Partie 7

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Comme il le lui avait dit une voiture était venue chercher Ayvin au pied de son immeuble. Aaron n'y était pas. Elle se dit qu'il serait à l'aéroport, mais plus la voiture roulé et plus ses espoirs ne diminuaient. Elle n'aller pas dans la bonne direction au contraire elle se dirigeait vers les portes de la ville.

Son cœur ne cesser de battre encore plus fort, des perles de sueur coulait le long de son visage. L'angoisse se lisait dans ses yeux. La peur envahissait chaque parcelle de son corps. Ou allait-elle ?

Ils avaient roulé pendant plus de vingt minutes quand la voiture s'arrêta sur le bord de la route. La porte avant s'ouvrit. Ayvin entendit les pas du conducteur, s'éloigné. Elle se sentit rassurer. La pression était retombée.

Elle attendit un peu et sortit de la voiture. Mise à part une petite maison qui lui semblait abandonner, il n'y avait autour d'elle rien d'autre que des champs. Elle s'en approcha. Doucement...
Elle frappa a la porte afin d'être sur que personne n'y habiter.

Elle entra en faisant attention à chaque pas qu'elle faisait. Le plancher craquait sous ses pieds.

A sa droite se tenait un escalier en colimaçon et à sa gauche une porte entrouverte.

Devant elle un long corridor qui menait a la salle à manger.

Sur les murs avait été disposé des cadres, vieillis par le temps. De la poussière s'y était installé. Elle souffla dessus afin de voir se qui se cachait derrière. Les visages lui parurent familiers. Sur l'une d'elle 2 enfants jouaient au ballon tandis que, ce qui lui semblait être, leurs parents étaient assis à les regarder. Leurs yeux étaient remplit d'un amour impérissable. La fierté se lisait. Ils aimaient leurs enfants d'un amour éternel.

Ayvin avança et atterrit dans la salle à manger. Les meubles lui paraissaient anciens.

Alors que la jeune fille regardait les babioles sur la cheminée, elle entendit derrière elle un bruit sourd.

Elle se retourna et vu un rocking chair devant la porte. Il était de dos elle ne voyait pas qui se balançait dessus. Elle profita de se long silence pour l'observait. Il était ancien et en bois courbé. Sa teinte miel ressemblait de peu aux cheveux crêpés de sa propriétaire.

Le silence fut vite briser.

« -Je t'attendais Ayvin, tu nous as beaucoup manqué...

-Qui...qui êtes vous ? Et comment connaissait vous mon prénom ?

-Oh ma chère tu ne te souviens pas ? Tu as pourtant regardée attentivement les photos dans le couloir.

-Je ne comprends pas

-Je sais que les photos ne t'ont pas laissé indifférente. Et je sais aussi ce que beaucoup ignore à ton sujet.

-Je ne vois vraiment pas de quoi vous voulez parler. Nous nous sommes jamais rencontrer et il faut que je parte je suis attendu.

-Oui à l'aéroport. Ne t'en fait pas ici le temps est suspendu. Tu ne perds donc rien. Laisse-moi t'expliquer. Il est dans mon intérêt de te laisser partir en Thaïlande. Mais il est également du tien d'y aller. Je vais te proposer un marché, si tu refuses tu seras libre de t'en aller et de courir droit à une mort certaine mais si tu acceptes alors tous pourrait changer.

-Je vous écoute....


Ayvin, derrière les apparencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant