Sourire triste, Cachés par des vérités illusoires. Calomnies grotesques; Qui écrasent mes poumons. Des morceaux de peau qui s'éparpillent comme les mensonges que je prolifère. Je prêche des paroles aux qu'elles plus personne ne croit. Comme un dieu moyen, Désespéré d'être délaissé par tous ceux qui découvrent la vérité. Mes pensées sont tels des enfants effrayés à l'idée de grandir. Qui invoquent foudres et orages, pour dissimuler leurs peurs. Et des journées passées à se cacher; Pour espérer échapper enfin au monde abrupt qui nous terrasse et nous oppresse.
M.u.s.i.q.u.e : Ris pas de Bagarre
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