One Shot ( Camren )

My best friend's mom - Pdv Camila

Regardant le plafond alors que mon thorax se levait dans une respiration assez élevée, un simple petit sourire se posait sur mes lèvres en repensant à ce qu'il venait se passé. Je pouvais tout autant entendre sa respiration haletante venir jusqu'à mes oreilles, prenant plaisir à savoir qu'elle était autant essouffler que ça. Je ne faisais jamais les choses à moitié quand il s'agissait d'une partie de jambes en l'air, elle le savait, et ce depuis cinq mois envions. Je ne pouvais dire d'où était venue se déclique mais cela ne me dérangeait aucunement de faire l'amour avec Lauren, elle satisfaisait mes envies comme je pouvais le faire avec les siennes, c'était un plaisir immense de me retrouver avec elle lorsque je le pouvais sachant que la situation dans laquelle on était ne nous permettait pas de nous afficher correctement comme je le souhaitais, mais tout aussi comme elle le voulait. J'étais consciente des risques que je pouvais entreprendre en sortant avec elle, d'être chez elle à ce moment-là, mais le risque ne me faisait pas peur et j'étais majeur, rien n'allait nous faire du tort, elle était consentante, je l'étais tout aussi, il nous manquait seulement son avis, celui que je redoutais le plus, pour pouvoir nous afficher complétement aux yeux de tous. Me redressant sur l'un de mes coudes, je me retournais de façon à être face à elle, laissant mon sourire s'agrandir un peu plus à la vue que j'avais, une Lauren transpirante, nue. La plus belle vue qui m'est été donné de voir. Ma main venait se posé sur son ventre, de mes doigts j'entreprenais de le caresser en toute douceur et sensualité, réveillant ses sens, la sentant donc frissonner sous mes caresses, son sourire s'installant sur ses lèvres alors qu'elle tournait son visage de façon à me regarder, ses yeux se posant dans mon regard.

« Tu penses qu'elle sera prête quand ? » Demandais-je tout en continuant délicatement mes caresses.

« Je ne sais pas Camila, tu sais que ce n'est pas un sujet facile à aborder. » Me faisait-elle à nouveau comprendre.

« Je le sais bien Lau' .. Mais j'en ai marre de trouver des excuses .. J'en ai plus qu'assez de lui mentir sur la personne que je vois, elle a le droit de savoir .. Même si je redoute sa réaction.. » Avouais-je malgré moi que cela me faisait tout de même peur.

« Camila, tu sais ce qu'il pourrait se passé si elle le prend mal ? » Me questionnait-elle.

« Oui, Lauren, je le sais .. Elle risquerait de t'en vouloir et moi me bannir de sa vie.. Et bien que je l'adore, qu'elle a une grande place dans ma vie.. Il n'en ai pas moins que tu en as aussi une grande et que je veux prendre le risque .. » Lui faisais-je part de mon envie présente.

« Camila.. » Soupirait-elle en se redressant, venant posé sa main sur ma joue. « Ariana est ma .. »

« Maman ?! » Entendais-je crié du bas, me faisant prendre peur tout comme Lauren.

« Je suis en haut chérie ! » Entreprenait-elle de crier à son tour.

Sans attendre une minute de plus, je prenais mes vêtements qui étaient déposés sur le lit et deux trois autres par terre, allant directement dans le placard de Lauren, me cachant derrière sa garde-robe comme je le pouvais jusqu'à ce que la brune aux yeux émeraude ne referme la porte avant que sa fille n'arrive dans sa chambre. Ce n'était pas le premier coup de stress qu'on avait à cause d'Ariana, on prenait déjà un grand risque de se retrouver chez elle, on le savait toutes les deux, mais il n'y avait aucun autres endroits où l'on pouvait se retrouver ensemble. Ma mère était nourrice qu'il était impossible de faire rentrer Lauren chez moi sans qu'elle ne passe inaperçue et dans tout ça, ma mère n'accepterait jamais la relation que j'entreprenais avec une femme de trente-neuf ans, moi-même je ne l'aurais jamais cru, mais c'était bien la vérité, je sortais avec une femme avec qui j'avais vingt ans d'écart et dont j'étais amoureuse.

« Tu aurais pu me dire que tu étais nue, je serais restée derrière la porte. » Entendais-je du placard.

« Ce n'est rien, je sortais de la douche. Comment ça se fait que tu rentres aussi tôt ? Le mardi tu restes à la bibliothèque assez tard il me semble.. » Demandait-elle à sa fille.