Chapitre écrit successivement à des heures très tardive, donc sûrement remplit de fautes. Je suis vraiment désolé ! J'espère que vous aimerez quand même.
Plus tard, Farah m'a téléphoner et s'est excuser un millions de fois. J'ai tout fais pour abrégé son discour : Farah m'était dévenue presque insuportable, sans aucune raison. Je ne voulais juste plus lui parler, et quand elle insistait, elle m'énervait.
Comme je l'avais deviner, ma mère à fondue en larme en me voyant. Elle rentrait à peine du travaille qu'elle a foncée sur moi. Mon père m'a dit que si au bout d'un certain temps, des vertiges, des vomissements ou ce genre de symptome apparaissaient nous devrons aller à l'hôpital. Heureusement non. Mardi je ne suis pas aller au lycée, et ma mère a même pris sa journée pour me dorloter et me chouchouter. Je devais avouer que c'était agréable d'être juste nous deux, à ce faire chouchouter par sa maman. Elle est venu me voir dans ma chambre pour me réveiller, elle s'est assise au bord de mon lit, a rapprocher son visage du mien en me carressant la joue.
- Ca va mon bébé ?
J'avais hocher la tête, les yeux fermer.
- Je t'aime mon amour, je t'aime très très fort...
Sa voix était douce, basse, comme un murmure. Ca m'a rappeller quand j'était tout petit, et que ma mère me ressurait. Ou quand j'étais très malade, elle se penchait vers moi et je sentais son souffle chaud, son odeur rassurante... J'avais oublier ce que ça faisait d'être son petit garçon. Ce genre d'attentions étaient devenues si rare depuis quelques années... depuis que j'avais grandi. Depuis que je gardais tout pour moi.
Mais c'était un sentiment incomparable que d'avoir cette présence rassurante près de moi.
Pourtant il a bien fallut retourner au lycée. J'avais un léger oeil au beurre noir et la pommette bleuette. Ma soeur a eu un plaisir sadique en me voyant partir pour le lycée. Je n'y ai pas fais attention. Tout le monde me dévisageait comme une bête de foire, certains me fixaient, ou plutôt ma blessure. Gaël a insiter pour faire une photo, et même plusieurs. A ma grande surprise, Constance à fait comme si notre "dispute" n'avait jamais eu lieu (Louanne m'a fait un clin d'oeil, l'air de dire que c'était grace à elle) et m'a dit :
- C'est trop cool ce que t'as fait, mon copain est un héro !
Et elle m'a serrer le bras en posant sa tête sur mon épaule, toute rougissante. Moi aussi j'ai rougis. Je n'étais pas sûr que ce que j'avais fait était vraiment cool, mais plutôt stupide. Personne ne me l'a franchement reproché, mais j'aurais du aller chercher un surveillant avant même que la bagarre ne commence : à la place j'étais rester pétrifier le regard braquer sur William.
Celui-ci m'ignorait royalement. Lui et Constance se toléraient, mais chaque fois que nous étions tous ensemble, c'était difficile pour moi. Quand William était dans les parages, je ne pouvais pas m'empêcher de le fixer, j'avais envie qu'il soit là, mais en même temps je ne le voulais pas. Il gardait ses distances. Ca me blessait. Ca me faisait mal. Mais j'en faisait de même, du mieu que je pouvais. Tout était plus facile lorsqu'il n'était pas dans le coin, au point que moi et Constance nous soyons grandement rapprocher. Je lui laissais me tenir la main de temps en temps lorsqu'il n'y avait pas trop de monde. Il lui arrivait même de me smaquer avant de retourner en cours, et à chaque fois en s'en rendant compte, elle souriait de toute ses dents en s'enfuyant. Je restais bouche bé. Nous avons eu notre premiers rendez-vous au centre commerciale. C'est maman qui m'y à déposer, alors forcément elle m'a poser pleins de questions.
Malgré ce rapprochement, je restais obsédé par William, il occupait toutes mes pensés. Parfois il surgissait dans mon esprit sans prévenir, quand je me lavais les dents, en cours ou pendant que je déjeunais avec Gaël. William était souvent en retard pour déjeuner avec nous. Il restait évasif sur le pourquoi du comment, mais généralement nous ne lui posions pas trop de questions. Je me rappellais ses mots, ses gestes... Et quand il a sourit en carressant mon ourse en peluche. William me hantait.
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Will i am [BoyxBoy]
Romance"Tu avais ce regard bleu perdu, la première fois que je t'ai vu. A ce moment là, j'ai tout de suite eu envie de t'embrasser, de te prendre dans mes bras. Mais avant que je me rende compte, tu avais disparus. Chaque fois que tu disparaissais j'avais...