chapitre 8 : la torture ! le changement

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Toujours coller au mur et lui qui étais devant moi avec ce sourire, je déglutissais difficilement, il me pris par le bras violemment je sentais mes os se briser sous la force qui donnais. Il m'entraînais de force vers l'extérieure de la cellule pour aller je ne sais ou, il marchais toujours avec cette élégance quelque peu plus rapidement et il se dépêchais. Je n'avais pas le choix de le suivre sous la pressions qu'il m'étais sur mon poignée, il ouvrit une porte qui menais a une espèce de chambre isoler noir, ou aux mur se trouvais des instrument...DES INSTRUMENTS DE TORTURE !! je fur surprise et effrayer en même temps, les murs étais noir vieillit qui donner plus de gris dégoûtent ou il y avais quelque mur étant tellement abîmer qu'on voyais les brique rouge. Dans cette pièce il faisais froids l'odeur de cette endroits étais a vomir, c'était comme si on avais entreposer des cadavres pendant des jours, ou le sang avais couler. Au milieux de la salle  il y avais un chaise avec des maintiens en cuire tenue par du métal noir et des chaines rouiller, accrocher a la chaise elle même. L'homme me balança dans la pièce puis y entra à son tour en ferment la porte doucement qui se mis a grincer de manière lugubre, elle se ferma d'un coup, un grand claquement de métal venais de sonnais comme pour ma fin. L' homme arrêta de sourire rapidement pour laisser place a un visage sérieux, son regard n'avais plus aucune émotions, il étais froids, vide, rien ne laissais paraître à quoi pouvais t'il penser en me regardant de cette manière pas très amicale.

j'étais morte de peur, je tremblais, j'étais a la limite de fondre en larme, je tentais de me lever en me raccrochant a la chaise au milieux de la salle. Je réussi a dire " pourquoi m'as tu emmené ici " malgré ma frayeur immense, il me répondit simplement " j'espérais bien que tu me pose cette question mon petit chat apeuré " il repris ce sourire don il avais le secret. Je sortie mon kagune mais pas complètement j'en avais fais apparaître que quatre , il sourit, il pris par le bras et me projeta sur la chaise qui se referma sur moi, d'un coup. J 'étais surprise à la vitesse ou il est allée, j'étais une ghoul alors comment étais-ce possible qu'il aille aussi vite que moi au point de me mettre en difficulté ? Cet homme ...il n'y avais plus aucun doute il m'effrayais. Il s'avança doucement vers moi mis ces mains sur les bras de le chaise, son visage étais vraiment trop près du miens, je pouvais sentir sa respiration, voir se regards remplie de malice et de sadisme et ces lèvres dessinant un magnifique sourire maléfique. En donnant tout ces compliment sur sa beauté, il ne restais pas moins quelqu'un d'épouvantable que je le tuerais si par malheur il me détachais et me laissais sans surveillance, la patience... la patience est toujours a profit. Malgré le faite que ce psychopathe étais face a moi, que ma peur sois la, je le regardais avec un air plus d'arrogant presque en lui disant "fais ce que tu veux, je te tuerais ", il me sourit .

- je suppose qu'on peu commence, mon chaton

- ne m'appelle pas ainsi, j ai un nom espèce de malade !

- oh ! pardon saphir hishiki mais tu reste mon chaton apeuré

- la bonne blague !!

- j'imagine tu veux mon nom alors voila je m'appelle Hitobashira

je fut immédiatement surprise de ce nom peu commun, c'était le nom d'une légende . Le prénom Hitobashira signifie "piliers humains". Au 17ème siècle, il était coutume au Japon d'enterrer des personnes vivantes dans les fondations ou les piliers des bâtiments. Ces sacrifices devaient contenter les dieux, qui bénissaient alors les constructions et leurs assuraient une vie plus longue. Mais du coup, les bâtiments en question seraient toujours hantés par les esprits des pauvres bougres qui ont été enterrés. Pourquoi ce nom la ? est-ce juste pour me faire peur encore plus que je l'étais déjà, il me regarda puis il me dit " je ne me moque pas de toi, je suis née sous ces piliers d'où mon nom " tout sa sur un ton monotone comme si c'était normal. " bon ...on va jouer !! " après sa phrase il se retira de la ou il étais puis il pris une espèce de pince puis il me fit " je vais t arracher les yeux !!! " il rigolais en même temps qu'il disais sa phrase, il se rapprocha de moi lentement avec sa "pince " de moi ce qui me fit en sorte que je me débatte. Il mis sa pince sur ma paupière...il se mis à réfléchir un moment puis il se retira " non finalement je vais pas faire ça " il pris une autre chaîne qui traînait au sole il me l enroula au poignée avant de me détacher des cuivre, il poussa la chaise violemment, j étais debout tendu par mes poignée vers le plafond. Je le vois prendre quelque chose ...un bout de métal ? Puis il me le planta dans mon ventre en le bougeant doucement, la douleur étais horrible c'est comme si on sentais quelque chose nous pénétré dans la chaire jusqu'à atterrie de l autre bout, mais quand il tourna le métal, ce fut comme le jeu ou on mettais les deux mains autour du bras et qu'on tournais la peau mais en beaucoup plus douloureux. Sa brûlait comme des braise dans mon ventre, je pense qu'il avais fais chauffe le bout de métal avant. Hitobashira pris un autre truc flexible, il me fouetta encore et encore. Au bout d un certain temps il pris un couteau puis il m arracha les doigt, je sentais les membre de mon corps disparaître un à un, c étais très douloureux que j en hurla de plus en plus fort . Il continua de me couper et couper les membre encore et encore, pendant des heure et des heure, il me mis des pique en métaux par tout et si par malheurs je bougeais j allais sans aucun doute souffrir le martyre, avant de me détache il me mis un espèce de collier comme " cadeau " il avais des pique dessus si je faisais quoi que se sois pour le retirais j aurais les pique enfoncer dans le cou, donc pour éviter tout douleur inutile je préféré ne pas essayer de le retiré.

Malheureusement pour moi sa torture incessant continuais chaque jour pendant près de cinq heure ou plus j en sais rien je n avais plus la notion du temps. Il s amusais à arracher mes membre et à sortir mes os pour me les monter...je ne ressentais plus rien. Puis un jours ...il m arracha les yeux a ce moment la je hurlait mes yeux ...MES YEUX !!! J avais si mal ...mon kagune sortie de moi, je me libéra sur le coup. j'avançai péniblement et avec douleur, l'homme ne bougea plus pensant qu'il étais assez fort pour ne pas mourir sous ce coup, " oh faite ma chère ça fait quoi de vivre dans la paix entant que chanteuse et avoir ce que tu veux chaque jour ? " je fut extrêmement choqué d'où ce mec me connaissais j'ai étais pas non plus des plus connue au contraire. " sache que c'est moi qui est tuer ta maman, la femme de ce mec débile ! " . A ce moment même une fureur indescriptible me parcourut, cet homme je devais l'éliminer maintenant il as tuer ma mère il y a trois ans si je compte bien depuis cette tragédie je fut encore plus protéger. Il avais dépasser les borne il me torturais, il se foutais de ma gueule, il as tuer ma mère et humilier mon père.

_"alors ma belle on s'amuse a essayer de me faire peur, désole ça ne marche pas " dit il sur un ton arrogant

- " tu vas certainement souffrir à présent que je suis libre " 

- " vraiment ? malheureusement j avais tout prévue mon chaton je t'ai administrer un sédatif paralysant tes ponction nerveuse ainsi tu ne pourras plus faire aucun mouvement "

et dans ma tète et a mon avis ça se lisais sur mon visage un gros " putains de merde il ma eu "  mais heureusement ce genre de chose ne marche pas sur moi alors finalement j'affichais un sourire de satisfaction. Je me déplaça "tu sais quoi enfaite j'en ais rien a foutre de mes parents", il fut très choque surtout le faite que j 'étais déjà à deux centimètre de lui, mon kagune étais sous sa gorge , je me mis a sourire " tu pensais que j'étais faible , je jouais la comédie a l'instant, évidemment c'est toi qui ma changer ainsi sois en heureux ". Je l'embrassa puis je lui sourit, lui étais tout sauf heureux il étais choqué, agacer, énerve.

- " te fout pas de moi !! je te tuerais maintenant tu ne m'amuse plus !!!! "

- "essaie toujours "

il essaya de me tuer en vains il me faisais rire puis je décida d'en finir avec lui ou peut être pas je verrais plus tard. Il étais dans les vapes  je put l'emmené sans encombre a notre repère, ne savant pas trop quoi faire de lui



voila ^^ 1578 mots  

Tokyo Ghoul ( Saphir hishiki ) EN PAUSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant