Partie 8

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-Je vous écoute...

-Il est dans mon intérêt que tu "n'aide" pas la sœur de Aaron, alors je te propose d'abandonner cette idée et en échanges je ferais de mon mieux pour que jamais tu ne soit obligé de faire quoi que ce soit que tu ne voudrait pas faire en Thaïlande. Ce marché te convient-il ?"

Ayvin se sentait désemparer par cette proposition. Elle ne savait que faire. Rester digne, droite et honnête envers cet homme qui l'avait trahi ou bien penser a ce qu'elle voudrait ? Quelques heures auparavant elle n'avait pas put le dénoncer a la police alors que devait-elle faire à présent ?

N'était-il pas judicieux de se protéger ?

Voilà se qui traversa l'espace d'une seconde l'esprit d'Ayvin. Mais voilà sa réponse :

"-Je suis désolé mais je décline votre offre.

-Peut tu m'expliquer ce qui ta fait prendre une telle décision ?

-C'est simple, malgré le fait que je veuille me venger de Aaron pour ce qu'il ma fait, sa soeur n'a rien avoir avec tout cela. Elle est innocente et a besoin d'aide, de mon aide.

-Je ne te ferais jamais changer d'avis n'est-ce pas ?

-Non !

-Tu est quelqu'un de bien Ayvin, de trop bien et c'est ce qui un jour causera ta perte. Tu auras ce que je t'ai promis. Tu peux partir en paix, je te surveillerais.

-Je vous remercie, mais qui......."

Avant même qu'elle n'ait put finir sa phrase, le rocking chair et son propriétaire avait disparu ne laissant rien d'autre derrière lui que de la poussière et le bruit du sol qui grinçait encore.

La jeune femme resta sur place pendant de longues minutes. Pensant peut-être que la chaise berçante allait refaire son apparition. Mais rien ne se passa. Alors Ayvin pris le chemin de la porte, l'air désemparer.

Lorsqu'elle sortit de la maison, la chaleur était la même que quand elle était rentrer. Elle regarda sa montre : 18h45.

L'heure n'avait pas tourné, rien n'avait changer comme l'avait dit l'inconnu.

Elle se dirigea donc vers la voiture ou elle retrouva le chauffeur qui s'était mystérieusement envoler quelques temps auparavant.

Elle remonta dans la voiture.

Et c'est sur d'elle qu'elle ordonna au conducteur de se diriger au plus vite a l'aéroport.



Ayvin, derrière les apparencesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant