Cheveux gris,
en bataille.Au vent il rit,
je dirais pire : il braille.Synchronisé,
aux cris des mouettes.Bouleversé,
par le chaos dans nos têtes.Au bord de l'eau,
tranquillement on avance.Un spectacle étrangement beau,
nous sommes presque en transe.Je m'empare,
de sa main.Et au loin on part,
pensant rentrer au petit matin.Douce mélancolie,
d'un soir.Qui de mon corps se saisit,
secrètement dans le noir.

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sunset
Poetryun soleil couchant, une plage, le cri des mouettes, le vent qui souffle, un amour en peine. ou bien, un souvenir. © mourire | automne 2016