Je ressort de la chapelle encore sonnée.
Je déambule seule dans la ville longtemps puis me décide de prendre une chambre à l'hôtel le plus proche.
Le problème, c'est que j'ai plus un centime entre le bus, les boissons et tout le reste.
Je retourne donc à la chapelle et explique mon problème aux bonnes sœurs.
"Non mais, que croyez vous! Que non allons laisser la fille d'une fugitive dormir dans nos bâtiments!" La femme qui dirige les autres tournes les talons et ses dames la suivie. Toute sauf une, une jeune fille. Elle est rousse et porte l'uniforme du couvent à merveille.
Elle me murmura alors a l'oreille:
"Ne vous en faites pas j'ai mon jour de visite ce soir, vous m'attend être à l'entrée d'ici 20 minutes le temps que je puisse prendre mes affaires." Puis elle s'en alla en trottant vers sa chambre.
Les vingts minutes passées, comme convenu j'attend devant l'entrée.
"Parfait! Nous allons prendre le tramway pour aller chez ma grande-tante Pétunia." Elle surgit de derrière précipitèrent a m'en faire sursauter.
Une fois le trajet achever on déambule sur un étroit chemin qui mène a une vieille bicoque.
"Bienvenu chez toi!" La jeune jeune fille ouvrit les bras pour pointer la "maison".
"Merci beaucoup....heu...Je ne vous ai même pas demander votre nom."j'étais gênée.
"Ho!Moi je me nomme Marisa, Marisa Cooper." Elle me servit son plus grand sourire et m'invita a entrer dans la maison. Je lâcha un son d'ébahissement en découvrant l'intérieur. Il était totalement différent de la façade extérieure, d'une couleurs orangeatre et d'une texture de rapprochant du pâteux.
"Ho vous savez cette maison n'est que noble et j'en suis confuse." Elle rougis.
"Ho non je trouve ça magnifique!" Il est vrai que c'était vaste mais le peu de meubles exposes y sont magnifiques, rustiques et sculptés à la main.
Je posa mes affaires d'en un coin et alla observer les meubles.
"Votre chambre sera au fond du couloirs à droite" Marisa pointa du doigt la chambre et s'en alla.
Ma chambre était comme le salon, seule lents quelques meubles sculptes.
"Cette chambre, elle a appartenu a ta mère." Je me retourna avec l'étonnement marque sur mon visage.
"Et oui tout les esprits de rencontrent!"la voix de la femme était fragile et chevrotante.
Je contempla le lit en pensant que ma mère y avait dormi.
"Je me présente soeur Albertine de Saint Alix. Je fus la tuteur de votre mère." Les heures passaient a une vitesse. Le temps que Albertine et moi discutions de ma mère, ses goûts, ses envies, sa vie (je me rendait compte que nous avions des choses en commun) il était l'heure du souper.
Ma soupe avalée je me mis en pyjama et m'enroula dans mes draps.
Endormie, d'un coup une lumière surgit de nulle part.
"Ma chérie, ma chérie, je suis la! Ne pleures pas. Je veillerais sur toi. Ou que tu sois...." Cette voix fluette sonnait comme une chanson. La lumière disparut pour reparaître plus tard dans la nuit.
"Ma chérie, ma chérie, je suis la! Ne pleures pas. Je veillerais sur toi. Ou que tu sois....."
L'aube du jour chatouilla ma joue tout en me réveillant doucement.
J'étais comme envoûtée, ces paroles étaient vraiment des paroles. Ces paroles étaient une chanson? Cette chanson était-ce ma mère qui la chantais? J'étais endormie ou éveillée. Je ne savait pas....
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Problem ? 1 : Perfect Love
Teen FictionEmmy, 15 ans. Petite, cheveux noirs. Lydia, 16 ans. Grande, cheveux blonds. Ces deux adolescentes sont totalement différentes. Pourtant elles se complètent. Un regard aura suffit à nos deux héroïnes pour comprendre ce qu'elles ressentent l'une enver...