.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant