Chapitre 2: Mon monde s' ecroule

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Assalam alaykoum wa rahmato Allahy wa barrakatoh ♡♡♡

Docteur: je suis desolė

Je cris, cris et cris pas lui non, il m'a sauvėe, mon papa, l'homme de ma vie un pere digne, musulman j'etait perdue dans mes pensėes mais le docteur avait encore de choses à me dire ...

Docteur: Mademoiselle Maryam, votre pere a reussit à sauver tout le haut de votre corps mais n'a pas eu le temps de sauver vos jambes , vous ... vous en avez perdu l'usage je suis encore desolė ...

À ce moment là tout s' ėcroule pour la deuxieme fois puis trou noir...

Je me reveille autour de moi ma famille triste, je pence à mon pere mais où est il? Si il l'ont deja enterrė? Noon ils m'attendrons mais je ne marche plus , papa je veux te rejoindre papa, ma mere sentit que je bougait dit:

Benti on est là

Maryam: Il est où baba ?

Ma mere: dans... dans sa tombe

Elle pleure

Maryam: Je n'ai meme pas pu le voir yemma !!! C'est pas possible l'accident c'ėtait aujourd'hui vous n'avez pas pu encore l'enterrer !

Yemma: Benti, l'accident c'etait il y a deux semaines , tu etait dans un comas, mais al hamdulilah tu t'es reveillėe et dis toi que pour tes jambes c'est le mektoub

Maryam: Yemma (tout en suffoquent) papa il m'a proteger, baba c'est un homme bien, baba je suis sur dans sa tombe il a ete bien acceuilli par les anges, Ya rabbi ouvre les portes du paradis à mon pere il le merite ...

Tout le long de mon discour ils restaient silencieux mais ont finis par dire tous en coeur:

Amine ♡♡♡

Ma soeur prit la parole et dit:

Maryam t'es courageuse meme si ta 12 ans, tkt on sera là pour toi

Je pleurais et pleurais pendant des heure baba ,baba ,baba personne ne parla et lorsque vint le moment de partir ils me firent tous des boussah sur le front et partirent, seule dans la chambre je sentis que maintenant la solitude m'accompagnera souvent , je n' ai pas pu dormir, je culpabilisais mais les paroles du medecin me rappelais que normalemnt nous mourions tout les deux ensuite une haine immence s' alimentat en moi , c'est de la faute de ceux qui ont foncės sur la voiture j'essayais de bouger mes jambes mais je n'arrive pas , mes larmes s' estombent pour la N eme fois aujourd'hui, j'appelle une infirmiere et lui dis d'un ton agressif:

C'EST QUI LES ******** QUI ONT CONDUIT LA VOITURE ? OU ILS SONT? DIT LEUR QU'ILS VIENNENT PORTER LEUR ******  ET M'AFFRONTER MEME SANS JAMBE JE LES DBEH (egorgent) CES ******

Infirmiere: Mademoiselle calmėe vous , ces personnes sont eux meme gravement blessės, entre la vie et la mort ou mort et pour ceux qui se retablissent ,un allė pour la prison les attend et ils risqueront de prendre beaucoup

Je pleura, et me rappela que mon pere me disait que la vengeance ne menne à rien , l'infirmiere partit et mes larmes continuaient à coulėe vers 10hoo le docteur m'examina et je lui demanda:

Pourais je un jour remarcher ?

Il me regarda d'un regard triste je lachais quelques larme à ce moment là je ne me rendais pas tout à fait compte de ce qui m'arrivait mais je n'allais pas tarder à en souffrir...

Une semaine passa et Bilel et Yemma sont venus me chercher, Bilel me porte et m'installe sur une chaise roulante, les larmes montent je les retient, Bilel me sourit et me proposa un Mcdo , jai faim mais je refuse, et comme à son habitude on ne peu rien lui refuser il m'emmena au Mcdo du quartier apres m'avoir posėe sur ma chaise roulante quand nous fûmes sortit de la voiture on entra acheter nos menus fish, j'avais un sourire qui disparu au bout de quelques secondes à peine ,à cause des regards de pitiė de la part des inconnus mais non je suis une personne comme eux , n'ayez pas pitiė ,j'en ai rien à faire de votre pitiė ,vos regard de pitiė qui ont comme soit disant but de la compassion sont des regards qui me brisent le coeur et me font rappeller que desormais je suis diffėrente, je me promis à ce moment de ne plus sortir du quartier ...

Nous prenons la route vers la maison ahhh il m'a manquer mon quartier arriver en bat du batiment, je croise mes amis , un sourire s' ' illumine sur mon visage, ils viennent vers moi mais ne sont plus les meme, ils ont changer ,ma mere me propose de rester avec eux un peu le temps qu'elle fasse les courses avec mon frere, j'accepte et roule seule ma chaise sauf que arriver au parc, au bout de 10 minutes, je sens bien que je les encombre , ils ne peuvent pas bouger ,je suis en chaise roulante, leur attentions me mettaient mal à l'aise, j'etais toujours la meme mais ils ne perçoivent plus du meme oeil, je suis tout simplement dessue ,ma mere arrive je souris, je m'ennuie entourėe d'eux maitenant je pars, sentant leur regards et ressentant leur soulagements puisque maintenant ils peuvent s'amuser librement sans boulet qui les privent de s' amuser, sans moi quoi ...

On aurai pu s' amuser malgres ma chaise, mais ils n'ont pas essayer, ils ne veulent pas essayer, ils n'ont meme pas essayer de voir au delà de mon handicap ...

Je pensais, pensais, pensais puis arriver en bas de mon batiment les teneurs de mur se taisent et me regardent avec compassion mais leur regard ne font que me detruire...

Le silence regne , l'assensseur fonctionne, c'est la derniere fois que je le prend puisque je me suis jurer de ne plus sortir meme au quartier ...

Arriver à la maison je me refuge dans ma chambre bien decidėe à ne plus sortir de cette appartement...

Jour apres jour, mois apres mois, le temps passe voila maintenant 4 ans que je suis handicapėe, 4 ans que j'ai perdu mon pere et suis hantėe par ces belles et douces paroles, ces gestes admirable, son comportement passionnant papa tu me manque...

Ma soeur, je suis devenue un fardeau pour elle, elle ne me confie plus rien ...

J'ai eu 16 ans que j'ai feter cette evenenement aupres de ma famille , sans sortir juste à la maison rien de mieu pour moi je sortait que dans le balcon sans etre exposėe aux regards, j'avais plus essayer de bouger mes jambes depuis ce jour à l'hopital , ma mere n'acceptait pas que je reste comme ca mais jai reussis à la convaincre et elle finie par ceder à condition que je ne nie plus ma famille et passe du temps avec eux dans l'appartement pas seleument dans ma chambre...

Un jour mon frere Bilel entre le sourire aux levres et me dit : ...

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                 Assalam alaykoum ♡♡♡

Chronique De Maryam: Ne te Laisse Pas Abattre ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant