Khadi - De la vie de city à la vie de cité

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"Il ne faut pas pleurer pour ce qui n'est plus mais être heureux pour ce qui a été"

Le lendemain matin quand je me suis levé ma tante était déjà partit, je m'habille et décide d'aller faire un tour. Comme il est assez tôt y'a personne, je marche sans trop savoir où aller et j'arrive dans un parc derrière la cité, je m'assois sur un banc et je commence à penser à ma mère et je me mets à pleurer, en plus je me retrouve à devoir vivre dans cet endroit j'en ai marre. Un moment je sens quelqu'un s'asseoir à côté de moi je lève la tête et voit un débile entrain de me sourire alors qu'il voit que je pleure j'en peut plus déjà de vivre ici.

Moi - tu me veut quoi toi ?
Lui - eh parle mieux je rigole pas avec toi
Moi - c'est toi qui est venu me trouver ici, t'es pas content pars  
Lui - c'est ton banc ?
Moi - non
Lui - alors tg
Moi - pfff je rentre moi les gens ils sont fou ici
Lui - attend t'habite ici toi ?
Moi - bah oui pourquoi ?
Lui - j'sais pas on dirait pas, t'a pas la dégaine
Moi - je vie ici contre mon gré et dès que je peut je me casse d'ici
Lui - mdrrr t'es marrante un peu toi bon vient je t'accompagne chez toi une si jolie fille doit pas se promener toute seule
Moi - arrête ton vieux plan drague tu m'intéresse pas
Lui - qui t'a dit que toi tu m'intéressais ? Vas-y avance et me les casse pas

J'avance et le calcul pas, arriver devant mon immeuble il monte avec moi je dis rien parce que franchement ça servirait à rien à ce que je vois il veut vraiment me faire chier. Je sonne et c'est Faress qui m'ouvre.

Faress - T'ÉTAIT OÙ TOI ?
Moi - en bas
Faress - et t'a demander à qui avant de sortir ?
Moi - lol bah à moi-même
Faress - fait la ouf tu vas voir rentre, ah Sabri tu fais quoi ici ?
Sabri - j'ai accompagné ta cousine elle était au parc toute seule et elle pleurait en plus j'allais pas la laisser comme ça
Faress - ok merci vas-y on se voit après
Sabri - ok

Et le fameux Sabri s'en va, Faress se retourne vers moi.

Faress - pourquoi tu pleurais ?
Moi - pour rien
Faress - eh mais toi tu veux je te défonce, vas-y casse-toi

Je vais dans ma chambre et je vois Anissa toute contente, mais je la calcul pas j'ai envie de parler à personne.