Chapitre 5.

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PDV Kendal

Est ce que Jessica à raison ? Est ce que je suis déja attachée ?
Non je ne pense pas. Kendal tu es une fille forte, tu ne te laisse pas déconcentrée par ce qu'on appelle "les sentiments". Tu vas lutter, et tout va bien se dérouler.

Jackson: Princesse ?

Je ne repondit pas.

Jackson: Princesse, c'est à toi que je parle.

Kendal: Pardon je croyais que t'appeller quelqu'un.

Jackson: C'est toi et seulement toi ma petite princesse.

Kendal: Bon tu voulais quoi ?

Jackson: Dors avec moi... S'il te plait....

Je me rapproche de lui.

Kendal: Non Jackson.

Jackson: S'il te plait ma Kendal d'amour, ma petite princesse.

Il me regarde avec sa tête de bébé.

Kendal: Ok c'est bon.

Attend je disais quoi tout à l'heure ? Fille forte ? Non, t'es faible Kendal -Ta gueule conscience!-

Je pris mon pyjama et alla me changer dans la salle de bain. Une fois prête, j'alla me coucher au prés de Jackson. Il m'entoura de ses bras et je me blottie dans son cou. Son parfum. Son parfum est rassurant.

Je ne peux pas lui dire. Et si il le prennais mal ?

Jackson: Bonne nuit princesse, je t'aime.

Il commençe alors à me carresser les cheveux. Mon coeur fit un bon. Jessica a raison, il est trop tard, je suis attachée.

Juste avant de m'emdormir une chanson se reppetta en boucle dans ma tête.

"Chaque mots que tu dis, chacun de tes rires
Ils ont une grande signification pour moi
Même tes petits regards
Même ton dos courbé est une promesse difficile pour moi
Tout de toi vient comme une sorte d'énigme insoluble
La tristesse fleurit tout comme le cosmos à la gare
Tu es ce parfum aromatique qui s'en va en un coup de vent
Je construirait un château au dessus des nuages cotoneux
J'ouvrirais mes fenêtres vers toi, les fenêtres du vent"

Cette chanson. Matt me la chanter lorsque je n'allais pas bien. Je m'emdormis donc dans un sentiment de réconfort et d'abandon.

Internat,5h45 du matin.

Je n'arrive plus à dormir. Je décide de sortir prendre l'air. Je descend et m'installe prés de la fontaine. Je sors mon téléphone. Aucun appel manqué, aucun message. Rien. À ce que je vois je ne manque à personnes.
J'etais dans mes pensées quand une voix m'interpella.

Bienvenue à l'internat.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant