Mort et Vie Douleur et joie.

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*PDV Darkness*

Je n'ai jamais pardonnez a mon frère les actes qu'il avait fait envers ses pauvres enfants, la tristesse s'emparer de moi, je caresser mon ventre rond en pensent au mal qu'il aurait pus faire si un de ces enfant avait était le mien.

Mon maris m'avait dis que les enfants était prisonnier des animatroniques, et que leurs esprits hanter la pizzeria, j'allais les voir le plus souvent possible, je leurs raconté des histoires, leurs  chanté des berceuses douces et les laisser en veille, tranquillement je rentre chez moi...

Malheureusement la pizzeria dû fermer pour cause que les animatroniques attaquer n'importe qui et Mangle était la plus dangereuse avec ces dents pointues, heureusement grâce au entreprise du père de mon maris nous ne fûmes jamais dans le besoin.

En début 1988, je ressentis les premières contractions ce qui alerta mon mari, il pris plein de vêtement et de sous-vêtements de rechange, il déposa le sac dans le coffre et reviens pour me porter jusqu'à la voiture et me dépose avec délicatesse sur le siège passager, nous arrivons en urgences a l'hôpital.

Cela allais faire une heure que mon ventre ce contracter et ma fille ne voulais toujours pas venir, la douleur était intenable et il était trop tard pour que je fasse une péridurale...

Le médecin arriva et regardas tandis que mon mari me presser fort la main pour compatir a ma douleur, ce fut long, tellement long, les sages femmes durent faire sortir mon mari de la salle qui sembler pâlirent a la vu du sang, j'aurais bien rigolé si je n'avais pas si mal, je sentis enfin mon enfant libérer de mon ventre.

Mais j'entendis les cris paniqué des sages femme qui voyais qu'une hémorragie avais commencé, elle portèrent mon enfant loin de moi, je hurler et pleurer que je voulais voir ma fille car je le savais très bien que je ne survivrais pas a mon accouchement, mon cœur battait de plus belle en tentant en vint de survivre, ma détermination de mère était t'elle que je ne pouvais me résoudre a mourir avant d'avoir au moins porté ma fille contre moi, on me l'amena et la posa sur mon ventre, elle vint se réfugier contre ma poitrine et ce mis a me tété le sein que j'avais découvert des larmes de tristesses coulé de mes yeux, ma gorge se serra car je sus a ce moment que je ne la verrais jamais grandir, dire son premier mot, la voir marcher, ou même la consoler de sa première peine de cœur.

Mon mari rentras en catastrophe et hurlé sur les médecins de me sauver, il pleuras, c'était la première et la dernière fois que je le vis pleurer toute les larmes de son corps, mes yeux avaient du mal a rester ouvert, j'ouvris une dernière fois les yeux pour voir mon mari me supplié de rester auprès de lui, je lui caressa la joue puis ces cheveux si doux qui allais me manquer là ou j'allais, des larmes coulèrent de nouveaux sur mes joues, je lui souris et lui dit dans un souffle rauque et le dernier :

-          Occupe-toi bien de notre petite Rosali....

Je me sentis sombré dans les abysses, la mort si douce et si fidèle au vivant m'attendez en me tendant une main osseuse a moitié couverte de peau et de chair sa grande faucille coupa le fil reliant mon âme a mon corps, ainsi s'achevez ma vie...si courte, je regardas une dernière fois en arrière pour voir mon mari pleurer sur mon corps livide , on sortie par la porte de ma chambre, je me dirigeas vers la pouponnière ou ma fille bien aimée pleurer comme si elle savait qu'elle n'aurait plus jamais de mère, elle se figea puis me regardas, je caressa sa joue rose de ma main transparente lui fis un dernier bisou d'adieu et partis sur le son mélodieux du rire de ma fille.

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YO MES PETITS POUSSINS, JE SUIS OBLIGER DE LE DIRE MAIS J'AI PLEURER EN ÉCRIVANT CE CHAPITRE LA PROCHAINE FOIS CHAPITRE UN PEU PLUS JOYEUX D'UN PÈRE TENDRE ET DOUX AVEC SA FILLE UNIQUE. N'OUBLIEZ PAS DE COMMENTER SI CE CHAPITRE VOUS A PLUS ^^

Un père pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant