l'hotel

17.4K 139 1
                                    

 ***Attention ce chapitre comprend des scènes de lemon ***

Nous partîmes, sa main sur mon bras avait glissé dans la mienne en toute simplicité. Il dessinait des cercles sur ma peau sans s'en rendre compte. Était-il stressé lui aussi? Rien ne le laissait paraitre en tout cas. Sur le chemin, nous parlâmes de mon voyage et de son départ plus tôt du travail. Nous arrivâmes dans une ruelle où un hôtel restaurant semblait sortir d'une autre époque, le tout baignait dans une aura romantique. Il me tint la porte pour rentrer dans un salon de thé décoré avec soins dans des tons blanc et noir scandinave. Nous nous assîmes à une petite table avec vue sur un jardin verdoyant et ensoleillé. Mathis prit ma main et dit doucement:

— Je suis vraiment heureux que tu sois venue, j'ai eu peur que tu ne changes d'avis au dernier moment...

–J'y ai pensé plus d'une fois, j'avais peur de briser ce que nous avions construit durant ces dernières semaines. Mais je suis vraiment contente de te voir et d'être là, dis-je en souriant timidement.

Que penses-tu de cet endroit? C'est mon petit coin de paradis, j'aime venir m'isoler ici quand c'est la tempête à la maison ou au travail.

C'est très charmant, j'aime beaucoup. On dirait que le temps s'est arrêté à l'époque de Jane Austen.

- Ils ont même des chambres me chuchote-t-il le regard pétillant.

- Tu comptes me faire visiter ?

- Tu en as envie?

- Pourquoi pas ?

- OK, viens. 

Il me prit par la main et nous montâmes un petit escalier de fer forgé. De grandes baies vitrées d'époques longeaient l'escalier et donnaient sur le jardin. Un couloir rouge amenait aux différentes chambres. Mathis s'arrêta devant l'une, prit une clef dans sa poche et ouvrit la porte et me laissa entrer la première. Il s'approcha de moi, et me laissa le temps d'apprécier la beauté de la chambre avant de chuchoter à mon oreille:

— tu es prête?

Mon cœur battait à 100 à l'heure, il semblait vouloir sortir de ma poitrine. Ma respiration était toute sauf calme, et je m'obligeais à prendre de grandes respirations pour ne rien laisser paraitre.

–Prête à quoi, je répondis doucement

— Prête à me laisser prendre soin de toi aujourd'hui Sabrina

Il me poussa doucement plus avant dans la chambre,

je fermai les yeux pour me laisser envahir par son souffle contre mon oreille et ses mains remontèrent le long de mes bras pour me délester de mon manteau.

Il me retourna face à lui pris mon visage en coupe et me regarda droit dans les yeux:

–est-ce que je peux t'embrasser?

Je ne répondis pas et m'approchai de lui pour qu'il m'embrasse. Son baiser était doux et suppliant à la fois, comme si il se retenait d'être trop brusque avec moi alors qu'il n'attendait que ça. Je le goutai délicatement, il avait un gout de framboise et de café. Ses mains se déplaçaient sur moi, il m'ôta mon haut et s'arrêta une seconde pour regarder mes seins et les caresser.

–Putain, j'en est tellement rêvé, la nuit... laisse-moi les honorer maintenant.

Il me fit reculer tout en m'embrassant jusqu'à ce que mes genoux touchent le rebord du lit. Il m'enleva ma jupe et jura dans sa barbe quand ses yeux tombèrent sur mes bas noirs et ma culotte en dentelle beige.

J'ai la peau halée, je suis métisse et tout en courbes, le contraste de ma peau et de la lingerie claire est mon petit atout secret. Mes cheveux sont long et très bouclés, ils tombent toujours en cascade sur mes seins.

Je me mis à rire doucement et lui retira au plus vite sa veste de costume et sa chemise.

Je me plaçai sur le lit, me redressai sur les coudes en le regardant enlever le reste de ses vêtements. Il me plaisait, vraiment, aucun regret... j'étais folle de faire ça, mais aujourd'hui la seule chose qui me rendait folle, c'était lui et de ce moment d'évasion trop longtemps refoulé.

Lui était carré, le dos large de rugbyman et une ligne fine de poils descendait jusqu'a son boxer.

Il me rejoignit sur le lit et commença à enlever mes bas délicatement. Ses mains glissaient sur moi. Sa bouche sur ma cheville remontait le long de ma jambe en même temps que sa main. De son autre main, il titillait l'un de mes tétons à travers mon soutien-gorge. Je gémissais doucement de plaisir. Sa langue me léchait, puis sa bouche embrassa l'intérieur de la cuisse. Sa main caressa mon dos, et d'un geste expert, il dégrafa mon soutient-gorge et le lança à travers la chambre. Il prit un de mes seins dans sa bouche et je tombai en arrière sur le matelas, la pression était trop forte, je mouillais déjà tellement...OMG qu'est-ce que c'était bon... Sa main arriva à la lisière de ma culotte. Il me regarda droit dans les yeux comme s'il attendait mon accord. Je lui fis un signe d'acquiescement et il me la retira. Ma tête repartit en arrière et je sentis que je n'allais plus être capable de gérer quoi que ce soit. Sa langue s'insinua délicatement entre mes plis et me lécha. C'était comme si tout avait été fade avant ça. Sa langue en moi était un délice, ou j'étais son délice. Il me léchait comme si j'étais une glace qu'il voulait déguster avec soins.

–Mathis, putain, c'est trop bon chuchotai-je

— Ne te retiens pas bébé, laisse-toi aller pour moi. Tu es à moi aujourd'hui et tu auras tellement d'orgasmes que tu ne te rappelleras même plus ton prénom.

Il souffla sur mon clito pour me faire réagir et me donner du plaisir; mes hanches bougeaient et il me maintint fermement de ses mains et de ses bras pour prendre le contrôle de mon corps. Il suça mon clito et insinua doucement un doigt en moi. Je ne tenais plus et il le sentit, et ralentit.

-Tu pars déjà ma belle? dit-il entre deux baisers sur ma cuisse, sourire aux lèvres.

–Ne t'arrête pas, je t'en supplie...

Il continua à me sucrer jusqu'à ce que je ne tienne plus. Il insinua délicatement un doigt sur ma corolle pour m'habituer puis plus profondément au fur et à mesure que je jouissais contre sa bouche.

–Viens pour moi, Sabrina, me dit-il.

Et c'est comme si mon corps n'attendait que cette phrase pour partir dans un orgasme dévastateur.

Quand je repris mes esprits, il était à côté de moi le regard pétillant.

–Alors? Le vieux de 40 ans? Aussi bon en vrai qu'au téléphone ?

–pfff gloussais-je, tais-toi et allonge-toi, à mon tour de jouer un peu.

Il plaça ses bras derrière sa tête, et me dit :

–je suis tout à toi !



Hello!!! voici ma toute première écriture.... avec pleins de fautes d'orthographe à mon avis ?!! 

N'hésitez pas à me laisser des commentaires et votre avis ;) 

pleins de bisous et à très vite pour la suite  ^^

Un 15 JuinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant