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Nous sommes le 14 juin. Voilà maintenant deux mois que Dylan n a pas donner signe de vie. Je commence à l oublié. Pour ma part, je me suis fais une nouvelle "amie". Elle s appelle Julie. Elle n est pas dans mon lycée. C est dommage. C est une fille un peu timide un peu renfermée sur elle même. Ses longs cheveux noirs et lisses encadrent son visage. Ses yeux bridés aux iris noirs revelent d une grande sagesse malgre son jeune age. Je l ai rencontrer dans l endroit ou je vais chaques soirs. Elle dessine elle aussi. Nos coups de crayons s accordaient. Lorsqu elle arrivait (un tout petit peu après moi) j enlevais mon casque pour écouter ses histoires. Elle raconte des légendes de son pays. La première fois que je l ai vu elle m a intrigué. Elle s est assise et elle m avait ignoré. Au bout de la troisième fois elle m a demandé ce que j écoutais comme musique. Le debut d une relation basée sur l incertitude de connaitre la personne en face de soi commençait.
18.38 après avoir fini nos croquis:
- Je sais que tu souffres au fond de toi. Ca ce voit dans tes toiles. Tu es triste et tu te voiles la face. Tu es seule.. tu n as pas d ami de ton âge. Tu te trouves différente.. et...
- Arrête! Tu ne me connais pas! Je lui coupe la parole. Avec rage je jette mes toiles dans l eau. Je rassemble avec hate mes affaires. Et je pars sans lui lancer un regard. Comment ose-t-elle me dire ca? J étais habituée à ce qu' elle dise peu de chose sur moi et sur elle. Lorsque j atteins la rue d en face je l appercoie qui dessine comme si de rien n était. Je me dis qu' elle est bizarre et que je naurais jamais du lui parler et ecouter ses morales a la con. Malgré ca, ses paroles m ont blesser. Elle paressait me connaître. Elle paraissait lire au plus profond de mon âme. Ses paroles étaient juste c est pour ca qu' elle m ont blesser. Elle n avait que 13 ans... je m étais un petit peu (un tout tout petit peu) attachée à elle.
Je ne suis jamais revenue. Elle si. Elle a continué à dessiner. Comme si elle m avait oublié. Comme si je n avais jamais exister pour elle. Comme si nous n avions jamais parler. Encore une blessure qui se rajoutait a toutes les cicatrices de mon coeur.

ProfondeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant