Chapitre 1 : « Je serais grand quelqu'un de grand»

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Lundi, 9 décembre 2015.

Il était un peu près 10h du matin, on était en plein cours de français, quand la prof me réveilla de ma sieste habituelle dans son cours. Lorsqu'elle me réveilla en me secouant les épaules et me criant dessus avec sa voix la plus horrifiante.Elle croyait sans doute me faire peur. Je l'envoya boulé d'un  geste de la main. Marie, ma voisine de table, me donner des petits coups de coude pour essayé de me réveillé en me parlant :

« -Tu sais que t'es chou quand tu dors ?
-Mh..
- Aller,lève toi. C'est la nuit qui faut dormir, me disa-t-elle d'un ton ironique.
-
Facile à dire, plus dure à faire. Je bosse sur un projet en ce moment, ça me prend tout mon temps. Je t'en parle après. en baillant »

La professeur commença à s'énervait, elle criait mon nom, ça me rappeler mon ex quand elle était jalouse :

« -Bon sa suffit ! Jake si tu te réveille pas, t'ira voir le proviseur !
- Vous croyez que c'est sa qui me fait peur ?avec un ton arrogant
-Très bien, tu prends tes affaires et tu sors !
- D'accord,au plaisir de ne plus vous revoir. en rigolant
- Sa sera écrit dans ton rapport ! »

Je n'y suis pas aller, j'attendis devant la porte en rigolant quand j'entendais la prof crié. La porte s'ouvrit, Marie sortit.

« -T'as fais quoi ? Lui dis-je
-Absolument rien. Et toi ? Tu n'es pas chez le proviseur ?
- Si si, j'y suis, c'est un hologramme là.
- hinhin, très drôle.
-
Roh, ça va c'est de l'humour !
- Tu sais très bien que ton humour est pourri.
- Autant que ta coupe de cheveux. en explosant de rire
-Redit ça et je t'explose le crâne ! »

Nous partons tout les deux chez le proviseur, notre sac vide sur le dos,on se taquinait et rigolait fort, personne pouvait nous ôté ceci.Un surveillant sorti et cria :
« Eh vous deux ! Où vous aller ?!
- On est exclu, on va chez le proviseur. Répondis-je
-Ouais, bah faites moins de bruit ! »

Arrivé au niveau des escaliers, je la pris par le bras et lui dit :
« - Tu tiens vraiment à y aller ?
- On est obligé Jake.
- On est obligé à rien Marie. Tu le sais.
- Et tu veux faire quoi en attendant ?
- Il y a un milliard de chose à faire tu sais..
- Comme quoi ? me regardant
-
Comme ça. l'embrassant tendrement
- Wow..j
e ne m'attendais pas à ça..
-
Tu me suis ? commen ça à partir
- hésitant,
J'arrive !

On parti tout les deux, sans se soucier de où on allait atterrir. Quand mon téléphone sonna, je décrocha :

« -Allô ?
Jake, t'es où ? Le Lycée vient de m'appeler,t'as fait quoi encore ?! Rentre tout de suite ! »

« -C'était ma mère,faut que je rentre, tu viens ? m'adressant à Marie
-
Je vais dérangé non ?
- Absolument pas, j'écoute ce qu'elle va me dire, puis je reviens. Tu m'attends devant la porte. »

Arrivé devant chez moi, je lâcha la main de Marie, lui embrassa le front et lui dit : « J'arrive tout de suite »

Je monta les escaliers de ma tour, arrivé devant ma porte, je souffla un coup,puis j'ouvris.
«- Maman, c'est moi !
- Ah, enfin te voilà. C'est quoi ces histoires là ? Alors comme sa tu fous plus rien en cours, tu sèches, tu te fais exclure ?
- Ils me saoulent, j'ai plus la motivation. C'est comme ça c'est tout.
-Non, c'est tes potes là. Depuis que tu traînes en bas t'as changé.Tu t'ai mis à fumé, à boire, à te battre. C'est quoi la prochaine étape ? Tu vas tuer quelqu'un ?
- Eh, ça n'a rien avoir avec mes fréquentations, laissez les en dehors de ça !
- C'est quoi alors le problème ? J'me suis toujours battu pour toi, c'est comme ça que tu me le rends ? Tu me déçois.
- Ah ouais ?! Je te déçois ? Si c'est sa, je prend mes affaires et je me casse !
- Si tu franchis cette portes,tu ne le feras plus jamais.
- Personne ne me dis ce que je dois faire, je suis obligé à rien, je veux être libre. Faire ce que je désir.
- Tu vas faire quoi si tu pars d'ici ? Comment tu vas te nourrir ? Tu vas devenir un clochard ?!
- Non maman, je serais quelqu'un de grand. Tu verras. prenant mon sac et claqua la porte. 

 « La femme de la 33ème avenue»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant