Un nouveau départ.

Chapitre 10: Un réveil douloureux.

Point de vue Marinette.

Je regardais mon reflet dans ce miroir. Ça ne pouvais pas être moi. Ce n'étais pas moi. C'étais tout bonnement impossible. Ce corps dénudé.. Ce ventre arrondit.. Ces blessures.. Ces bleus.. Tout ce sang. Ce n'étais pas moi. Je ne ressemblais pas à ça. Je n'étais pas une traînée. Je n'étais pas comme ça. "Pourquoi ne t'es tu pas défendu alors?" Je me sentais défaillir. Je ne voulais pas les tuer. Je ne voulais pas devenir un monstre. C'étais trop pour moi. Je ne tiendrais pas la route si ça continuais. Je me regardais encore une fois dans le miroir. J'étais anorexique. De longues plaies encore fraîches sur mes poignets. Le mascara dégoulinant sur mon visage. La vie d'une fille dépressive. Je donnais un coup dans le miroir en tremblant. Les morceaux de verre s'étaient enfoncer dans ma peau. Le sang coulait encore et encore tâchant le sol blanchâtre. Je tombais à genoux avant de prendre un des morceaux de verre et de l'enfoncer dans mon ventre. Je ne voulais pas de cet enfant. Je ne voulais pas d'une telle vie. Je ne voulais pas.. je hurlais les larmes aux yeux avant de tomber au sol. Je secouais mes bras devant mon visage. Laissez moi..

-Marinette.. Ouvre les yeux..

Je me couchais parterre en regardant le plafond noir au-dessus de ma tête.

-Je sais que tu m'entends.. Je..

Je tremblais en mordillant mes lèvres. Mes yeux étaient brillant dut aux larmes.

-Il ne t'ont pas toucher. Je me suis occuper d'eux.. C'est fini princesse..

Je pleurais en posant une main sur mon coeur. J'avais froid..

-Tu ne peux pas me laisser et dormir éternellement..

Je ne voulais pas.. Justement je voulais me réveiller. Mais j'avais eu peur de cet Adrien ce soir là..

-Ouvre les yeux. Tu me l'as ordonné tant de fois.. C'est la seule chose que je te demande..

J'ouvrais doucement mes yeux. Ma vue était encore flou. Devant moi se trouvais Adrien les larmes aux yeux. Il avait ma main dans la sienne et sa deuxième main était placée dans mes cheveux. Je frissonais à ce contact. Au bout d'un moment il vit que je le regardais et il m'adressa un magnifique sourire. Hier soir il était si effrayant.. Je n'arrivais pas à m'y faire. Ce visage enfantin.. Une larme roula sur ma joue. Puis une autre.. Suivit par un torrent de larmes.

-J'ai toujours su que c'était toi..

Il s'assit sur le bord du lit en caressant ma joue.

-Pourquoi s'en sont ils prit à toi..
-J.. Ils t'ont insultés.. Ils ont insulter Chat noir... Je ne pouvais pas les ignorer..
-Tu es une idiote.. Si tu n'avais rien dis tu irais bien à l'heure qu'il est..
-Chat.. Mais je vais bien..

Il me dit un sourire tendre avant de se pencher au dessus de mon visage et de m'embrasser. Je me l'avais enivré. J'étais tellement bien. J'étais sereine. Plus rien n'avais d'importance. Même pas la douleur qui me lançait dans ma poitrine.

-Je t'aime.. Et je tai toujours aimer..
-Je sais Princesse.. Je sais..