Un bonheur sans limite.

Chapitre 9: Tu es une traînée Marinette.

Point de vue Marinette.

J'étais coucher sur le sol, les yeux mi-clos. J'avais froid, et mes lèvres étaient violettes. Je regardais fixement le bas de la porte en gémissant de douleur. Je ne portais plus mon t-shirt et j'étais désormais coucher, la tête posée dans une petite flaque rougeâtre. Je n'avais plus de force. Je ne pouvais pas bouger. Mon ventre me faisait tellement mal.. Q'est ce qui c'étais passé? Hé bien.. Comme chaque matin je m'étais préparée pour aller en cours. J'avais mis un débardeur blanc et un short montant noir. J'étais aller en cours mais Alya et Adrien manquaient à l'appel. Alya avait attraper froid et Adrien avait une séance photo de huit heures à dix heures. J'avais la boule au ventre suite à cette nouvelle. J'étais ensuite partie me rafraîchir, mais un certaine blonde du nom de Chloé m'avait suivie. Sans prévenir elle m'avait plaquer contre un mur et m'avait attraper par la gorge..

Flash Back:

Je regardais le visage de la blonde, qui semblait déformer par la rage. J'avais du mal à respirer et mes pieds ne touchaient plus le sol désormais. Ma vue était floue et ma respiration se faisait
rare. 

-Cet enfant.. 
-De quoi tu parles Chloé?!
-Tu es enceinte n'est ce pas..?

Je la regardais fixement alors qu'elle desserrait sa prise sur mon cou. J'avais du mal à respirer, ce qui n'arrangeais rien. Je grimaçais en portant une main à ma bouche. Je me mis à tousser, crachant un petite quantité de sang.

-Dis moi Marinette.. Le père..

Je me crispais alors qu'elle caressait mon ventre du bout des doigts. 

-C'est Adrien hein?

Je ne bougeais plus déconnecter de ce monde. Elle appuya alors sur mon ventre, me faisant crier. Avec un sourire que j'aurais pu qualifier de sadique elle continua d'appuyer. Mes cris devaient être encourageant pour elle.. La sonnerie retentit alors marquant la pause. Elle me jeta négligemment parterre et partit avec un dernier sourire.

-Tu es un traînée Marinette.

Fin Flash Back.

Ca faisais une heure quelle avait quitter la pièce. Personne n'étais venu. J'étais seule, abandonner à mon sort. Adrien devait sûrement me chercher.. Prise d'une quinte de toux plutôt sèche et violente je me mis à tousser en tachant le sol. J'attrapais mon téléphone avant de le déverrouiller les mains tremblantes. Je cliquais sur le nom d'un de mes contacts lançant un appel. Mais avant qu'il puisse décrocher je tombais dans l'inconscience.

-Marinette?

Point de vue Adrien.

J'étais arriver aux alentours de dix heures mais je n'avais malheureusement pas croiser ma Lady durant la pause. Elle n'était pas revenue en cours non plus. Je rêvassais en regardant par la fenêtre en mordillant un de mes stylos. Tout à coup je sentis quelque chose vibrer dans ma poche. Je sortais rapidement de la salle et sortais mon téléphone. Un sourire s'illumina sur mon visage en voyant le nom de la bleuté s'afficher. Je décrochais mais je n'entendis rien à part un bruit sourd.

-Marinette?

Je raccrochais alors avant de la rappeler. J'entendis alors la sonnerie de son téléphone résonner dans les couloirs. Je me mis à courir vers la source de ce bruit en commençant à m'inquiéter. Au bout d'un moment j'arrivais devant les toilettes des filles les joues lgèrement rouges. Je rentrais dans celles-ci en retenant mon souffle. Je sentis une odeur immonde venir jusqu'à moi. Je baissais mon regard sur le corps inerte de Marinette. Mon coeur rata un battement.