Ne t'endors pas

Hantise

Une jeune fille se promenait dans les bois très tard le soir. Elle était de taille moyenne et ses cheveux châtain, plat et surtout mêler frôlait doucement ses épaules. Elle possédait de magnifique yeux, de même couleur que ses cheveux ... Sophie, son prénom, qui y allait si bien. Elle était seule avec son petit chien du nom de Maurice et semblaient complètement perdu. Ils étaient seuls dans cette sombre foret, ou du moins ... c'est ce qu'ils croyaient.

Mais des bois, surgirent deux hommes vêtus d'une longue cape noire. L'un deux enleva Maurice et le soulevas le pauvre chiot par le collet. L'homme sortit de sa poche un objet brillant qui semblait être un couteau et d'un geste rapide et agile trancha la gorge du petit chien qui retomba lourdement sur le sol froid de l'automne. Pris par surprise quelque chose agrippa fermement le poignet de Sophie. Elle essaya de se retirer, mais l'homme la maintenait avec une force incroyable. Ils avancèrent comme sa pendant un moment jusqu'à ce que l'on puisse apercevoir une lueur au loin. Ils approchèrent de plus en plus de ce qui semblait être un grand feu. Effectivement, un gigantesque feu y était allumer, là, ou étais rassemblé plusieurs autres personnes tous de noir vêtu. Sophie ne put en voir d'avantage. Car à l'instant même un des membres de cette étrange secte l'assommas.

Quand elle ouvrit les yeux Sophie vit quelque chose, quelque chose qu'elle aurait bien voulu éviter de voir. Elle se retrouvait maintenant dans une forêt calme... TROP calme. Lorsqu'elle entendit alors cette chanson, la chanson. Ou plutôt la comptine. A à peu près 10 mètre d'elle trois fillette s'amusait à la corde à sauter tout en chantant et c'est là qu'elle comprit. Elle était endormit... mais aussi en danger.

C'est à ce moment-là que s'éleva de derrière elle une voix rauque et grave mais qui tout de même chuchotais tout bas à son oreille. C'était une voie qui faisait frissonner tout ce qui le pouvait. On aurait pu croire que même les arbres dégarnit était effrayés.

Vous pouvez donner à cet homme plusieurs noms...Certain l'associerais au croque mitaine ou d'autre Satan lui-même ou simplement... Freddy.

Sophie avait tellement peur qu'elle ne comprenait que quelques mots du discours de ce monstre et D' UN COUP Freddy la fit pivoter d'un geste brutal. Elle pouvait maintenant distinguer son visage horriblement bruler, elle remarqua aussi son vieux chapeau et son pull rayer rouge et vert, mais ce qui attirait le plus son attention, c'était sa main droite qui était équiper d'un gant ou à l'extrémité de chacun de quatre de ses doigts avait de longues lames encore plus coupante que des lames de rasoir.

Freddy plongea alors son profond regard haineux dans le sien.

Elle vit sa main droite s'élever lentement dans les airs! Tandis que les lames mortelles s'avançaient rapidement d'elle, Sophie pouvait maintenant voir toute sa vie défiler devant ses yeux, ses bon moments et ses moins bons. De chaudes larmes coulait lentement sur ses joue blanchit par la peur et quand les lames fatales n'était qu'à quelques centimètres d'elle...

Elle se réveilla!!! D'un coup!

Elle n'était pourtant ni dans la foret sombre, ni même dans une secte. En regardant autour d'elle, Sophie remarqua qu'elle était dans son lit, chez sa mère. Elle était couverte de sueur froide et des larmes brulantes coulaient encore le long de ses joues.

Son chiot Maurice étais toujours devant elle et la regardait avec beaucoup d'interrogations, Sophie compris donc que tout ce qui venait d'arriver n'étais en faite, qu'un horrible cauchemar et c'est en regardant l'heure sur son iPod qu'elle se rappela qu'il y avait de l'école aujourd'hui et aussi, qu'elle était en retard. Elle ne s'était toujours pas habituer au retour de l'école, et pourtant c'était déjà le mois d'octobre. Bien que Sophie n'appréciait pas vraiment l'école elle avait bien hâte de revoir ses amies Élie et Emma et aussi de leur raconter son incroyable rêve, mais surtout à Emma puisqu'elle adorait tout ce qui touchait les rêves, la voyance, le paranormal et tout le reste, mais ce rêve là... il avait l'air si réel.