Enfance Anormal et Père Aimant...

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*PDV Vincent*

Trois mois après la mort de ma femme, je m'occuper seul de ma fille, chaque matin j'essaye de me rappeler l'odeur de ma lumière, de son visage souriant, je savais bien que je rentre dans un état de dépression grave, la seul qui arriver à me faire sortir de mes souvenirs était le gazouillement de ma fille adorée, pour moi elle compter plus que tout au monde, elle avait la douce chevelure noir de sa mère qui se parait de reflet violet comme ceux de ma mère.

Les deux femmes que j'avais le plus aimé se retrouver en une seule enfant, elle seul était capable de me laisser totalement ébahie d'admiration devant elle rien quand faisant une petit mouvement de ces petits pieds nus ou de ces douces mains qui effleurer les objets du tapis pour bébé, son regard était d'un jolie gris presque blanc, elle n'avais pas de pupille puisque celle-ci était blanche, elle voyait parfaitement et laisser errer ses petits yeux curieux sur les objets qui l'entourer parfois on se regarder dans les yeux sans se lâcher, j'avais fais une promesse a ma femme que jamais, je n'abandonnerais ma fille et je la tiendrez.

Rien ne compter plus que ma mini lumière son rire joyeux et doux et ses grands sourires, un jours, je la trouvas en larme devant la photographie de mariage de sa mère et moi, nous étions si jeune, si innocent, nous avions tellement de rêve, je compris a ce moment que sa mère lui manquer, elle devait avoir a peine quelques souvenir d'elle qui disparaîtrez dés quelle sera plus âgée, alors mus d'un soudain élan j'allas voir dans le placard et pris le tee-shirt en coton avec écrit « Licorne enceinte », je mis le parfum de ma femme dessus...jasmin et bleuet et donnas le tee-shirt a ma fille qui inspira son odeur, puis ces larmes ce sèchere et ces yeux se firent lourd avant qu'elle ne s'endorme dans une position assez drôle.

*Janvier 89*

Je fêter les 1 ans de ma filles et les 1 ans de la mort de ma femmes, j'allais mieux peut être parce que je me consacré presque uniquement a l'éducation de ma fille, elle tenait toujours le tee-shirt de sa mère impossible de lui enlever des mains sans qu'elle pleure jusqu'à ce qu'on lui rende son tee-shirt.

Je l'ai emmené au cimetière et nous avons était voir la tombe de sa mère sur la route, les gens n'arrêter pas de me dévisager cela m'énervas et je pressai le pas en faisant attention de prendre ma fille dans mes bras.

Au abord du cimetière on trouvas un champ de fleurs sauvage j'aidas ma fille a cueillir les fleurs les plus dure et nous sommes finalement rentrée dans le cimetière, je ne m'attendez pas a voir la famille de ma femme enfin surtout ces parents devant la tombe de ma compagne, ils pleuraient, je dis a ma fille de s'approcher de ces grands parent et de tendre le petit bouquet qu'elle tenais dans ces bras et de leurs donnée.

Ils écarquillèrent les yeux en même temps la ressemblance avec sa mère était terrible, ma belle-mère se penchas et serra sa petite fille contre elle et la câlinas avec amour tout en pleurant, mon beau-père se retournas vers moi et me fis un sourire triste s'approchas de moi et me sera dans ces bras, je me rappellerais toujours de cette journée de 89....

*Janvier 90*

J'avais la quarantaine, j'avais l'impression que la vie avait décidez de s'arrêtez a m'embêter, qu'elle me laisser enfin tranquille ma fille venais d'avoir deux ans, elle grandissez de plus en plus ces cheveux former de magnifique boucle violine sur la pointe et le dessus était noir comme le charbon c'est yeux avait pris leurs teintes définitive d'un gris Lila, elle était d'une douceur rare mais un truc m'effrayer quand elle n'aimer pas quelqu'un son regard ce faisait dure et haineux, elle lancer des regards noirs a tout ceux qui ne faisait pas ce qu'elle veut le seul a qui elle ne le faisait pas c'était a moi et a certain proche de notre famille  comme ces grand parents maternel, je senter parfois quand elle était en colère une rage presque meurtrière sortir d'elle ce n'était pas normal pour une enfant de son âges.

Elle devenez aussi parfois violente plus aucune crèche ne voulais d'elle, cela m'inquiéta mais je n'arriver pas a la gronder, c'était mon enfant après tout, son caractère ténébreux faisais que ces camarade la regarder avec admiration et la suivez comme un harde de mouton suivant leurs bergers, elle raconter a qui le voulais que son oncle était un tueur d'enfants et menacer ses camarades qui ne voulais pas la suivre d'emmener son oncle schizophrène.

Mon  instinct m'avertissez du danger qu'elle pourrait représenter pour les autres, mais moi je ne voyais qu'une petite fille qui ne voulait que de l'amour.

*Janvier  91*

Dans un 1 an la nouvelle pizzeria ouvriras ces portes, j'était plus qu'impatient de revoir les enfants qui était enfermer dans les animatroniques, et de leurs présenter ma fille malheureusement il faudra aussi que je les avertisse de leurs mère de substitution était décéder au moment de l'accouchement de ma fille, elle aussi grandissez bien, ses goût ce faisait plus en plus moins enfantin, elle adorée regarder les lames de couteau, elle avait une livre qui lui apprenait a reconnaitre n'importe qu'elle couteau d'abord furieux je lui avais enlever son livre des mains, mais celle-ci me souris de façon malsaine et me dit sur un ton légèrement ironique :

-          Tu m'enlève mon livre, je t'enlève ton carnet...

Je fus étonné de sa façon de parler a moi son père qui l'aimer tant, elle tenait dans sa mains un carnet gris ou les dates janvier 1986 à janvier 1988, merde j'avais oublié qu'elle avait appris à lire assez tôt ma fille avait l'intelligence de sa mère et ma ruse a moi inquiètes je lui demandai :

-          Tu l'as lu ?

-          Oui je l'ai lu papa, je sais que tu n'es pas innocent dans les meurtres...5 enfants...juste avant que je naisse

-          Tu ne devais pas tomber dessus, ce carnet m'appartient donne le moi et je rendrai ton livre

Je lui tendis son livre et moi elle me tendit mon carnet avec son plus beau visage d'ange et sa voix la plus douce de fillette elle me dit de but en blanc :

-          Tu vois papa, je respecte ce que tu m'as dit...je ne suis pas une fille indigne, puis elle prit un air plus sombre et dit...Il serait dommage que tu fasses une malencontreuse chute des escaliers papa....

Son sourire, sa voix me firent frissonner avais je sans le vouloir fait un monstre sans cœur de ma petite fille,  pourtant je l'avais bien élevé, qui pouvais donc l'influencer pour qu'elle soit comme ça...

A ce moment je ne vis pas ma fille pleurer seul dans la chambre car elle savait ce qu'il m'arriverait et elle voulait se montrer froide envers moi pour que je ne souffre pas de sa non présence avec moi, quand je mourais, prisonnier de Spring Bonnie....

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YOSH BANDE DE SUSHIE MAL CUIT COMMENT VOUS ALLEZ PUNAISE VOUS ETES TELLEMENT A ME LIRE, JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE, LA PROCHAINE FOIS AVANT DERNIER CHAPITRE ET DERNIER CHAPITRE ET ÉPILOGUE, LA FIN ET PEUT ETRE UN TOME 2 DITES LE MOI DANS LES COMMENTAIRE SI CELA VOUS PLAIREZ.

Un père pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant