2nd degré

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Je sentis le matelas saffesser et devina donc qu'Antoine quitter le lit. Je me retourna et vis : 9h45. Autrement dis j'avais encore du temps. Je me retourna donc et enfouie ma tête dans la couverture. Je voyais dans le reflet de la fenêtre qu'Antoine était rester immobile devant le lit. Il attendait quelque chose. Une réaction de ma part après ce que j'avais dis hier. Je le comprend. Mais je ne savais pas quoi dire de plus..

Un de mes premiers défaut est celui ci : je ne reviens jamais voir très peu sur ma parole. Je suis entière comme on dit mais parfois cette qualité se transforme clairement en défaut. Comme maintenant.

Je me leva du lit, me retourna et regarda Antoine quelques instants. J'allais lui dire que Je l'aimais que j'avais une folle envie de l'embrasser et que je n'avais en aucun cas envie de faire une pause. Qu'il était mon sauveur qu'il m'avait réparer de mon passé.

Je m'avanca vers lui, pris ses mains dans les miennes et commença

<< - Antoine écoutes je sais que..

Et mon portable sonna, j'hesita a répondre mais il se pouvait que ce soit important. Antoine vit mon visage, il vit que je chercherais une excuse et se libera de l'emprise que j'avais sur ses mains et descendit à la cuisine.
Je le regarda partir et compris que j'avais fais une gourde. Je decrocha. C'était mon associé.

- Oui Marc ? Soufflai je
- Salut Louise; dis moi serait il possible que tu travailles ce matin finalement on a eu un appel pour un baptême dans 2 semaines.
- Écoute Marc, je bosses beaucoup en se moment et je ne m'en plains pas je veux dire je fais ce que j'aime mais
- Mais Antoine ne supporte plus que tu bosses autant ?
- Oui voilà, j'ai pas envie de le perdre. J'espère que tu comprend.
- Je te comprend toi mais pas ton mari.
- On se dit a tout a l'heure ? 16h ?
- Oui à plus tard.

Il raccrocha. Il était s'en doute vexé. Il me disait souvent qu'Antoine ne savait pas la chance qu'il avait d'être avec moi. Il me draguait en quelque sorte mais je ne m'intéressé pas a lui. J'avais Antoine et tous les autres ne compter pas. Même si je dois bien l'avouer Marc était d'un grand soutiens ces derniers temps.
Je décida de descendre rejoindre Antoine.

<< - Alors c'était qui ?
- Bonjour à toi aussi mon amour, c'était Marc
- Il t'appelle pourquoi cette fois ? - Pour travailler ce matin
- Et bien entendu tu as accepter ?
- Non j'ai refusé.

Antoine sourit.

- Donc tu vas pouvoir rester avec moi ce matin, que veux tu faire ?
- Parler. Antoine on a besoin de parler de ce qu'il s'est passé hier. - Écoute je suis encore une fois désolé. J'étais totalement pris dans le match et quand j'ai vu que tu n'étais pas là au lancement sa m'a déçu.
- Je n'ai encore une fois pas pu faire autrement. J'aurais aimé être là. Vraiment et j'espère que tu le sais.
- Oui je le sais maintenant. >>

Il membrassa et je pris place à table pour le petit déjeuner.
Le portable d'Antoine vibra sur la table. Il regarda ce qui semblait être un sms et retourna son portable afin que je ne vois ni de quoi il s'agissait ni de qui ce SMS venait.
Il me cachait quelque chose. Et je compté bien le découvre

Mais je n'aurais pas du...
Je n'aurais jamais du..
Car " Ce que l'on ne sait pas ne peut pas nous faire de mal "

Des avis ?
Je vous embrasse.
HopeSummer xx

Le Temps - A. Griezmann.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant