Mon coeur fêlé,
Je garde en secret,
Ma mélancolie intérieure.
La nuit entend mes pleurs.L'orgueil en moi,
Et comme un poids,
Qui me fais tomber,
Dans les abysses de la méchanceté.Ma tête arbore,
Non pas une couronne d'or,
Mais une couronne de plomb,
Qui m'enfonce dans le regret nauséabond.Me voilà perdue,
Dans les couloirs menu,
Du regret de mon âme.
Ainsi le monde me blâme.Mes journée sont dictés,
Par tristesse et regret.
Ma libération de cet enfer furibon,
Est sonnée par ce mot: Pardon.