Un nouveau départ.

Chapitre 13: Liberté.

Point de vue Marinette.

Un sourire enfantin flottait sur mon visage. Paris était calme aujourd'hui. Je restais appuyée sur la rambarde de mon balcon en regardant le paysage. C'étais agréable.. Un vent frais arriva jusqu'à moi, et me fit frissonner. Je replaçais une mèche rebelle derrière mon oreille avant de retourner dans ma chambre. Je fermais la trappe derrière moi avant de m'étirer. Je m'asseyais sur ma chaise pour mettre mes chaussures. Je me relevais ensuite et me maquillais légèrement tout en me parfumant. Je laissais mes cheveux lâches avant de sortir de chez moi. Dés que je fus sortie je pu constater de nombreux camions ainsi que des journalistes. En une fraction de seconde je me retrouver encerclé, et harceler de questions. Je suis LadyBug, c'est compréhensible.. Je répondais avec mal en bégayant. C'étais gênant comme situation, j'étais devenue importante pour eux en quelques minutes.. Mes joues étaient colorées d'un rouge vif, ce qui me donnait un côté adorable que les hommes avaient remarqué. Certains me draguaient et d'autres me faisaient même des déclaration. J'entendis un homme se racler la gorge dans l'assemblée. Tout le monde s'écarta pour laisser place au beau blond. Celui-ci leur jeta un regard noir avant de s'approcher de moi. Il prit ma main qu'il embrassa avant de reculer, avec un léger sourire en coin. Je détournais le regard alors que les journalistes ne loupaient pas une miette de cette scène. 

-Nous avons école aujourd'hui et je suis venu escorter ma Lady. Donc si vous voulez bien nous excuser.

Il me prit la main avant de marcher rapidement en direction de la limousine. Il m'ouvrit la porte, pour me faire rentrer. Une fois à l'intérieur il soupira en passant une main dans ses cheveux.

-Ils sont agaçant..
-Mais.. Tu n'es pas habituer? Je veux dire.. Tu es mannequin quand même..
-Je parle pas des journalistes.

Il fronçait ses sourcils en regardant par la fenêtre. Il avait croiser ses bras avec un air agacé.

-Je parle de ces homme qui te courent après et qui te lance des "je t'aime" toutes les secondes. 

Je rougissais en le regardant. Il était jaloux. Adrien Agreste était jaloux. Je posais ma main sur la sienne en souriant. Il se retourna vers moi et me vit les larmes aux yeux.

-H.. hey! Pourquoi tu pleures?!
-C'est mignon ce que tu dis..

Je fis la moue en détournant le regard.

-P.. Pas du tout! Et arrête de pleurer!
-Mais chatooon...!

Il agitait ses mains devant son visage avec un air paniqué. Je me mis à rire en plaçant une main sur mon ventre. J'adorais le taquiner et il le savait. C'étais devenu un passe temps. Un besoin vital. Quelques minutes plus tard j'arrivais à ses côtés devant l'imposant portail. Il sorti et me tendit sa main que je pris aussitôt. Tout les regards étaient braqués sur moi. Je sentais sa main serrer la mienne encore plus fort qu'avant. Il jetait des regards noirs à tout le monde. C'étais amusant, voir hilarant. Je me moquais gentiment de lui avant d'entrer en classe. Il fit de même en s'asseyant devant moi. Je saluais Alya avant trébucher. Au même moment je pu voir Chloé crier mon nom avec de la panique dans la voix.