Une erreur

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Je me rendormis.
"Pardonnes ma chérie, pardonnes..." C'était encore cette voix.
Je me leva et décida d'en finir une bonne fois pour toute et de mettre les points sur les i avec Lydia.
J'écrivais un message pour remercier mon hébergement quand je vit le bus passer. Juste le temps de signer et de laisser le mot sur la table.
Le trajet était toujours long. Bercée par les ronronnements du moteur, je m'assoupit.
10h30--------trajet fini.
Je marcha jusque l'allée de Lydia. Je l'ai toujours appelée comme ça car c'est la que j'ai passer mon enfance avec Lydia. Je frappa a la grande porte blindée portant le numéro 10.
"Putain Emm, J'suis désolée! Pardonnes moi!" Lydia sauta a mon cou en pleurant toutes les larmes de son corps.
La pardonner? La détester? J'aurais voulu m'enfuir, mais je ne pouvais pas Lydia était mon amie, mon tout.
"Emm, je voulait pas...! Je suis désolée!" Elle pleurait encore.
"Je m'en fous de tout ça moi! Je veux juste des explications!" J'ai crier tellement fort que je m'en suis moi-même surprise.
"Écoutes Emm, c'est Massimo. Tu sait mon voisin de table en Grec. Il m'as obligée, j'étais attachée." Elle pleurait encore plus qu'avant.
"Chut Lyly, c'est fini..." Je lui sécha les larmes puis l'embrassa.
Ce baiser fut si intense et si beau que le monde cessa de tourner pour moi.
J'était émoustillée par Lydia.
"Pardon..." Me chuchota Lydia avant de me conduire dans sa chambre.
Elle commença par me caresser les cheveux, puis elle descendait tout en douceur. Mon chemisier, mon soutien-george, mon short, mon string pour ne laisser place qu'à ma nudité.
Je fis de même avec elle. Son corps était chaud, brûlant.
Elle commença par introduire deux doigts en moi. Je lâcha un petit cris sourd.
"Mais Lydia... Si t'es parents ariiiivent..." J'étais essoufflée.
"T'inquiète pas, ils sont partis à Lisbonne pour la semaine. Maintenant tais-toi et laisse moi faire" sa voix était chaude, presque aussi chaude que son corps.
Elle ouvra le tiroir et sortit une paire de menottes.
"Maintenant tu est mon esclave" elle m'en fila en même temps un foulards sur les yeux.
J'étais démunie sans ma vue. Soudainement je sentis un froid sur mon corps bouillant, comme un objet métallique. Il disparut, apparut alors comme des morceaux de cuir. Elle s'amusait a jouer avec mes sens.
Elle remit ses deux doigts en moi, puis les tournas. Je lâchais de petits cris.
"Maintenant ma cocote on va passer aux choses sérieuses." Elle parlait si près de mon oreille que j'en eu l'impression qu'elle me léchait l'oreille.
Lydia ressortit des doigts pour les déplacer vers mon clitoris. Mes cris devenaient plus intenses, plus forts.
"Ha tu aimes?" Elle jouais de plus belle avec mon clitoris. Je criais de plus en plus fort.
Elle extirpa ses doigts puis me lécha. Ça y est je jouis mais cette fois c'est tellement intense. C'est plus que du sexe, c'est un petit jeu entre nous. Et je veux qu'il dire a jamais.
Lydia appliqua une sorte de pommade sur l'ensemble de mon corps en malaxant mes seins et particulièrement mes tetons. La pommade me donnais de plus en plus chaud. Tellement que mes sueurs mouillait le lit. Elle prit un objet dans ses mains. Appuya sur le bouton et laissa l'objet défiler sur mon corps mouille de sueurs et de pommade. L'on hait vibrait de plus en plus belle et descendait de plus en plus vite. Arrivé en bas Lydia l'introduisit dans mon vagin. Je gémissait, je suais, j'étais excitée. Jamais je n'ai ressenti ça avec quelqu'un. J'en leva mon bandeau et le mis sur les yeux de Lydia. Je fis de même qu'elle. La pommade, les doigts... Un moment tellement on était épuisées on s'endormir l'une sur l'autre. Je le savait maintenant, c'était elle. Je Luis pardonnerais tout. Entre nous y'a plus que du sexe, y'a une alchimie.

Problem ?  1 : Perfect LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant