Passions : Musique et théâtre [RÉÉCRITURE]

Chapitre 4

Finalement, j'arrive à l'heure mais ce n'est pas le cas de Théo qui arrive comme d'habitude avec 3 minutes de retard. Il peut pas être en avance c'est ça le problème. Soit il est à l'heure soit il est en retard.

Bref avec Sébastien on avait réglé deux trois détails importants avant qu'il n'arrive. Donc on commence direct.

Sébastien: Bon vous faites le texte et c'est tout. Vous ne vous embrasser pas. Si on a un peu de temps on essaiera.

Théo: Ok chef!!!

Sébastien : Arrête !! Je ne suis pas un chef !!

Théo : Comme tu veux...

Lucy : Allez on commence.

Théo : Lucy ! Lucy ! Ça va ?

Lucy : Euh... Oui je crois. Où... Où suis-je ?

Théo : Tu es à l'hôpital.

Lucy : À l'hôpital ? Mais pourquoi ?

Théo : Eh bien... Tu ne te souviens pas de se qu'il s'est passé ?

Lucy : Si je crois. On n'était pas en train de faire nos devoirs?

Théo : Si. Toi tu faisais ton dm de maths.

Lucy : Et c'est là où je me suis souvenu que c'était l'anniversaire de mon père, donc du coup je vous avais laissé mes affaires pour lui téléphoner.

Théo : Oui c'est ça. Et quand tu étais partie, Ethan t'a pris ton dm et a commencé à effacer certains nombres.

Lucy : Et quand je suis revenu, je lui ai arracher la feuille des mains. Et c'est là qu'il m'a donner un violent coup de poing dans le nez. Et je suis tombée.

Théo : Oui et heureusement que j'étais là parce que sinon, tu ne serais plus de ce monde.

Lucy : Pour ça c'est super mais je sais que si tu n'avais pas été là pour faire cette fête aussi il n'y aurais pas eu ça.

Théo : Oui mais j'étais obligé de le faire.

Lucy : Peut être.

Théo : Bon eh bien quand il a vu que tu étais toujours réveiller, il a foncé sur toi et t'as donner un coup de pied dans le ventre. Et tu t'es évanoui.

Lucy : Et au final, j'ai quoi comme blessures ?

Théo : Il t'a fracturer le nez, fait une entorse à la cheville, fait un gros bleu près du poignet et fait tombée dans le coma.

Lucy : J'ai dormi combien de temps ?
Théo : Une semaine.

Lucy : Quoi !!!! Une semaine !!!!! Mais c'est énorme !!!

Théo : Oui. Surtout que je n'ai pas pu rattrapé ce qu'on a rater pendant la fête.

Lucy : Qu'est ce qu'on a rater pendant le fête?

Théo : Un baiser digne d'un film.

Lucy : On peut se rattraper maintenant tu sais.

Théo : Tu veux ??

Lucy : Pourquoi pas ?

Théo : D'accord.

(Gros blanc parce qu'on fait pas le baiser)

Lucy : Wahoo !! C'est magique !! Je resterais bien là toute la journée.

Théo : Je t'adore !!!!

Lucy : Moi aussi !!!

Sébastien : Ouah ! Vous jouez super bien. Maintenant il manque plus que le baiser et je suis sûr qu'il va être parfait. Et peut être une ou deux répétitions. S'ils vous prennent pas c'est qu'ils sont aveugle et sourd.

Théo : On peut essayer si vous voulez.

Lucy : Oui mais il est qu'elle heure?

Sébastien : 12h24. Vous avez le temps de vous entraîner.

Lucy : Mais j'ai dit au fille que je serais là 15 minutes avant l'heure pour aider à préparer.

Franchement je suis qu'une menteuse. C'est pas vrai. On a mis des tours pour savoir qui va préparer. 

Théo : Allez dis simplement que tu n'as pas envie de m'embrasser. Tu as peur que ça te plaise et que tu ne puisse plus t'en passer.

Lucy : Mais non ce n'est pas ça !!!! Tu dis n'importe quoi !!!

Mensonge numéro 2.

Théo : Vu comment tu réagis ça se voit que ça te dérange.

Lucy : Non pas du tout !! Si vous voulez pour vous prouver que ça ne me dérange pas je vais l'embrasser.

Mensonge numéro 3.

Sébastien : D'accord mais si tu ne l'embrasse pas, tu ne risques pas d'entrer dans la troupe de théâtre.

Théo : Bon c'est pas compliqué, tu te mets là et tu te laisses faire, d'accord?

Lucy : D'accord.

Comme si j'allais me laisser faire... Surtout qu'en plus il va croire que je l'aime si je refuse. Et c'est la dernière chose que je veux. Et il va avoir raison. J'ai horreur qu'il ai raison.

Il se rapproche.

Tout ce que j'avais envie, c'est de partir en courant.

Il se rapproche encore plus.

Je recule, je recule jusqu'à heurter le mur. Je ne peux plus reculer. Crotte!!

Il se rapproche encore d'avantage et puis...