Les pouvoirs

Le kindnapping

Carla nous demanda de la suivre. Elle s'asseyait sur le canapé et Alex et moi fîmes de même. Carla débuta son récit:
-Lundi, mes parents sont partis à Paris pour un mariage et il reviennent demain. Mon grand frère est en camps, j'étais donc seule chez moi pendant une semaine.
-Et que c'est-il passer pour que tu sois absente durant cette semaine ? Interrogea Alex.
Carla reprit:
-Deux heures après que mes parents soient partis quelqu'un sonna à la porte et j'ouvris. C'était comme un chevalier, il était armé jusqu'aux dents alors je me suis gentiment moqué de lui en lui disant que ce n'était pas aujourd'hui le carnaval. Il n'a pas aimé ma blague et m'a pris par le bras en m'entraînant avec lui. Alors j'ai crié et il m'a frappé. Lorsque je me suis réveillée j'étais dans une chambre et il y avait une femme qui me regardait. Je lui ai demandé ce que je faisait ici ce à quoi elle m'a répondu: "Tu est une des trois surhumains sur cette terre, tu a des capacités hors du communs et irréelle." puis elle est partie. Il y avait une lettre sur la table de chambre et quand je l'ouvris du vent en est sortit. Le lendemain j'ai appris que j'avais des pouvoirs magiques. Durant toute la semaine j'ai été soumise à différents tests sur ma capacité à gérer et utiliser mes pouvoirs. Hier la femme m'a dit qu'elle s'appelait Léa et que je venais de rencontrer mon pire cauchemar.
-En quoi consistaient les tests? Lui demandais-je calmement.
-Je devais me battre avec mes pouvoirs contre ses soldats ou contre des hologrammes. Me répondait Carla.
-Nous sommes les trois les trois surhumain. Affirma Alex.
-Et comment était la femme ? Questionnais-je.
-Moche et arrogante elle avait l'air déterminé.
Nous discutâmes un peu d'autres choses quand Alex et moi sommes rentrés. Je demanda a Carla de prendre soins d'elle et elle me le promis. Sur le chemins un gros nuage écrivaient ces mots "Elle vous tuera". Alex me dit:
-C'est pas bon signe.
Nous finissions ensemble notre chemin et se demandant si il fallait prévenir nos proches e le verdict fut " Nous ne le dirons à personne"