Caroline Forbes.
Cela faisait à présent huit jours que la petite Lexie était arrivée dans nos vies et qu'elle remplissait bien nos journées.
Damon: Allez boucle d'or, c'est à mon tour de la prendre dans mes bras.
Je soupirai mais lui la tendis tout de même. Il la prit doucement contre lui et je me contentai d'aller au salon. La sonnette retentit et je me dirigeai à la porte. Qu'avais-je de mieux à faire de toute façon?
Caroline: J'y vais!
J'ouvris doucement la porte de la pension.
Caroline: Klaus.
Mon coeur loupa un battement. Ou peut-être deux. Il était là devant moi, à me jauger à sa façon si attendrie.
Klaus: Caroline...
Il baissa doucement le regard pour le relever vers moi.
Klaus: Je suis venu prendre des nouvelles de l'enfant d'Elena.
Damon apparût dans l'entrebrassure de la porte, Lexie dans les bras.
Damon: Mais oui, et depuis quand te soucie-tu des gens?
Klaus: Rassure toi Damon je ne suis venu sacrifier personne.
Klaus, accompagné de son sourire habituel, retrouva vite son sérieux.
Klaus: Je t'assure que je suis véritablement ici pour prendre des nouvelles de ta fille. C'est Rebekah qui m'envoit.
Damon s'éloigna tout en soupirant.
Damon: Elle va bien, tu peux repartir loin d'ici maintenant.
Caroline: Je suis désolée...
Damon était désormais au salon et un minusule malaise s'installa entre moi et Klaus.
Caroline: Ne le prend pas personnel, c'est Damon quoi...
Klaus: Ne t'inquiète, pas ma douce.
Comme chaque fois où j'avais revu Klaus, je me retrouvai désormais déroutée et si vulnérable... Je pouvais sentir la chaleur monter en moi à une vitesse effroyable, possédant mon corps tout en entier. Les pulsations en moi ne faisait que s'accroître sans jamais ne s'alléger, et à cet instant je n'avais qu'une envie et c'était de me démener à arriver à ses lèvres. Je plaquai doucement mais aisément mes lèvres contre les siennes et profitai de cette sensation une toute dernière fois. Klaus déposa ensuite un léger baiser sur ma nuque puis disparût dans la bruine.
Je refermai la porte, résignée. Stefan se ramena au même moment d'un air terriblement tendu.
Caroline: Stefan? Tu vas bien?
Stefan: Tout va bien Caroline, je dois simplement aller prendre l'air.
Je ne saurais dire si son ton était colérique ou simplement nerveux, mais ce moment était indéniablement tendu.
Caroline: Tu... Es certain que tu ne veux pas que je vienne avec toi?
Stefan: Fais ce que bon te semble.
Je le suivis malgré le ton amer qu'avais prise sa voix. Nous marchâmes un bon moment avant qu'il ne se décide enfin à parler.
Stefan: La naissance de cet enfant n'a fait qu'amplifier leur amour de jours en jours...
Caroline: C'est donc ça...
Stefan: N'étais-ce pas si évident?
Caroline: Oui, bien sûr mais ça aurait pû être autre chose.
VOUS LISEZ
However long it takes.
Random" He was your first love.. I intend to be your last. However long it takes. "