Je te déteste au point de t'aimer...

Chapitre3

Je me retrouve , dans la récréation avec cet énergumène appelé Jackson.

- Je peux avoir ma bouffe maintenant ?

- Je pense que tu serais capable de partir avec sans même m'avoir écouté.

- T'es intelligent quand tu le veux. Bon, qu'on en finisse.

- Ne t'approche pas d'eux.

- De qui? Je demande en haussant un sourcil.

- Hyuna, et Junior.

Je reste un moment à le dévisager.

- Pourquoi je ferais cela ?

- Parce qu'ils ne sont pas fréquentable. Ils sont nocifs pour toi.

- Bah écoute, je suis en train de parler avec toi et ça va, pour le moment il ne m'est rien arrivé hein.

Il me lance un regard noir.

- Je dis juste la vérité.

- Je dis la vérité aussi. Même Bambam n'est pas fréquentable.

- Tu compte me sortir toute la classe aussi ?

- Je suis on ne peut plus sérieux.

Allez il s'est mis en mode sérieux.

- Bon vas y je t'en pris dit moi pourquoi ils ne sont pas fréquentable.

- Ça, je ne peut pas te le dire.

- Alors dis moi l'utilité de cette discussion ??

- L'utilité est de te faire comprendre.

- Pour que MONSIEUR soit aussi sérieux c'est qu'il a dû avoir des histoires avec Bambam Junior et Hyuna. Non ?

Il m'envoie d'un coup une tape sur le derrière de la tête.

- Aii !!! Mais t'a cru toi aussi aller dégage !

- Je ne le dirais pas vingt fois. Maintenant bouffe.

- Suis-je ton chien ?

- Non. Ma chienne .

Je grogne et me relève.

- Tu sais quoi la chienne va gentiment aller attendre dans la classe le ventre vide et trainer avec qui elle veut. Sur ce meurs en paix.

Je me met alors en route vers la salle de cours.

De toute façon ça ne va pas tarder à sonner donc.

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Les cours sont déjà fini et je m'apprête à aller au jardin secret.

Je sort de ma chambre et remarque que quelqu'un sort de la chambre d'à côté.

Et il se trouve que cette personne est....

Junior.

J'oublie presque que les dortoirs sont mix.

Mais je pensais que dans l'étage ou je suis il n'y avait que des filles.

- Pourquoi tu me fixe ? Il me demande.

- Pour rien.

- Alors ok.

Il se tourne alors en silence et marche vers l'ascenseur.

Je marche derrière lui parce qu'il faut que je le prenne aussi.

Une fois dedans il me demande :

- Tu me suis ou quoi ?

Je le dévisage et étouffe un rire.