C'est assez!

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C'est quand même trash comme one shot

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Ça durait depuis déjà des semaines. Au départ, ça ne l'affectait que très peu mais plus le temps passait, plus les commentaires qu'il recevait l'atteignaient.

L'année passée, une journaliste écrivait des articles sur Harry que Malfoy et cette chipie de Pansy Parkinson aimaient utiliser pour se moquer de lui. Hermione lui disait de ne pas s'en occuper. Il a toujours eu l'envie d'aller leur fermer la gueule mais Ron l'empêchait de lui sauter dessus à chaque fois qu'il en avait l'occasion. Il disait qu'il n'en vallait pas la peine et que ça ne lui amènerait que des ennuis.

Harry a laissé passer toutes ces moqueries comme une passoire remplie d'eau mais plus à présent. C'était terminé. Il était dans la salle commune et écrivait un mot destiné à son ennemi, Malfoy:

Viens me rejoindre dans la salle des trophées, jeudi à minuit.
Viens seul. À moin que tu n'en aies pas le courage.
Potter.
P.S: Cette fois-ci, ce n'est pas un piège.

Le seul inconvénient est l'envoi du message. Harry ne peux pas utiliser Hedwige parce qu'elle risquait d'être interceptée par Ombrage et il ne voulait pas une autre semaine de retenues.

Collin a un ami à Serpentard qui pourrait livrer la lettre dans le dortoir de Drago. Il lui a formellement interdit de la lire sous peine d'être renvoyé de l'A.D. mis apparemment il n'a rien écouté puisque le lendemain matin en arrivant dans la salle commune il se précipita sur lui en lui posant des questions comme : <Qu'est-ce que tu vas lui faire?> < Pourquoi tu dis que ce n'est pas un piège?> etc.

Harry comprit que le message était passé en voyant le regard que Drago lui avait lancé au petit déjeuner. Cette fois, il allait en terminer avec tout ça. Après Malfoy, il allait s'occuper de Seamus et d'Ombrage. Ils le méritaient ces petits cons. Ils ne le croyaient pas lorsqu'il parlait de Voldemort et le faisaient passer pour un fou et un menteur. Il était temps de leur faire voir de quoi il était capable. Il aura autant de pitié que Lord Voldemort lui-même.

Le soir venu, quand il arriva dans la salle des trophées, Drago était là. Il était seul dans le fond de la salle à contempler les trophées de Quiddich anciens.

-Tu aimerais voir ton nom gravé sur l'un d'eux, n'est-ce pas?

Drago se retourna.

- Je me demandais surtout comment ton incompétent de père pouvait avoir le sien dessus.
-C'est parce que le mien a fait quelque chose de bien. Le tien préfère mentir au ministre et se soumettre à Voldemort( Drago eut un frisson) par peur et non par loyauté.
-Ne parles pas contre mon père! Crois-moi il en entendra parler. (Il sort sa baguette.)
-Ça ne me fait pas peur. Il ne peut pas me faire de mal ou Lord Voldemort le tuera. (En sortant sa baguette.) ... Experlliamus!

La baguette de Malfoy vola dans toute la pièce avant d'arriver dans la main de Harry.

-Tu as de bon réflexe, Potter. Tu t'ai entraîné depuis nos duels?

Harry ne voyait aucune trace de peur dans le visage de Drago. Il se demandait quel supplice il allait lui infliger. Allait-il lui jeter un sort ou se battre comme un Moldu sachant qu'il a si souvent eu l'envie de lui casser le nez. Il pourrait très bien y arrivé puisque Drago était tellement maigre et chétif et ses deux amis sans cervelle n'étaient pas là pour le défendre.

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