Je ne sentais plus rien. ..
J'étais alors morte...
Puis soudain j'avais l'impression d'être soulever par quelques choses on dirait deux bras ... malgré que je n'avais aucune conscience, j'étais capable de sentir la chaleur de son corps, le corps de ce mystérieux inconnu qui me transportait.
C'est peut-être un ange et il m'emmène peut être au paradis ! Ou c'est un de ces beaux dieux (démons) qui me conduit en enfer... je ne savais absolument rien, simplement que dans ses bras je me sentais merveilleusement bien...
Il me déposa tendrement sur le sol , je me sentais revenir, je pouvais même sentir l'herbe à peu près mouillée s'enfoncer dans ma peau, je me forçais à ouvrir mes yeux , puis une violente douleur m'envahit , résultant évidemment de mon effort excessif, mon rythme cardiaque ralentissait , Dieu seul savait l'intensité de souffrance à laquelle j'étais soumise.
Je me débattais vainement sur le sol moite en quête d'un quelconque soulagement, je ne bougais plus... je m'evanouis puis brusquement quelques choses aussi doux que humide atterrit sur mes lèvres entre ouverte, une sensation de bien être me parcouru le corps , une succession d'air s'introduisait en moi , c'était comme si je rennaisais, j'ignorais pourquoi mais je savais que je devais revenir , revenir encore une fois pour goûter à ce... ( j'n'ai plus envie de continuer cette phrase)
Je pouvais maintenant sentir mon nez obstrué coincé entre son pouce et son index, sa main placée sous mon Menton et ses lèvres contre les miennes .
Il relève la tête et inspire apparemment pour ensuite appliquer une seconde fois, sa bouche largement ouverte autour de la mienne, ma poitrine se souleva encore une fois... et cette fois je respirais pour de vrai bien que c'était un peu accéléré , j'essayais de reprendre mon souffle , j'inspire et j'expirais, peu à peu je finis bien par ouvrir les yeux , je constatais alors qu'il S'était agenouillé près de moi , il se pencha en me souriant.
- allez-vous bien ? Me demandait - il , je remarque alors qu'il n'était pas Anglais constatant son léger accent..
Je secoue la tête en guise de toute réponse,
Il était vêtu d'une chemise à carreaux qui laissait apparaître son coup musclé et d'une culotte que porte ordinairement les soldats de l'armée, il avait ce qu'on peut appeler un corps bien bâtit l'équivalent même de celui D'Hercule , sa peau était légèrement bronzé, son teint doré.Ses cheveux bruns mouillés à cause de sa plongée dans le lac apparemment soigneux,il me regardait en souriant , ses dents étaient d'une blancheur Immaculée, le sourcil charbonneux , son nez plus ou moins allongé et ses lèvres charnues, oh Mon Dieu ses lèvres... Il me paraissait être quelqu'un de dur mais dans son orbite creuse, on peut lire dans ses petits yeux noirs le reflet non seulement d'une grande fierté mais aussi la tendresse qui résidait en son être... à croire que j'étais près d'un dieu..
Il se pencha et me soulève, ses gestes était à la fois ferme et tendre
Il m'enmena probablement dans sa demeure à quelques mètres du lac... moi de nature méfiante , comment puis-je être aussi nonchalante? et pourtant c'était bel et bien un inconnu, un beau.C'était une vieille cabane qui comportait un vieux sommier, une table et quelques tabourets. Il me reposa sur le lit si l'on pouvait l'appeler ainsi.
Une femme apparemment dans la troisième âge nous observait depuis le seuil, les bras croisés sur sa poitrine absente..
-comment vous vous appeler ?me demande - t- il
- Anna , parviens -je à articuler, Anna Wall
- Moi je suis Johann , Johann Merle... vous devez vous reposez dit - il sur un ton ferme, en sortant de la cabane
C'est alors que je compris la gravité de l'acte que j'étais à deux doigts de commettre, si ce Johann n'avait pas été là , je serais déjà éteinte au fond du lac... Merci Johann ! Je devrais le remercier.
Je me lève , sortant à mon tour..
- avez - vous besoin de quelque chose ? Je remarque alors la femme qui nous observait tout à l'heure...
- Non , madame où est Monsieur Johann ?
- Appelez moi Mary je vous prie.
- moi je suis....
- Anna , oui je sais me coupa - elle, puis elle continua sur un ton plus calme... Johann est partie à la chasse et il m'a demandé de veiller sur vous !
- non mais je peux me débrouiller toute seule , Mad.... Mary .
- Oui oui c'est exactement ce que j'aurais dit à votre place, venez asseyez vous dit elle en tapant sur une vieille boîte identique à celle sur laquelle elle était assise. Je l' obeissais sans la moindre hésitation...
- je vois que vous êtes tourmentée, Anna, pouvez vous me dire ce qui ne va pas ? Ce n'est pas que je fouine dans votre vie privée, mais desfois pour se soulager il faut juste se confier...
Et peut être qu'elle avait raison, peut-être existe il autre manière que la mort pour se libérer la conscience. ..
☺️☺️☺️☺️☺️☺️☺️☺️
À la fin de ce chapitre je trouve rien à dire à part que ...... bah j'trouve pas
Désolé pour les multiples fautes d'orthographe ...
Imma 😚
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Encore
RomanceLes pleurs ne sont pas toujours signe de faiblesse, parfois il faut juste pleurer pour se décharger , se soulager Quand on a Bousillé sa vie vient les moments de nostalgie des moments où l'on aimerait repartir ... reprendre à zéro , avoir une de...