Chap 11

4.5K 59 1
                                    

Musique pour ce chapitre :

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Musique pour ce chapitre :

Le Lac - Julien Doré

New Moon - The Meadow - A tribute to New Moon

Claire de lune - Debussy

La maison est dans les tons beiges et marron, un écrin de chalet fondu dans la pierre. Des tapis épais s'étalent sous mes pieds dans tout le salon.

La maison est calme, j'entans les oiseaux cachés dans le sapin par la porte fenêtre, la brise est légère et fait grincé doucement la vieille bâtisse.

Mathis n'est pas là, je m'avance donc vers la cuisine, une cuisine tout en pierres apparente; bois et granit, les parents de Mathis avaient du gout. Tout est rustique mais avec des détails qui rappellent le gout du voyages dans les pays du froid scandinaves. La cuisine est vide elle aussi. Je cherche à me repérer, un indice, mais personne ne semble là et la maison est immense.

Je monte donc à l'étage, les marches grinces sous mes pieds, mais je ne m'en formalise pas, au moins il sait que j'arrive.

La première chambre est plongé dans le soleil, elle est blanche avec un grand lit baldaquin en bois massif marron foncé encadré de drap de lin blanc qui retombent en cascade jusqu'au sol. La porte fenêtre donne sur un petit balcon. Je m'approche et regarde dehors, le vent fait oscillé par clapotis l'eau du lac contre les rochers, les mouettes dansent par dizaines, elles jouent dans la brise et plonge par moment dans le lac pailleté d'argent. Je comprend que Mathis se cache par ici, le calme laisse place à la réflexion, loin de tout... cet endroit est parfait... le vent tourne et je le sent derrière moi.

Je sent son odeur et sa chaleur derrière moi. Sa main touche délicatement mes cheveux détachés et les ramènent dans mon dos, puis sur mon épaule gauche. Je suis calme, rien qu'à son odeur je me sent à la maison, mes yeux se ferment à ce dernier contact. Il inspire mon odeur à son tour derrière mon oreille et passe ses bras autour de ma taille.

« Tu m'a manqué, désolé pour tout ça » me chuchote t'il à l'oreille tout en m'embrassant dans le cou.

Je me décontracte, je ne m'était pas rendu compte que j'étais si tendu depuis tout ce temps. Mes épaules se relâchent et je respire à nouveau.

Sa voix, elle m'avait tellement manquée.

Je lâche un grand soupire qui s'enfuie dans le vent.

«  c'est ok... tu vas m'expliquer tout ça »

« oui, bien sure, mais plus tard »

Il me tourne face à lui.

Il n'a pas changer depuis ces quelques mois, toujours aussi beau et tendre dans ses gestes. Nous nous regardons, le vent fait voler mes cheveux qui chatouillent mon visage, Mathis rattrape une mèche de mes cheveux et la glisse derrière mon oreille, il laisse sa main sur mon visage et rapproche sa bouche de la mienne. Son baisé est doux. Mon Dieu comme ses lèvres m'ont manqué! 

Il m'embrasse doucement, parsème ma bouche de petits bisous.jusqu'a ce que je le laisse enfin rentré, sa langue danse doucement avec la mienne jusqu'a ce que je passe mes mains derrière sa nuque pour me coller à lui.

Tout s'accélère alors, il m'attrape par les genoux et me soulève dans ses bras. Mes jambes s'accrochent d'elles même derrière son dos et il me transporte dans la chambre.

Il me dépose délicatement sur le lit sans cesser un seul instant de m'embrasser. il parcourt mon corps de ses mains et soulève mon haut à paillette pour atteindre ma peau et me caresser le ventre. Ses mains montent jusqu'a mes seins et il les malaxes doucement. Ses caressent sont divines, douces et sauvages. Je soupire d'extase contre ses lèvres. Il rigole et me dit doucement.

« qu'est ce que tu m'as manqué. c'était tellement difficile sans toi putain, je te laisse plus repartir tu m'entend? »

« oui, oui, oui » dis je en l'embrassant

« je suis toute à toi et je ne part pas » lui dis je en bloquant mes mains sous son menton et en le regardant droit dans les yeux.

«  je ne veux personne d'autre Mathis, juste toi et moi, ici pour toujours »

il me déshabille complètement en un temps record et s'enfonce en moi.

« putain Sabrina... tu ... es ....à ... moi » me chuchote t'il a l'oreille en s'imprégnant de chaque parcelle de mon corps, tant par son sexe qui s'enfonce en moi que par sa bouche qui me dévore tout le corps.

Sa langue danse sur ma poitrine, me suce, me mordille. Je suis sous son emprise et il et m'envoie au septième ciel en un temps record. Après quelques coup il me suit de près dans un grognement d'extase.

Un 15 JuinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant